Accro à la bite

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ppc--dixon 22 août 2017 à 16:01 (EDT)

Chaque année, dans le lycée où j'exerçais en tant que professeur d'anglais, j' organisais un séjour linguistique pour mes élèves de terminale. C'était là une pratique ancienne que je ne faisais que perpétuer, mais dont il m'incombait la tâche depuis le départ d'un collègue qui jusque là s'en occupait. Sept ans qu'un échange se faisait avec une comprehensive school située un peu au nord de Londres, à Saint-Albans exactement. Les élèves étaient, logiquement, logés par leurs correspondants. Quant à moi, j'étais hébergé par une professeure de français dont j'étais devenu l'ami, ceci en tout bien tout honneur puisque, pédé jusqu'à la moelle, les femmes n'étaient pour moi rien d'autre qu'une terra incognita. Une voisine m'eût bien déniaisé quand j'avais 17 ans à peine, mais la simple vue de sa chatte, pleine de replis et de moiteurs, m'avait tellement dégoûté que, regard vague et bite en berne, je m'étais très vite esquivé. Il faut dire que ses 40 ans, l'âge qu'avait à peu près ma mère, et ses quatre maternités, avaient tellement plissé sa vulve qu'au lieu d'une chatte accueillante aux lèvres roses et bien charnues, elle n'offrait qu'un con dévasté semblable à une vieille tabatière.

Après ma fuite précipitée, il me fallait m'interroger. La voisine était réputée pour son savoir-faire à dépuceler les jeunots, et plusieurs de mes camarades, des adolescents comme moi, avaient été plus qu'éblouis par cette initiation mature qui les changeait de la branlette et les projetait, de facto, dans la sexualité adulte. Ils m'en parlaient de telle façon que je me sentis différent, et comme étranger à leur monde. Peu de temps après je compris que ma répugnance du vagin avait une cause bien naturelle : m'intéressaient seulement les culs, à condition qu'ils fussent mâles.

Pubère autour de mes 13 ans, mes activités solitaires, couronnées de forts jaillissements, m'avaient semblé l'unique façon d'assouvir la sexualité d'un ado la queue toujours raide. Il me fallut la découverte d'un magazine porno gay pour réaliser à quel point j'étais naïf en la matière. Chaque image offrait à mes yeux des chibres pointés sur des trous écarquillés, gluants de sperme. Il me venait des érections si persistantes et douloureuses qu'il me fallait me soulager à moins de jouir dans mon calbute, ce qui arrivait néanmoins quand je n'étais pas assez prompt à extirper ma grosse bite. En voulant tenter l'expérience avec la chatte de la voisine, j'avais pour but de me convaincre que je banderais pour un trou quel qu'en fût le propriétaire. Ma queue molle me détrompa. Je perçus avec acuité mes tendances homosexuelles et m'y adonnai aussitôt, car je ne manquais pas d'assurance.

Ce ne fut pas bien difficile. Mes 17 ans, ma belle plastique, joints à un visage plaisant, une queue brune et bien veineuse qui frôlait les 20 cm, me procurèrent maintes occasions quand, parcourant les lieux de drague dont je m'étais vite informé, je fus l'objet d'approches nombreuses. Dès lors, je n'eus plus qu'à choisir ceux qu'allait enculer ma bite. Mes critères étaient exigeants : un homme entre 30 et 40 à la silhouette élancée, au cul bombé, aux traits virils. Tant qu'à fourrer des chattes d'hommes autant qu'ils fussent des mâles, des vrais. M'insupportaient donc les tapettes qui allaient tortillant du cul. Pour bander je voulais des poils que j'écartais avec ma langue avant d'y fourrer mon mandrin. Les hommes gueulaient leur plaisir, je déchargeais dans leurs entrailles et je criais aussi le mien. J'en baisais ainsi deux ou trois et retournais à mes études, car la sexualité, pour moi, n'excluait pas d'autres envies, a contrario de tant d'homos devenus esclaves de leur bite. J'avais, depuis l'âge du collège, souhaité devenir prof d'anglais. J'y parvins tout en déflaquant quotidiennement des masses de foutre.

