A la recherche des origines sexuelles

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A la recherche des origines sexuelles

Coup de cœur de Barbara Bonazzi : appel à « déserter », discours de fin d’études huit ingénieurs agronomes de AgroParisTech , « les Agros qui bifurquent »
Coup de cœur de Emmanuel Bellanger : le podcast de Jeunes de quartier : « Regarde-moi »
Coup de cœur de Gabrielle Chomentowski : Séance-débat au cinéma Le Louxor à Paris de PLOGOFF . Jeudi 24 Février 2022 à 20H00.
Coup de cœur de Véronique Servat : l’exposition « Douce France » au CNAM jusque début mai 2022.
Coup de cœur de Françoise Blum : l’exposition virtuelle Archives, mémoires et identités métisses , conçue dans le cadre du projet de recherche « Résolution-métis » en cours aux Archives de l’État, en Belgique.


 Sylvie Chaperon , Les origines de la sexologie (1850-1900), Payot, 2012, coll. «Petite bibliothèque Payot, n°846», 352 p.

La sexologie, ou science de la sexualité, s’est constituée au début des années 1910, mais son élaboration remonte au milieu du XIXe siècle, lorsque des médecins et des psychiatres ont commencé à prôner une approche expérimentale de la sexualité humaine. Quelles théories furent alors développées ? Que recelaient les guides pratiques publiés à destination des couples ? Que considérait-on comme des perversions sexuelles ? Quelles étaient les thérapeutiques recommandées – de la diète à l’hypnose en passant par la chirurgie ? Quels enjeux de pouvoir, quelles croyances et représentations culturelles sous-tendaient ces discours ?
Première synthèse sur un moment crucial de l’histoire de la sexualité, ce livre est d’ores et déjà considéré comme une référence.
Vos droits. Tout comportement contraire à l’éthique dont ils ou elles seraient victimes doit être dénoncé. Les cas de harcèlement en particulier doivent être signalés.
Adresse générique : sosharcelements
Numéro de téléphone : 0144078700
Sur le site de Paris 1
Vous pouvez aussi vous adresser à :
– la médecine préventive des étudiants
– l’assistant du service social du CROUS
– un représentant syndical
Le Campus Condorcet développe une offre de service socio-médical, à destination des chercheur.euse.s, étudiant.e.s, personnels administratifs, riverain.e.s et plus largement de tou.te.s les usagers du campus.
Le Centre d’histoire sociale des mondes contemporains est une Unité mixte de recherche de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne et du CNRS (UMR 8058).
Campus Condorcet Bâtiment recherche Sud (aile Sud), 4e étage 5, cours des Humanités 93322 Aubervilliers Cedex



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Évolution de la sexualité à travers le temps


