Abuser de jeunes filles dans un hôtel

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Écrit par



Emmanuel Pall





L'enquête est confiée au Service Régional de la Police Judiciaire d'Angers.

© France Télévisions







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Réseaux sociaux : une fillette de 11 ans piégée par un homme de 26 ans et violée dans un hôtel









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Après des semaines de discussion sur internet avec sa victime, l'adulte qui se faisait passer pour un adolescent de 14 ans, a donné rendez-vous à une fillette de 11 ans et l'aurait violée dans une chambre d'hôtel à Cuincy, dans le Nord.
La jeune fille est une pré-adolescente de 11 ans. Depuis près de deux mois, elle discutait avec son agresseur sur internet, persuadée de parler à un garçon à peine plus âgé qu'elle. Il disait avoir 14 ans mais était âgé du double. Usant de son emprise, il a réussi à persuader la jeune fille de le rejoindre et de mentir à sa maman, avant d'abuser d'elle sexuellement. 
La jeune fille habite Lens, les faits se sont déroulés dans un hôtel à Cuincy, dans le Nord, et l 'agresseur présumé, âgé en fait de 26 ans, a été interpellé le 16 juin dans le Cher (18), cinq jours après les faits. Il serait, pour sa part, domicilié à 300 kilomètres du lieu de rendez-vous en Région Centre, dans le Loiret.
D'abord placé en garde à vue, il a ensuite été mis en examen pour viol sur mineure de moins de 15 ans, et une information judiciaire a été ouverte à Douai, dans le Nord. 
Comment une mineure de 11 ans peut se rendre à un rendez-vous dans un hôtel ? "La victime aurait menti à sa mère en disant qu’elle allait dormir chez une amie. Sa maman l’a déposée devant la porte et le mis en cause a attendu qu’elle parte pour se montrer", confirme le parquet de Douai. Quand l'adolescente a compris que l'homme était plus âgé, elle était donc seule et sous emprise. L'agresseur aurait ensuite trouvé le moyen de la conduire jusqu'à un hôtel à Cuincy où l'individu se serait présenté comme étant "en compagnie de sa nièce." C'est dans cette chambre louée qu'il aurait abusé d'elle. Il aurait ensuite reconduit sa victime jusque dans l'arrondissement de Lens où réside l'enfant. Sur place, il la dépose dans une pharmacie pour qu'elle se procure une pilule du lendemain. Et c'est le personnel de la pharmacie qui parvient à avertir la mère. Cette dernière appellera à son tour la police. Il est arrêté cinq jours plus tard, dans le centre de la France. Le juge des libertés et de la détention a décidé de placer l'individu sous contrôle judiciaire. Le parquet a fait appel de cette décision. 