Et j'étais maintenant à Londres, escortant une vingtaine de jeunes, dont une bonne moitié de garçons qui, du fait de leur âge trop tendre, ne m'intéressaient nullement. Au plan sexuel, cela s'entend, car sur un plan professionnel, j'exerçais avec le souci d'inculquer la langue de Shakespeare. Si certains d'entre eux, dans 15 ans, promettaient un beau corps de mâle, pour l'heure ils étaient des ados. They were not yet my cup of tea. L'un d'eux pourtant, dés le début septembre où j'avais pris la classe, n'avait cessé de me mater. A coup sûr, Damien était gay et m'avait reconnu comme tel. Moi, à 25 ans révolus, j'avais acquis cette expérience que d'aucuns nomment le gaydar et qui permet d'identifier, pratiquement sans risque d'erreur, les homos de leur entourage.

Damien était donc de ceux-là. Lui aussi avait le gaydar et il prenait parfois des poses qui me mettaient le rouge au front, car je craignais comme la peste qu'on en vînt à le remarquer. Au premier rang, face au bureau, il exposait son entre-cuisse, écartant largement les jambes, le braguette gonflée à craquer. En même temps il me regardait de son oeil couleur d'améthyste avec une telle impudeur que moi je détournais la tête et descendais de mon estrade pour aller au fond de la classe remettre en ordre mes esprits. Si personne ne s'en avisa, ce fut parce que, bien inspiré, Damien avait poussé sa table légèrement en avant des autres et qu'il échappait aux regards.

Je ne pouvais prendre sur moi de faire la moindre observation. Qu'eussé-je pu faire au demeurant ? Face à la classe, rien du tout. Le prendre à part ? Pour lui dire quoi ? Car c'était trop tard maintenant. Si j'avais dû dire quelque chose, c'eût été dès le premier jour. Ma patience, mon indécision avaient valeur d'acqiescement. Et Damien savait bien cela, qui certain de l'impunité, s'enhardissait de plus en plus, se caressant ouvertement. Il fit un jour jaillir sa chair, terminée par un gros gland rose, mais la remisa prestement lorsque tinta la sonnerie. C'était la veille du départ pour Saint-Albans en Angleterre. Il me faudrait gérer l'après, quand revenu dans le lycée, lui et moi nous retrouverions dans un face à face compliqué, peut-être d'ailleurs ingérable. Je remis l'épreuve à plus tard.

Mais nous étions à Saint-Albans, et le dispatching commençait. Chaque élève fut accueilli par sa famille correspondante. Quant à moi je fus étonné de ne pas retrouver Susan, laquelle devait, comme de coutume, assurer mon hébergement. C'est qu'elle avait été, la veille, hospitalisée brutalement à la suite d'une péritonite. Le directeur me l'expliqua, m'informant que dans cette urgence, il avait dû improviser. A ses côtés un homme souriant écoutait ses explications. Il se présenta, Jeff Gregor, et m'apprit qu'il serait heureux de suppléer sa jeune collègue, étant lui-même prof de français au sein du même établissement, ceci pour la première année. Nous ne nous connaissions donc pas, car eût-il fait partie du staff des années précédentes, je l'aurais certes remarqué.

Jeff Gregor, la petite trentaine, portait en haut d'un corps racé une tête d'acteur anglo-saxon sorti droit de la Warner Bros, pur sosie d'un Eddie Redmayne. De lui il avait le poil brun, le nez fin, la bouche bien taillée s'ouvrant sur des dents éclatantes. Son sourire était tout autant dans ses yeux couleur de pistache surmontés par un front très haut, des yeux chaleureux et coquins d'où émanait sa séduction. Il était beau et le savait. Son regard brilla davantage quand il vit le trouble évident que me causait son apparence.

— Je suis désolé pour Susan, je sais que vous comptiez sur elle, me dit-il avec sympathie quand le directeur fut parti. I'll try to make you happy all the time you'll stay with me. Now let's go to my place.

