Accepter sa punition

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Accepter sa punition

Soumises, fautives et pudiques ont en commun de ne pas être libres : elles doivent obéir, et cet apprentissage est progressif. Il y a
des règles à apprendre, des réflexes à oublier. La contrainte, la punition et la douleur sont indissociables. La patiente doit ressentir la honte dans ses
comportements imposés, ce qui va la pousser à faire des fautes qu'il faudra sanctionner aussitôt. Elle doit comprendre aussi que la justice est faite pour les personnes
libres, et donc pas pour elle : c'est pour cela qu'on lui impose une fessée hebdomadaire et des immobilisations régulières (Voir § "entretenir sa soumise" )
De nombreuses punitions sont envisageables, faites-nous part de votre expérience...

La punition peut consister, notamment pour les rebelles, en une immobilisation aveugle, baillonnée, yeux bandés, mains liées dans le dos...

Ce qui est un plaisir pour une soumise peut être une punition pour une autre. Exemple ici avec S66 : son anus n'étant pas source de plaisir pour elle, la voici contrainte de le
travailler... Elle doit d'abord introduire un doigt , bien profond (ce qu'elle déteste). Ensuite, c'est le
plug , dont elle doit forcer l'entrée , qu'elle doit enfoncer encore, jusqu'à la garde ... Il
est ensuite laissé un bon moment en place !

Comme indiqué plus haut, les châtiments peuvent être infligés sans faute préalable, juste pour éprouver l'obéissance de la soumise. Ainsi, S94
a été éprouvée lors d'une séance complète de travail ...

Une punition multiforme pour S327 : la cire (plus près , " rhabillée "), et la corde , puis la fessée ... enfin l' humiliation ...
Une punition anale pour S34 : attente et premières traces , puis plug (plus
près )
Les seins de SR335 se consomment à la baguette ! ( détail )
S345 illustre ici une palette de punitions que la soumise doit endurer : humiliation par ouverture , humiliation par dévaluation de
rang , humiliation par immobilisation , fessée ...
Punition-humiliation pour S379 : avec un plug , retiré ... résultat !
S 171 à negligé son devoir de double masturbation quotidienne durant 2 jours (obligation imposée par son Maître sur une période de 60 jours) La punition ne
se fit pas attendre. Elle dut rester la chatte ouverte et s'exhiber ainsi , puis ce fut une "séance dilation" : 1 - 2 - 3 - 4 - 5 . Enfin S 171 put vaquer à ses occupations quotidiennes avec de
belles boules de geisha bien en place, durant une semaine ...
S 171 entre les mains de son Maître. Une tentative de rébellion vite matée par son Maître, vous remarquerez
les positions humiliantes de la chienne, notemment assise à même le sol sur le petit coussin. Enfin heureuse, S 171,
très chienne , vient réclamer son calin aux pieds de son Maître ...
S408 logiquement punie, récit de son maître : " La scéance de photo pour le jeu de S408 s'est terminée sur une
punition. Le motif de la punition étant un échange de messages avec M66 dont la teneur ne m'a pas convenu. S408, se sentant libre de ton, s'est permis de demander des
précisions sur sa position demandée par M66, alors que je lui avais fourni tous les détails précédemment. Ainsi S408 est punie pour une liberté de
ton qui me déplaît, et pour ne pas avoir cru son maître. A la fin de la séance photo, j'ai laissé S408 méditer sur sa faute, en gardant la position de
la photo, pendant quelques minutes. Je lui ai demandé de me proposer sa punition. Elle a choisi d'être mise à la porte, ainsi
équipée . Je l'ai donc photographiée dans l'allée qui donne directement sur la route, aux vues des passants. Je l'ai ensuite positionnée face à la
route et laissée ainsi exposée, seule, durant 2 minutes. 3 voitures sont passées durant cette punition. Elle a été autorisée à regagner
l'intérieur à quatre pattes, et sa punition a pris fin lorsqu'elle a baisé mes pieds, en me demandant de lui accorder mon pardon pour son impertinence. "

S408 toujours. Privée de forum, les internautes étaient plus punis qu'elle : la punition est levée contre des excuses publiques ( encore ) !
La machine à rosir, par S391 ( encore ) !

