A peine majeur se fait huiler partout

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A peine majeur se fait huiler partout


Psychologie et comment mieux gérer ses relations




10 signes qui pourraient indiquer que la mort est en train d’approcher







Par Cyril Renault


, le
dimanche, 27 mars 2016, 9h21
, mis à jour le jeudi, 10 mars 2022, 5h42
,
75 commentaires

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-
12 minutes de lecture





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Dix signes qui peuvent indiquer que la mort approche
On ne fait vraiment face à la mort qu’au moment où la mort nous regarde en face sans équivoque. Christine Longacre
Il était atteint d’un cancer de la gorge et son combat a duré 2 ans et demi. Dans les dernières semaines lorsque les médecins ont décidé de ne plus le soigner et qu’il a été transféré en soins palliatifs, nous avons tous été sous le choque et un peu perdus.
Le seul fait de rentrer dans ce service était très difficile, mais chaque jour l’un de nous allait le voir et chaque jour nous espérions encore un petit peu. Mais un matin le service, qui d’ailleurs a été très humain, nous a appelés pour nous prévenir qu’il fallait que l’on soit présent pour être là avec lui pour ses derniers moments. J’ai vu son dernier souffle et je le vois encore. C’est pour ça que j’ai voulu partager cet article avec vous car nous ne sommes jamais assez préparés face au décès de l’un de nos proches. Mon frère avait 47 ans …
La mort, autrefois omniprésente, est aujourd’hui cachée. Plus de 80 % des décès ont lieu à l’hôpital. Elle est loin l’époque où l’on veillait les personnes décédées chez soi, où tous les proches, voire tous les habitants du quartier, étaient invités à venir lui rendre un dernier hommage et où l’on voyait régulièrement passer dans les rues la procession de personnes endeuillées suivant un corbillard.
La conséquence est que la plupart d’entre nous n’avons plus aucune familiarité avec la mort. Nous ne savons plus à quoi elle ressemble. Nous ne savons plus comment nous comporter.C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de préparer cette lettre, qui peut paraître terrible. Nul ne connaît le jour, ni l’heure de la mort, et c’est la raison pour laquelle mieux vaut se tenir prêt.
Cette lettre est donc à conserver précieusement. Car le jour où elle arrive, je peux vous dire d’expérience que le simple fait de connaître les gestes à faire permet de mieux dominer le bouleversement et la douleur terribles qui peuvent s’emparer de vous.
Alors voici les dix signes que la mort approche, et ce qu’il convient alors de faire. Je me suis efforcé de rester très factuel, car, suivant les rapports que chacun avait avec la personne à l’agonie (parent, enfant, conjoint, frère ou sœur, grand-parents…) les émotions sont particulières et doivent être considérées au cas par cas.
Lorsque la mort approche, les besoins énergétiques diminuent. La personne commence à résister ou refuser de manger et de boire, et n’accepte que de petites quantité de nourritures fades (bouillie de légume par exemple). La viande , difficile à digérer, est souvent refusée en premier. A l’approche de la mort, la personne peut devenir incapable d’avaler.
Ce que vous pouvez essayer de faire : ne pas nourrir de force, respecter les signes donnés par la personne, même si vous pouvez être bouleversé et inquiet de cette perte d’intérêt pour la nourriture. Proposer régulièrement des petits bout de sorbet ou de glace, ou une gorgée d’eau. Passez une serviette humidifiée et chaude autour de la bouche et appliquez un baume pour les lèvres pour qu’elles restent humides et ne fassent pas mal.
La personne dort la plupart du jour et de la nuit tandis que sont métabolisme ralentit, et que la faible prise de nourriture et de boisson contribuent à la déshydratation. Il devient difficile de la réveiller. La fatigue et si forte que la personne n’arrive plus à suivre ce qui se passe directement autour d’elle.
Comment réagir : laissez la personne dormir. Evitez de la réveiller brutalement. Partez du principe que tout ce que vous dites peut être entendu, car l’ouïe continue à fonctionner, même lorsque la personne est inconsciente, et même dans le coma.
Le manque de nourriture et la fatigue affaiblissent la personne au point qu’elle peut devenir incapable de lever la tête, ou même d’aspirer dans une paille.