Il prit ma valise, je suivis, tout en tâchant d'interpréter le sens exact de ses paroles. Il parlait un français parfait et pourtant il avait choisi, pour une partie, de s'exprimer en langue anglaise, cette partie dont la teneur me parut sitôt équivoque. Me rendre heureux ? De quelle façon ? Je fixai mon regard sur lui. Il souriait toujours, de côté, car nous étions dans sa voiture. Son beau profil, bien dessiné, se découpait comme une gravure. Son oreille, petite et charnue ressemblait à un coquillage que j'eusse voulu entre mes dents pour le mordiller savamment et faire éclore sur ses lèvres des gémissements de plaisir. Avais-je seulement une chance ? Un tel canon devait sûrement être une idole pour les minettes et sans doute même être marié. Allais-je trouver en arrivant une épouse et deux ou trois gosses ? Cette simple idée me déprima et voulant chasser ces pensées, j'entamai la conversation.

— Ma mère est française, vous savez. Et puis pourquoi se vouvoyer ? Puisque nous allons vivre ensemble pendant sept jours, autant de nuits, le tutoiement serait plus simple.

Il tourna son regard vers moi. Je n'en croyais pas mes oreilles. Il avait dit "autant de nuits". Le sang escalada ma verge, mon visage devint cramoisi. J'eus honte de ma réaction. Je pensai à l'épouse probable ayant préparé le dîner et qui sans doute s'impatientait, car pour rejoindre Saint-Albans, le car avait pris du retard. Afin de cacher mon malaise, je voulus changer de sujet.

— Tu ressembles à Eddie Redmayne. On te l'a sûrement déjà dit ?

— Plus de mille fois certainement, mais, tu sais, à part le physique, nous sommes l'opposé l'un de l'autre. Il est anglais de pure souche et moi mi-anglais mi-français. Il passe son temps en Amérique, moi je n'y suis jamais allé. Et puis enfin, pour tout te dire, il est hétéro, je suis gay.

Il posa sa main sur mon sexe. Je bandais comme un forcené. Jeff eut un rire de triomphe et ses doigts palpèrent le tissu qui emprisonnait ma grosse bite.

— J'en étais sûr, tu bandes pour moi. Tu vas me la fourrer bien profond. Car tu es pédé, avoue-le. Je l'ai su instantanément dès que j'ai vu ta jolie gueule. Le gaydar, ça marche à chaque coup et je ne suis jamais trompé. Garde ta queue raide, on arrive.

Un brusque virage nous porta sur le parking d'une résidence. Jeff me prit la main, m'entraîna, portant ma valise de l'autre. Il me tira dans les étages, avalant les marches d'escalier avec une rapidité joyeuse. Il n'avait pas ouvert la porte que sa bouche était sur la mienne. Puisque mes voeux étaient comblés, je n'allais pas faire ma chochotte. Je répondis à son baiser avec au moins autant de fougue qu'il en mettait à m'embrasser. Pendant que nos langues bataillaient, il déboutonnait ma braguette et ayant extirpé mon chibre, il s'affala sur les genoux pour le gober tout à son aise. Lui, costard cravate accroupi, moi cul nu et ventre en avant, nous formions un spectacle étrange.

Pendant qu'il pompait mon gros dard, se l'enfonçant en fond de gorge, j'eus le loisir de l'observer. De la masse de cheveux bruns qui couronnait sa jolie tête n'émergeaient que le bout de son nez et le pur relief de ses lèvres arrondies autour de mon gland. Quelquefois il s'en écartait, le considérait un instant, l'enveloppait d'un coup de langue, puis il reprenait sa succion. Quand mon zob fut près de cracher, il sut savamment s'interrompre et étrangler en bas ma tige pour stopper le jaillissement. Cependant qu'il me maintenait dans l'étreinte de sa main gauche, de la droite il baissait son fute et je vis alors apparaître le cul sacré, tant convoité, dont il allait me faire la grâce. Jamais je n'ai vu un tel cul. Pommé ainsi qu'une reinette et ombré d'un fin duvet noir, il se resserrait à la taille faisant, par effet de contraste, s'évaser les deux hémisphères en un globe voluptueux. Au fond de l'entonnoir intime, une rosette d'un rouge pâle se contractait par petits spasmes. J'y portai un doigt, elle s'ouvrit.