La punition de S391. Pas assez docile lors d'une séance "toutou", S391 est mise à la réflexion ( encore , de dos , plus près ). Sa laisse est ajoutée , et la soumise commence à
fatiguer ! Mais le résultat est là : docile , cambrée , soumise !
La flagellation de S433 : plus près , fesses !
Punition à la savate pour S666, pour refus de saillie matinale : en position , savate , coloration ,
humiliation , encore et encore !
Pour S433, ce sera le " chat à neuf queues " : elle attend puis rosit , se
cabre de plaisir (plus près ), 35 coups et puis jouit !
S128 est punie elle aussi. En laisse , avec le matériel de punition , qu'elle présente à
genoux ... Face au mur ( encore ) elle sent ses fesses rougir , rougir ... La
voilà calmée , docile , très docile ...
S446 raconte elle-même sa punition :
En fin d’après-midi, après avoir servi un café à mon Seigneur et Maître et à un Monsieur venu tout exprès le visiter, après
que mon Maître lui eut téléphoné. Il m’a ordonné d’exhiber devant cette personne les marques de ma déchéance acceptée,
écrites sur le corps, ce jour-même et ma vulve rasée . Puis après m’avoir fait céder à leurs caprices, il
m’ôta mon collier rouge et prêta son appareil photo à ce Monsieur en lui demandant de m’emmener avec sa voiture, au bout de l’impasse des Lauriers et de
m’y photographier discrètement . Puis de me renvoyer, masquée, manteau grand ouvert à la maison . A mon
retour, à pieds , mon Propriétaire qui m’attendait m’a demandé si, en signe d’humilité, envers les Maîtres
j’avais bien embrassé la main de son ami, avant qu’il me congédie. Je lui avouais que sous le trouble, j’avais complètement oublié mes devoirs
aux Maîtres. Et je lui réclamais ma punition bien méritée.. Il m'ordonna, en colère, de filer dans la chambre et d’en redescendre aussitôt,
vêtue de ma chaîne d’acier nickelé, de mes élastiques noirs serre-tétons et de mon « corset rose de dégradation ». Puis je
redescendais dans la pièce aux punitions, prendre ma position de punie le front au mur . Au bout d’un long quart d’heure
d’anxiété, mon S∓M m’ordonna d’ôter mon corset et de m’approcher . Et il me remit mon masque
de soumise . Puis il me passa mes bracelets de cuir, de punition, et remplaçait immédiatement mes serre-tétons de caoutchouc par les pinces en bois que je crains tant.
Mes tétons sont tellement sensibles . Sous la terrible douleur je me sentais pâlir . Mes paupières se fermaient, ma
bouche s’ouvrait et je pensais défaillir car je savais que cette morsure allait durer
jusqu’au moment où j’allais tomber en larmes aux pieds du Maître, et le supplier de pardonner la faute de sa femelle et d’arrêter mon supplice

Parfois, la punition est plus psychologique que physique : c'est le cas ici avec S66 qui a tendance à stresser quand elle est exhibée. Elle illustre la notion de punition par l'exhibition ... S66 est installée dans la voiture , les yeux bandés : elle est entièrement nue , offerte à la vue, avec ou sans reflet , et doit attendre
ainsi , aussi longtemps que son maître le désire...





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Article mis à jour le 21/10/14 11:49