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De quelque côté que l'on se tourne, on ne voit qu'elles. Encadrées au mur, entassées sur le manteau de la cheminée, une commode en bois et un bahut fatigué, les photos défraîchies dévoilent trois visages radieux dont les sourires sont autant de banderilles au cœur : images d'un bonheur révolu, anéanti par les flammes une nuit d'août 2000.
Debout au milieu de ce salon devenu mausolée, se tient un homme brisé. George Lowe, 73 ans, n'a plus les mots, ou si peu, pour évoquer cet incendie criminel qui a tué sa femme et ses deux filles, et auquel il ne s'est jamais pardonné d'avoir survécu. « Ce jour-là, je ne savais même pas qu'elle était à nouveau enceinte… », souffle l'homme au visage raviné, regard triste tourné vers le portrait de sa cadette, une vieille photo d'école sur laquelle Lucy, bouille enfantine sur fond bleu azur, apparaît insouciante.
Dix-huit ans après le drame, le cliché fait la une des médias nationaux depuis les révélations du « Sunday Mirror ».
Le 11 mars dernier, le « Sunday Mirror » titrait sur le « pire scandale d'abus sexuels sur mineures jamais dévoilé »./DR
Pour l'Angleterre, le visage de Lucy est devenu celui de ces jeunes filles vulnérables qui auraient été régulièrement violées, vendues, battues et menacées à Telford , cité prospère du centre du pays. Au terme de son enquête, le tabloïd estime que jusqu'à 1 000 d'entre elles, parfois dès l'âge de 11 ans, auraient été abusées sur près de 40 ans par des gangs indo-pakistanais. Et suggère que Lucy a pu être tuée en représailles, sa mort utilisée pour faire un exemple.
De quoi repousser, encore un peu plus les limites du malheur pour la famille Lowe. « George s'en est toujours voulu de ne pas avoir pu les sauver cette nuit-là », nous raconte sa sœur, Edna Jackson. Dans sa cuisine proprette où elle reçoit autour d'une tasse de thé, la retraitée comble les vides de ce récit dramatique.
« Quand il a voulu entrer dans leurs chambres, il y avait déjà trop de fumée. Toutes les nuits, il revit la scène. Et maintenant, de savoir que sa petite a sans doute vécu toutes ces horreurs… » Edna suspend sa phrase, bouleversée à cette idée. La tante de Lucy aussi les a lus, ces témoignages parus dans la presse et qui tous, à des époques différentes et selon un schéma identique, racontent la vile exploitation de gamines à peine pubères.
« J'avais 12 ans lorsqu'un homme d'origine pakistanaise m'a repérée dans la rue, a témoigné l'une d'elles. Ça n'allait pas du tout à la maison, et, au départ, il était charmant. Mais, très vite, il m'a violée. Puis il m'a livrée à ses amis. A 13 ans, je suis tombée enceinte et le père aurait pu être n'importe lequel de ces vingt hommes », assène cette jeune femme sous le sceau de l'anonymat, analysant avec le recul la parfaite mise sous emprise de son agresseur, qu'elle pensait alors être son petit ami – un processus de conditionnement que les Anglais nomment le « grooming » .
« Personne, ni mes professeurs, ni les services sociaux, ne m'ont jamais posé de questions, poursuit-elle. Je pensais que ce qui se passait était normal. Comme si subir des viols collectifs était un passage obligé pour les adolescentes de Telford. »
Une autre, dans un récit qui donne la nausée, raconte comment, « nuit après nuit », elle était contrainte à des relations sexuelles « dans des fast-foods crasseux et des appartements dégoûtants », entraînant plusieurs avortements. « Une fois, décrit-elle, j'ai dû coucher avec neuf hommes à la suite. Ils faisaient la queue dans l'escalier. J'allais deux fois par semaine au planning familial chercher la pilule du lendemain sans que cela n'alerte personne. »
Pour la réduire au silence, le « chef » du gang usait d'un levier commun à toutes ces affaires : la peur. « Il me disait que si je parlais, il brûlerait ma maison. » Comme Lucy, morte à 16 ans des mains de celui que toute sa famille pensait être son petit ami.
Les motivations d'Azhar Ali Mehmood, condamné à la perpétuité pour l'incendie qui a ôté la vie à Lucy, Sarah et Eileen Lowe ce 5 août 2000, étaient jusqu'ici mystérieuses. « Il a toujours nié, précise Edna. On pensait que cela avait à voir avec la garde de Tasnim », la fillette de quinze mois dont Lucy avait accouché à l'âge de 14 ans, et préalablement sauvée des flammes : au petit matin, le bébé avait été retrouvé dans une couverture, posé au pied d'un arbre.
Lucy Lowe a été tuée dans l'incendie de sa maison./Caters News Agency /SIPA
Lucy n'aurait en fait été rien d'autre qu'une proie pour Azhar Ali Mehmood, d'après une jeune femme victime du même homme, à la même époque. Celle-ci, une semaine après le tragique incendie, avait porté plainte et raconté comment Ali Mehmood la transportait dans son taxi, elle et d'autres esclaves sexuelles dont Lucy. L'enquête, lancée seulement dix ans plus tard et sans que les Lowe n'en soient informés, avait abouti à un classement sans suite : le témoin, menacé de mort, s'était rétracté. Elle vit toujours sous protection.
« Ça me désespère… Pourquoi Lucy n'a-t-elle jamais rien dit ? », se torture George, qui n'avait rien détecté, à l'époque, des tourments de sa fille. Lucy, si sage et réservée, s'était certes mise à sécher les cours et à fuguer. « Personne ne parlait encore du « grooming », reprend Edna. On avait mis cela sur le compte de la crise d'adolescence… »
Désormais, les Lowe demandent des comptes. Ils ne sont pas les seuls. Les autorités locales sont suspectées d'avoir eu connaissance d'abus sexuels dès les années 1980 et d'avoir fermé les yeux, notamment sur ce que la presse a appelé la « maison du viol », dont le propriétaire est mort sans avoir jamais été inquiété, dans les années 1990. La police aurait dissuadé des jeunes filles de porter plainte, ignoré les alertes de témoins voire étouffé certaines voix critiques dans ses rangs.
« Je voyais les allées et venues, j'entendais des cris provenant de l'appartement voisin. La police a mis quatorze mois avant de se déplacer », nous confie David Duce à l'issue d'un conseil municipal extraordinaire, convoqué sous la pression publique le 29 mars dans un hôtel sans âme du centre-ville de Telford. Ce retraité fait référence à l'opération Chalice, une vaste enquête ayant conduit en 2010 à l'arrestation de neuf hommes impliqués dans un réseau de proxénétisme qui aurait fait pas moins de 100 victimes dans la région.
Un succès dont s'enorgueillit encore la police locale et le président du conseil municipal, Shaun Davies, à longueur d'interviews. « Cette enquête a constitué un tournant pour Telford et pour le pays dans la façon d'appréhender ce phénomène », veut croire l'élu, qui, s'il concède une forme de naïveté dans le passé nous assure que dans sa ville « les pratiques ont changé ».
Au grand dam de l'opposition conservatrice, qui réclame une grande enquête indépendante comme celle menée à Rotherham . En 2014, elle avait fait de cette cité en déclin industriel à l'est de Manchester la honte du pays, en révélant 1 400 cas d'abus sciemment ignorés par incompétence, incurie, corruption et peur de réveiller les tensions raciales.
De l'autre côté de la 4 x 4 voies qui traverse la ville de Telford, agrégat de petites localités rurales accolées à un centre-ville moderne, peu s'aventurent à commenter l'affaire. « Nous déplorons ces agissements, mais ils sont le fait d'une minorité. Et les victimes sont de toutes origines, y compris la nôtre », insiste Nazakat Khan, père de famille de 36 ans dont le garage automobile fait face à la mosquée.
A son image, la petite communauté indo-pakistanaise installée dans ces quelques rues typiquement british du quartier de Wellington dénonce la stigmatisation, mais avec méfiance. Ici, on se souvient des vitres brisées et des commerces ciblés par des activistes d'extrême droite dans le sillage de l'opération Chalice.
Au pied du centre commercial de Telf
On voit bien qu'elle adore la bite
Argentine s'amuse avec une bite
Une pute asiatique suce puis se fait baiser

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