Elle s'épanouit comme une fleur cerclée d'une lèvre écarlate, et j'eus la vision de son trou. Il béait, noir et convulsif, écartelé par son attente. Pris d'une pulsion irrésistible, je descendis à sa hauteur et m'abouchai à cette ventouse. Un râle de plaisir m'accueillit quand j'y introduisis ma langue. Le sphincter s'agrandit alors, me donnant accès aux muqueuses. A la moiteur suave excrétée je joignis ma propre salive et j'entrai dans le saint des saints de par la puissance de ma langue, qui devint souple et serpentine. J'explorai la paroi secrète par de savants attouchements, en brusquant parfois de la pointe de mon organe hypertendu les sensibles papilles rectales. Alors Jeff contractait son cul avec des râles de bonheur et me retenait prisonnier la face enfouie entre ses fesses. Il me supplia : "Mets la moi, vite, s'il te plaît". Je grognai mon assentiment. En même temps je saisis les couilles de mon partenaire exalté, attirai sa queue rubescente parallèlement au périnée. Elle vint me heurter le menton, y laissant un flot de mouille, et je sus le moment venu. Alors je déculai ma langue et d'un élan me redressai pour lui enfourner ma matraque.

Il gueula comme un possédé, terme étymologiquement correct, car depuis lors Jeff fut à moi. Mon gros dard que j'avais branlé tout en le fouillant de ma langue, vint s'insérer exactement dans le fourreau moelleux, humide, que j'avais si bien préparé. Je pris le temps de l'enfoncer, ce cylindre décalotté par l'étreinte de sa rondelle, et peu à peu, dans ce fourreau, je pris une posture optimale pour sublimer la sodomie. J'aime faire du bien aux garçons, je baise avec délicatesse, n'obéissant que sur commande à leurs désirs parfois brutaux. Une sodomie bien conduite avec une bite de gros volume ne se fait pas à la hussarde. Le coulissement doux, régulier, dans un cul comblé de chair dure, fait éclore de puissants orgasmes chez l'enculeur et l'enculé, ça je le sais par expérience. Ce fut ainsi que j'officiai à la satisfaction mutuelle. Vers la fin de notre enculade j'accélérai le mouvement, Jeff se referma sur ma bite, la comprimant au maximum, puis nous crachâmes à l'unisson, moi dans son fion, lui sur le sol, avec un rugissement d'extase.

Deux jours durant, autant de nuits, j'enculai Jeff de cette manière qui nous convenait à tous deux. La nuit il dormait dans mes bras, sa bite pointée sur mon nombril, quasiment jamais débandée, se retournant à son réveil pour s'empaler une fois encore sur mon érection du matin. Dans notre grand lit king size, nous baisions en long, en travers, et je suçais sa queue tendue, petite mais bien dessinée. Je fourrageais dans son prépuce, avide de cueillir sa semence, mais toujours il se retournait; préférant à tout mon gros chibre qui lui dilatait la rondelle. Je n"en étais pas moins frustré, car bien qu'homosexuel actif, j'ai du goût pour la fellation et j'aime avoir une bite en bouche. Je suis un amateur de sperme, j'aime le sentir entre mes dents, dévaler au fond de ma gorge, partager avec mes amants un long baiser gluant de foutre, lécher aux commissures des lèvres le jus que je leur ai transmis. Mais rien de cela avec Jeff : il ne jouissait que par le cul.

Le jour pourtant il fallait bien nous occuper de nos élèves. Entre les cours, les excursions, nous avions peu de temps à perdre. Mes terminales semblaient ravis, à l'exception toutefois d'un seul qui tirait une sale tronche, Damien, pour ne pas le nommer. Je pressentis vite une emmerde car ce Damien était celui qui m'avait exposé sa bite. Qu'avait bien pu faire ce garçon ? Avec lui, tout était à craindre. Il fallait tirer ça au clair.

— Quelque chose ne va pas, Damien ?

— Je me fais chier avec cette famille, répondit-il tout uniment. Mon correspondant est un con et ses vieux encore pires que lui. Je ne comprends rien à ce qu'ils disent et ils s'en foutent complètement. Je moisis tout seul dans ma chambre, personne ne s'intéresse à moi. J'ai envie de rentrer en France.

— Cela, Damien, n'est pas possible.