Com Ce que vous pouvez essayer de faire : concentrez-vous sur le confort de la personne.
Les organes commencent à ne plus fonctionner, y compris le cerveau . Peu de maladies provoquent une hyper-acuité (niveau élevé de conscience) lorsque la fin approche. En général, les mourants ne savent plus précisément où ils sont ni qui est dans la pièce, parlent et répondent moins souvent, s’adressent à des personnes que les autres ne voient pas, peuvent paraître dire des choses insensées, s’agiter et fouiller dans leurs draps.
Ce que vous pouvez essayer de faire : restez calme et rassurant. Parlez à la personne doucement et expliquez-lui qui vous êtes lorsque vous approchez.
La respiration devient irrégulière, difficile. Vous pouvez entendre une forme distinctive de respiration appelée respiration de Cheyne-Stokes (RCS) : une fo rte et profonde inhalation suivie d’une pause qui peut durer de cinq secondes à une minute complète, avant une forte reprise de la respiration puis de nouveau un épuisement. C’est ce qu’on appelle aussi « l’apnée du sommeil », qui est provoquée par des variations de pression artérielle et de concentration du sang en dioxyde de carbone. Les poumons et la gorge peuvent aussi produire des sécrétions excessives qui créent de forts bruits d’inspirations et d’expirations qu’on appelle le « râle ».
C Ce que vous pouvez essayer de faire : l’apnée et le râle peuvent être inquiétants pour les personnes présentes, mais le mourant n’est pas conscient de ces modifications de sa respiration. Encore une fois, concentrez-vous sur le confort de la personne. Les positions qui peuvent aider sont la tête légèrement relevée sur un oreiller, assoir la personne en la tenant bien avec des coussins et un dossier solide, ou la coucher légèrement inclinée sur le flanc. Humectez la bouche avec une serviette humide, éventuellement un brumisateur et mettez du baume sur les lèvres.
S’il y a beaucoup d’écoulements de la bouche et du nez, essuyez délicatement sans chercher à moucher la personne. Restez calmement auprès de la personne, tenez lui la main ou parlez lui doucement.
Au fur et à mesure que le corps s’arrête de fonctionner, la personne mourante perd de l’intérêt pour les personnes qui l’entourent. Elle peut arrêter de parler, marmonner de façon inintelligible, arrêter de répondre aux question, ou simplement tourner le dos. Quelques jours avant de se couper de son environnement, la personne peut parfois surprendre ses proches par une dernière effusion de joie et d’affection, qui peut durer moins d’une heure et jusqu’à une journée entière.
Ce que vous pouvez essayer de faire : soyez conscient qu’il s’agit d’une partie normale du processus de mort, qui n’a rien à voir avec la relation que vous aviez avec la personne. Maintenez une présence physique en touchant la personne et en continuant à parler, si vous vous sentez de le faire, sans demander quoi que ce soit en retour. Profitez immédiatement d’un moment de lucidité s’il se produit, parce qu’il s’évanouira rapidement.
Le faible volume de boisson et la baisse de la pression sanguine contribue à réduire l’activité des reins. L’urine devient très concentrée, brunâtre, rougeâtre ou couleur de thé. Il peut aussi y avoir une perte de contrôle des sphincters à l’approche de la mort.
Comment réagir : le personnel hospitalier peut parfois décider qu’un cathéter (une sonde) est nécessaire, sauf dans les dernières heures de la vie. L’arrêt de la fonction rénale augmente les toxines dans le sang et peut contribuer à provoquer un coma paisible avant la mort. Mettez une alaise sur le matelas en changeant les draps.
Lorsque le fonctionnement des reins ralentit, les liquides peuvent s’accumuler dans le corps, en particulier dans les zones éloignées du cœur comme les pieds et les chevilles. Ces zones, ainsi que les mains et le visage, peuvent gonfler. Ce que vous pouvez essayer de faire : en général, aucun traitement particulier (comme des diurétiques) n’est donné lorsque ces gonflements sont liés à l’agonie. Il s’agit d’une conséquence, et non d’une cause, de l’approche de la mort.