Audrey Achekian

Mis à jour le 21/10/14 11:49



Quelle est la meilleure réponse à une bêtise ? Comment sanctionner sans être trop sévère ? Les solutions de nos spécialistes de l'enfance.
Le secret d'une bonne punition ? Il tient en deux points. D'abord, elle se doit d'être graduée. C'est-à-dire qu'elle s'adapte en fonction de la gravité de la faute. Plus elle est importante, plus elle est réprimée sévèrement. Enfin, elle doit être comprise par l'enfant. L'objectif est qu'il comprenne ce qu'il a fait et les conséquences qui en découle.
" L'aveu de la faute peut être considéré comme une sanction en soi " indique le pédopsychiatre Gilles-Marie Valet, dans son ouvrage " Se faire obéir sans (forcément) punir " aux éditions Larousse. En effet, si l'enfant réussit à exprimer sa "culpabilité", il peut ainsi prendre conscience de sa bêtise. Les parents pourront ensuite expliquer quel comportement aurait été plus adéquat.
Votre enfant est très en colère ou se roule par terre ? Il faut absolument l'inviter au calme. La solution ? " L'isolement a pour fonction de mettre à distance, à la fois physiquement et émotionnellement, les facteurs qui entretiennent ou exacerbent le comportement de l'enfant. " recommande le Dr Gilles-Marie Valet. Une punition qui permet à l'enfant de se tranquilliser de réfléchir à son acte. Préférez un endroit où il ne risque pas d'être stimulé sinon il sera distrait...
Votre bambin fait un gros caprice et hurle à tue-tête ? Ignorez-le ! " Montrez-vous parfaitement indifférente à ses cris. Poursuivez ce que vous étiez en train de faire comme si de rien n'était. Attendez qu'il se calme. Au besoin, quittez la pièce. Votre sérénité s'avérera contagieuse. " propose Clémence Denavit, auteure de " Comment (bien) élever son enfant sans crise de nerfs " chez Leduc. S éditions.
La réparation passe d'abord par des excuses... Cet acte demandant souvent un vrai effort pour l'enfant, il constitue une punition très éducative.
Pour comprendre ce qu'il doit faire ou non, votre enfant a besoin de messages clairs. Pour faire passer le message, rien de tel qu'un contrat qui énonce les principales règles de la maison. Lisez ce contrat tout haut et chacun devra en accepter les clauses. " Précisez que si les règles ne sont pas respectées, il y aura une punition. Mais alors, votre enfant l'aura bien cherché, car il était prévenu... " conseille Stephan Valentin , Docteur en psychologie.
" Recoller ce qui a été brisé, nettoyer ce qui a été souillé... sont autant de mesures concrètes qui mobilisent physiquement et affectivement, tout en amoindrissant les conséquences directes de la faute ." propose le pédopsychiatre Gilles-Marie Valet.
" Le remplacement ou le rachat ont pour vocation d'effacer totalement les conséquences de la bêtise, du moins dans son aspect matériel. On substitue à l'identique ce qu'on a dégradé, à cette nuance près que la dimension affective ne se remplace pas " révèle Gilles-Marie Valet. L'idée n'est pas non plus de ruiner votre tout petit mais de lui demande une petite participation...
Priver son enfant de sorties, télévision ou jeux vidéo... c'est la punition préférée des parents ! Est-ce pour autant la meilleure solution ? Gilles-Marie Valet détaille : " La privation doit être bien pensée : priver l'enfant de quelque chose qui ne l'intéresse pas n'a aucune portée et pourrait même discréditer le parent. Il s'agit de toucher à quelque chose qui ne soit pas indispensable à son bon développement mais qui revête tout de même une réelle importance pour lui. L'intention, bien sûr, n'est pas de le mortifier ni de chercher à lui faire le plus de peine ; il faut juste que cela ait du sens et représente quelque chose pour lui ." Attention toutefois à limiter le temps de cette punition qui doit forcément avoir une échéance proche. Ne le privez pas non plus de dessert ou de son activité sportive car cela atteint ses besoins fondamentaux.
Le secret d'une bonne punition ? Il tient en deux points. D'abord, elle se doit d'être graduée. C'est-à-dire qu'elle s'adapte en fonction de la gravité de la faute. Plus elle est importante, plus elle est réprimée sévèrement....
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Il y a quelques années encore, je n’avais aucune idée de ce que pouvait signifier la soumission à proprement dit. La « vraie » soumission à mes yeux, la plus complète, constante et désirée, sans aucune restreinte. Nous ne sommes jamais très loin de l’idée du lâcher prise, celui dont je parle en permanence. Ce sentiment puissamment libérateur que je cherche à atteindre un peu plus tous les jours. Me donner pleinement et sans limites, les yeux fermés. Pour y arriver, je me soumets donc au quotidien, très naturellement et cet article va vous expliquer de quoi il en retourne avec exactitude.