— Je suis majeur et vacciné. D'ailleurs, ils en ont marre de moi. Si je ne trouve pas d'autre famille, je me casse, c'est décidé.

Il tourna les talons, buté. Eh bien, c'était une jolie tuile qui me tombait encore sur la gueule. Je m'en ouvris à mon amant, sans lui préciser néanmoins que Damien m'avait, au lycée, dragué sans aucune vergogne. L'avouer m'eût fort embarrassé, car Jeff aurait-il pu comprendre que, sans toutefois l'encourager, j'étais resté sans réaction, ce qui valait approbation, même si elle n'était que tacite. Me revenait en boomerang cette lâcheté avec laquelle j'avais refusé de trancher et de l'expulser de mon cours, comme n'importe qui l'aurait fait. Oui, il y avait de ma faute, car faisant mine de ne pas voir, j'avais été un pousse-au-crime. J'en étais à ces réflexions quand Jeff, ayant bien réfléchi, me fit cette proposition :

— Bon, je vais le prendre chez moi. J'ai trois chambres, comme tu le sais. Tu me rejoindras pour la nuit dès qu'il aura fermé sa porte. Rien ne sera changé pour nous, sauf pour le bruit, naturellement. Mais tu m'écraseras la gueule dans l'oreiller au moindre cri. Tout ira comme sur des roulettes.

Bien que secoué, catastrophé, je donnai mon assentiment non sans frémir à la pensée que nous pourrions être surpris. Pourtant je n'avais pas le choix, car j'eusse frémis bien davantage si Damien, résolu à fuir, avait tiré sa révérence pour un retour en métropole. Outre ma responsabilité de prof, il y avait celle de l'adulte en charge d'un adolescent, fût-il majeur et vacciné. Ses parents me l'avaient confié pour huit jours et pas un de moins. J'étais un homme responsable, je saurais bien m'accommoder de cette tournure inédite que prenaient les événements. En même temps, une excitation se faisait jour dans ma cervelle. Baiser sous le même toit que Damien me procurait une sensation inconnue, quelque peu perverse qui prolongeait, mais autrement, celle que j'avais ressentie naguère à la vue de sa bite d'ado. Bien qu'attiré par les quadras et surtout par les trentenaires, je savais qu'un zob est un zob. Le souvenir de ce gland rose, vu de moi à l'insu de tous, concrétisait la transgression, le tabou aimé des homos, celui de l'exhibitionnisme.

Je trouvai donc des avantages à la proposition de Jeff et nous décidâmes de régler le problème séance tenante. La famille en fut très surprise et le correspondant surtout, car ils n'avaient rien vu venir. Oui, Damien était agréable, oui, il participait à tout, vraiment ils ne comprenaient pas. Moi je comprenais maintenant que Damien nous avait piégés, avait monté de toutes pièces cette histoire à dormir debout, mais hélas il était trop tard. La famille était ulcérée et c'est triomphant que Damien emménagea chez Jeff Gregor. C'était mon tour de faire la gueule. Ce petit pédé osait tout, j'en avais une seconde preuve. Mais son air buté, malheureux, se transforma soudainement en une expression si radieuse que ses traits m'apparurent enfin dans leur clarté adolescente. Damien était beau, très beau. Je l'avais certes remarqué, mais jamais encore à ce point. La joie qui éclairait ses yeux illuminait tout son visage, donnait à ses linéaments une pureté angélique et un peu diabolique aussi. Il posa son regard sur moi d'un air de dire : "j'ai réussi, tu ne m'échapperas pas comme ça !" Comme moi Jeff en fut saisi. " Ce gosse est amoureux de toi" me murmura-t-il à l'oreille. Je restai muet, dévasté. Comment Jeff réagirait-il, ayant pénétré mon secret ? Mais bien loin de s'en offusquer, il poursuivit d'une voix coquine " Si tu n'en veux pas, je le prends !"

Et tout advint cette nuit même, comme je le redoutais tant. On n'échappe pas à son destin. Vers minuit, en train d'enculer mon amant Jeff comme de coutume, après avoir bien attendu que l'ado se fût endormi, je vis entrer dans notre chambre un Damien entièrement nu, la queue tendue d'une érection si grosse qu'il paraissait chétif en com
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