Dans les heures ou les minutes avant le décès, la circulation sanguine se retire de la périphérie du corps pour se concentrer sur les organes vitaux. Pendant que cela se produit, les mains, les doigts, les pieds et les orteils deviennent froids. Les ongles peuvent paraître pâles ou bleutés. Ce que vous pouvez essayer de faire : une couverture chaude peut maintenir le confort de la personne, et la maintenir consciente. La personne peut se plaindre du poids de ce qui la couvre donc ne la serrez pas trop.
La peau qui avait été uniformément pâle ou cendrée développe un modèle distinctif de marbrures violacées/rouges bleue, qui est l’un des signes que le décès est imminente. C’est le résultat du ralentissement de la circulation sanguine. On voit d’abord ces marbrures apparaître sur la plante des pieds.
Ce que vous pouvez essayer de faire : il n’y a rien de particulier à faire.
NB : Les signes énumérés ci-dessus décrivent un processus de mort naturelle. Ils peuvent varier d’une personne à l’autre. Si une personne est maintenue en vie artificiellement (respirateur, tube d’alimentation), le processus peut être différent.
Connaître ces différents signes peut aider à traverser ce douloureux moment sans être plus désemparé encore qu’on ne l’est déjà. Et si vous n’êtes pas « concerné » par cette lettre, réjouissez-vous et, surtout, profitez de chaque instant où les personnes que vous aimez sont encore bien vivantes et en pleine santé auprès de vous.
Le patient nous a demandé de nous tenir de chaque côté du lit, car il voulait nous remercier de nous être occupés de lui. Il a ensuite regardé vers la fenêtre, par dessus mon épaule, et dit : « Patiente un peu, je serai avec toi dans une minute, je veux juste remercier cette infirmière et cet infirmier de s’être occupés de moi. » Le patient a répété cette phrase deux fois puis est décédé. Peter Fenwick et Elizabeth Fenwick auteurs de The Art of Dying, 2008
Qu’une personne en fin de vie nous donne un aperçu de l’autre monde ou qu’elle converse avec des êtres que nous ne pouvons voir, nous devrions nous considérer grandement privilégiés que ceci arrive. Si nous ne commettons pas l’erreur de supposer qu’elles sont « confuses », nous pourrons probablement ressentir une partie de la joie qu’elles éprouvent. Car nous sommes alors témoins de la rencontre momentanée de deux mondes qui demeurent tout le reste du temps complètement séparés et inaccessibles l’un à l’autre. C’est cette rencontre que j’appelle la spiritualité de la mort. L. Stamford Betty extrait de « Are They Hallucinations or are They Real? » Omega, 2006
Parfois, les personnes en fin de vie semblent soudainement avoir un regain d’énergie juste avant de mourir. Elles semblent aller mieux – parfois juste assez pour dire au revoir à un proche. C’est vraiment étrange. C’est comme un sursaut d’énergie qui apparaît juste avant la mort. Elles deviennent cohérentes – puis s’en vont. C’est comme si elles savaient – et qu’elles attendaient l’arrivée d’une personne en particulier. Parfois, elles essaient de tenir jusqu’à ce que la personne soit là. Il suffit que celle-ci entre dans la chambre pour que le décès survienne. C’est comme si la personne mourante attendait le moment opportun pour s’en aller. C’est étrange, mais cela arrive fréquemment. Membre du personnel soignant dans une maison de soins infirmiers
Nous espérons que cette article vous aidera à surmonter les difficultés liées à l’accompagnement d’un proche ou d’un ami qui s’approche de la mort. Ce genre d’expérience n’est jamais facile à vivre et fait surgir nombre de réflexions. Cependant, le fait d’être au chevet de la personne au moment de sa mort peut être une expérience profondément riche et touchante à bien des niveaux. Nous vous souhaitons bon courage pour faire face à ce moment particulier.
C’est très probablement mon père qui m’a transmis cette passion que j’essaierai moi-même de transmettre à mes enfants. Dès que j'ai un peu de temps, je profite de l’occasion pour passer du temps dans la nature. Par ailleurs, je m’intéresse également à tout ce qui touche au bien être et à l'écologie de près ou de loin, je suis fasciné par toutes les méthodes d’investigation, vérifiables et reproductibles ayant pour but de produire des connaissances. J’ai donc décidé de rédiger des articles qui touchent à ces domaines. J’espère pouvoir vous transmettre un peu de mon savoir et de mon amour pour la nature.
Le dimanche, 27 mars 2016, 10h43 à 10h43, Karo a dit :
Bonjour !