Certainement, j’imagine qu’il est beaucoup plus facile de se soumettre de façon ponctuelle, seulement lors d’une séance, ou en intérim. Certains d’entre vous vivent leurs soumissions ainsi : par intermittence. Vous vivez ces instants intensément, puis lorsque vous passez le pas de la porte, vous redevenez la femme ou l’homme libre et émancipé que vous avez toujours été. Vous soumettre vous fait du bien, c’est salvateur, mais il y a des limites à tout, et vous aimez bien au-delà, redevenir vous-même ensuite, probablement beaucoup moins soumis. Je comprends parfaitement ce genre de schéma même si je ne le partage pas, je crois même que vous êtes très nombreux dans ce cas de figure.
 Tout ça pour vous dire qu’aujourd’hui, je vais vous parler de tout l’inverse, puisque je me sens beaucoup mieux placée pour vous parler de ce que je vie, sans en faire de généralité, seulement vous témoigner mon positionnement, mon ressenti. Je vais donc aborder aujourd’hui comment je vis ma soumission au quotidien.
Mon tempérament est ainsi fait, je suis soumise et cela est bien ancré en moi, pas d’ambivalence possible. Cela ne signifie pas que je suis une bonne poire bien au contraire, mais j’ai ce trait de caractère tout naturel qui m’attire vers un état de soumission permanent et très marqué. J’aime me sentir sous la coupe et sous la responsabilité de quelqu’un, même si par la force des choses, j’ai appris aussi à être seule, sans accompagnement. Je suis quelqu’un d’ultra autonome justement, j’ai appris à voler de mes propres ailes et c’est très bien comme ça. J’aime à être une femme de caractère, organisée et très active. J’aime toucher à tout, et apprendre de moi-même, cependant, lorsque je sens une force supérieure proche de moi, quelqu’un vers qui me tourner, quelqu’un qui prendra un plaisir certain à m’épauler ou m’instruire, m’inculquer, me superviser, je suis naturellement attirée et ce processus m’est presque inconscient. J’aime à sentir la supériorité de quelqu’un sur moi, à la seule condition que dans mon esprit cette personne-là l’est réellement (qu’elle le revendique ne me fait rien, il faut obligatoirement que ce ressenti vienne de moi) je développe alors un certain sentiment d’admiration et commence petit à petit à me donner à la hauteur de ce que mon « dominant » me réclame.
Jusqu’alors, j’ai plutôt bien réussi ma vie, un peu grâce à ma soumission et aux « dominants » que j’ai pu croiser sur ma route. J’ai trouvé tout au long de mon cursus des personnes qui assumaient ce rôle à mes yeux à merveille, aussi rares soient-elles malgré tout, toutes bienveillantes et élévatrices. Aujourd’hui encore, j’ai une estime pour tous ces gens qui auront pris une place à part entière dans ma vie. Les dominants foncièrement mauvais, pratiquant l’abus de faiblesse, le racket intellectuel (le racket sous toutes ses formes à vrai dire, que cela touche au temps, à l’estime de soi, au bien intellectuel ou foncier) ne m’ont jamais intéressé d’aucune sorte. A vrai dire, je déteste ces gens, je leur crache au visage, et leurs pressions sur moi n’aura jamais abouti, même en y mettant une énergie folle. Je crois même que je suis assez difficile si l’on peut dire ça. Ne me soumet pas qui veut, ça c’est certain. Je parle de cela parce que ce genre de personnage sévit partout, dans tous les domaines : les relations de couple, la sphère familiale, professionnelle et même amicale. Il existe partout de vrais dominants néfastes qui prennent un plaisir certain à massacrer leurs proies, les ramener plus bas que terre, à voler des vies, voler des âmes et réduire à néant le capital émotionnel et psychologique de ceux qu’ils arrivent à soumettre par la pression et la terreur. On appelle ça communément des pervers narcissiques, beaucoup plus nombreux autour de nous que nous pourrions bien le croire naïvement.
Pour en revenir aux « bonnes » personnes, cela justifie en quoi les gens déteignent tant sur nous, cela justifie en quoi je me suis parfois complètement braquée dans ma scolarité et pourquoi à l’inverse j’aurai parfois tout donné pour certains super professeurs, avec qui tout à coup, miraculeusement je n’avais plus aucuns soucis d’attention en cours ni d’assiduité au travail. Sur les mêmes années, selon l’enseignant, je pouvais à la fois être le jour et la nuit. Avec mes histoires sentimentales, le schéma était le même, j’ai parfois été garce, virulente et sans aucune considération pour certains véritables connards prétentieux, et parfois tout l’inverse ; prête à tout donner les yeux fermés.
La soumission s’applique sur absolument tout, et le penchant sexuel n’en est qu’une maigre partie. Notre relation mon Maître et moi dépasse amplement la sphère sexuelle, comme je le signifiais précédemment. J’aime donc à ce qu’il me guide et me soumette sur le plus de plans possibles, surtout dans les domaines sur lesquels je le sens nettement supérieur
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