Je tenais à réagir à cet article pour saluer son auteur, le courage et de la beauté de son geste d'avoir accompagner son proche, jusqu'au bout du voyage.

La mort fait peur, la mort dérange, et pourtant, c'est l'ultime cadeau de la vie, celui de la délivrance.
La véritable peur réside dans la souffrance.

L'hospitalisation à domicile (HAD) ainsi que les soins palliatifs devraient connaître un essor certain ces prochaines années, des moyens humains et financiers vont être renforcés, la mort est une étape moins douloureuse lorsque le proche est soulagé de ses douleurs, dans son cadre familier, il a également besoin de partir l'esprit allégé.

- Message de soutient et de respect aux aidant familiaux -

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Le lundi, 28 mars 2016, 16h35 à 16h35, dominique desdoits a dit :
mon compagnon est rentré à la maison pour ses 3 derniéres semaines ni ses fils ni moi voulions qu il meurt a l' hopital d' ailleurs il nous demandait de rentrer
.il a été en had jusqu'à la fin et se fut mieux pour lui et pour nous . j'ai pu l'accompagner jusqu'au bout. les derniers jours ont été pour moi comme un cadeau que nous n'aurions pas eu à l'hopital .il est parti serein entouré d' amour et à son moment je lui donnais la main et lui disais combien je l 'aimais.
si c' était à refaire je le refait sans aucune hésitation

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Le jeudi, 15 mars 2018, 7h40 à 7h40, Picot a dit :
J ai fait la même chose pour mon père. Moi et ma mère l avons veillé. Il était chez lui jusqu au bout. Le seul problème je dirai est la gestion de la souffrance. De la sienne bien sûr ... la nôtre étant de voir sa dégradation au fil des heures.
Nous ne regrettons rien.

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Le dimanche, 27 mars 2016, 20h21 à 20h21, Lydia Lecat a dit :
Bonjour,
mes Parents nous ont quittés à quinze jours de différences , en août dernier , et je peux vous dire que si j'avais lu cet article avant, cela m'aurait bien aidée à comprendre leurs réactions, leur état, savoir quel comportement adopter alors, et être moins bouleversée, (même encore à ce jour !) ah ! si j'avais su !
La situation vécue est exactement celle développée dans cette lettre qui est très instructive. Je souhaite que beaucoup de personnes puissent en prendre connaissance.
Merci à vous

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Le lundi, 6 novembre 2017, 2h37 à 2h37, Waldmann Andre a dit :
C'est aussi ma reaction à la lecture de cet article. Ma mère est partie le 20 aout dernier, ce que j'ai vécu est bien décrit ici, si seulement j'avais pu le lire avant, ça ma'aurait bien aidé!

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Le lundi, 28 mars 2016, 4h02 à 4h02, Marie-Claire Monéosari a dit :
j'ai vécu, la même chose avec mon époux, ça fait mal, mais comme nous avions beaucoup discuté bien avant, il savait qu'il allait mourir, il était atteint du cancer du poumon, il m'a dit qu'il fallait que je me prépare à son départ pour l'eau-de-là, qu'il ne fallait pas pleurer sur lui, mais plutôt sur nous qui restions.

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Le lundi, 28 mars 2016, 7h49 à 7h49, Patrick Larrieux a dit :
Bonjour.... Pas facile a vivre tout sa.... J ai accompagner ma femme juste qu' au derniers souffle... J
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