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La sexualité, pourquoi est-ce si tabou ? À travers les époques, notre perception du sexe a évolué. Même si les pratiques dépendent du lieu de naissance, de la culture ou encore de la religion, les mœurs ne cessent de changer. Comment la vision du sexe a-t-elle progressé ? À quel avenir la sexualité est-elle promise ?
Durant l’Antiquité, la vision du sexe était totalement phallocentrique . Effectivement, l’acte sexuel n’existait pas sans pénétration. Le plaisir féminin était alors totalement méconnu. En revanche, les distinctions de préférences sexuelles n’étaient pas présentes comme à l’heure actuelle. L’ homosexualité n’était pas pointée du doigt parce que le statut social primait davantage, ainsi que le rôle joué dans la relation.
Lorsque l’on s’imagine la sexualité durant l’Antiquité, ce sont les banquets, les coupes remplies de vin et les orgies s’affranchissant de nos limites morales actuelles, qui nous viennent en tête. Pourtant, l’art et la télévision ont nourri ces mythes. L’alimentation romaine et ses prétendues dérives servent ainsi à dénoncer les travers de nos sociétés contemporaines, comme un miroir que l’on regarderait honteusement , écrit Arkhé, une maison d’édition.
Même si le sexe était plus libre et que le corps était moins tabou , l’orgie fantasmée par notre époque relève du mythe. Le scandale des Bacchanales, affaire politico-religieuse survenue en 186 av. J.C., est à l’origine de l’amplification des rumeurs entourant certaines pratiques sexuelles et religieuses. En effet, la consommation excessive de vin était, à l’époque, le moyen utilisé pour entrer en osmose avec le divin. Les autorités découvrirent que des hommes et des femmes vouaient un culte au dieu Bacchus. Ils se réunissaient régulièrement pour assister à diverses cérémonies où l’on favorisait la vie de débauche, comme le viol, allant jusqu’au meurtre en cas de résistance.
À partir du Moyen-Âge, le sexe devient tabou en raison de la religion et du caractère patriarcal de notre société . L’Église impose les interdits de l’Ancien Testament tels que l’inceste, la nudité, la sodomie, les rapports pendant les règles et l’homosexualité. Cette dernière est d’ailleurs condamnée par l’Église, envoyant le coupable au bûcher dans les cas les plus extrêmes.
De plus, le mariage arrangé était la norme sous l’Ancien Régime. Constituer une alliance entre deux seigneuries permettait de renforcer le pouvoir entre deux familles et ainsi de préserver une lignée et de transmettre un patrimoine en agrandissant le territoire. Cela engendrait protection, richesse et descendance. Bien souvent, il n’y avait aucune notion d’amour dans les mariages. Le but des rapports sexuels était la procréation, et non le plaisir. La femme devait bien souvent être passive et laisser toutes les initiatives à l’homme. De plus, la présence de sang menstruel, nécessaire pour enfanter, était tabou et les femmes, de ce fait, souvent mises à l’écart.
La sexualité était donc régie par des règles très strictes, édictées par la religion. Des procès se tenaient par exemple si la femme se plaignait d’un problème d’érection chez l’homme. La cour se réunissait afin d’observer le couple à l’œuvre et de déterminer l’origine du problème. Si celui-ci provenait de la femme, elle était publiquement humiliée. Sinon, c’était la réputation de l’homme qui s’en trouvait menacée. Les aristocrates assistaient également régulièrement à ces procès, pariant même de l’argent.
Le sexe n'est pas du tout tabou au Moyen Âge et les médecins consacrent de longues pages, voire des traités entiers, à la question. Ils s'attardent notamment beaucoup sur les positions qui sont censées permettre la procréation, objectif ultime du rapport sexuel pic.twitter.com/jGhzSAdqzC
Durant l’époque moderne, la sexualité était jugée comme une chose sale. Les femmes s’habillaient de vêtements longs et la nudité n’était pas tolérée. Le sexe était tributaire des codes sociaux dérivés d’une éthique chrétienne rigoriste. La devise était simple : tout rapport sexuel pouvait donner naissance à un enfant. L’Église préconisait alors une sorte d’abstinence sexuelle durant les périodes de jeûne comme l’Avent et le Carême. L’homosexualité était toujours réputée contre-nature, et le clergé encourageait le mariage aussi tardivement que possible.
Avec la perte d’influence de l’Église après la Révolution française, de nouvelles lois émergèrent. Le 20 septembre 1792, l’État autorisa le divorce, dont le taux était de 25 % des mariages. Le code pénal ne considéra plus l’homosexualité comme un crime et engloba toutes les pratiques non conformes à la norme sociale dans le cadre d’une atteinte aux bonnes mœurs . La révolution sexuelle fut lancée alors que l’Église perdait peu à peu son rôle tutélaire.
Aujourd’hui, la sexualité n’a jamais eu une place aussi importante dans la société. Certes, toutes les cultures ne sont pas encore concernées par ce changement mais il gagne tout de même du terrain. À la fin de la Première guerre mondiale, les femmes troquèrent leurs longues jupes pour des vêtements plus courts. Les codes sociaux tolérèrent de moins en moins la pilosité. Après la Seconde guerre mondiale, l’image d’une femme bien portante s’occupant du foyer fut troquée contre celle d’une femme mince prenant part aux activités économiques au même titre que les hommes.
C’est également durant l’époque contemporaine que, pour la première fois, le but de la famille changea du tout au tout. Philippe Meirieu , spécialiste des sciences de l’éducation et de la pédagogie, écrit même : Nous vivons, pour la première fois, dans une société où l’immense majorité des enfants qui viennent au monde, sont des enfants désirés. Cela entraîne un renversement radical : jadis, la famille « faisait des enfants », aujourd’hui, c’est l’enfant qui fait la famille. Désormais, le mariage se choisit, et les enfants aussi !
La place des femmes s’ajuste, l’égalité se resserre. On se questionne désormais sur l’origine du plaisir féminin et comment atteindre l’orgasme. Dans l’ouvrage De re anatomica paru en 1559, l’auteur évoque le clitoris en expliquant qu’ il est le siège principal du plaisir des femmes pendant les rapports sexuels . Tout évolue, l’accès aux connaissances place le sexe et le plaisir au cœur d’une relation épanouie. Une étude de l’HEYME évoque que 3,1 % des jeunes interrogés se déclarent pansexuels, c’est-à-dire des personnes qui ne tiennent pas compte du genre de l’autre. De plus, 55,2 % visionnent régulièrement des films pornographiques.
De même, le sexe s’explore de plus en plus tôt. En effet, l’étude de Santé Publique France montre que l’âge médian du premier rapport sexuel des Français a baissé d’un an chez les hommes et de presque deux pour les femmes. En 1967, la contraception se légalise puis se commercialise. La Sécurité Sociale rembourse la contraception à partir de 1972. La légalisation de l’avortement intervient trois ans plus tard. Celui-ci est alors remboursé en 1982. Grâce à toutes ces améliorations en termes de santé et de recherche, la population s’intéresse et comprend désormais le sexe beaucoup mieux qu’auparavant.
Alors que dans l’ensemble, la sexualité a souvent été critiquée, jugée sale et tabou ; maintenant, les codes sociaux se brisent peu à peu pour laisser de la place aux minorités. Les mentalités évoluent vers une sexualité plus libre, basée sur le plaisir, le respect et l’égalité.
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Amants, dynastie moghole c 1597, attribué à Manohar. Avec la permission de Freer Gallery of Art / Wikipedia
"Le monde a toujours appartenu aux mâles", écrit Simone de Beauvoir dans Le deuxième sexe (1949), "et aucune des raisons données pour cela n'a jamais semblé suffisante." Étant donné l'intelligence et les capacités manifestement égales des femmes, comment aurait-il pu y avoir eu tant de siècles de domination sexuelle, de patriarcat? Pour beaucoup, les réponses à cette question ont semblé aussi évidentes que les privilèges du pouvoir dans toute autre forme de domination sociale. En conséquence, les critiques du patriarcat prennent souvent la forme d'une lutte pour le pouvoir, d'une lutte pour le contrôle de l'agenda social. Cependant, selon moi, les explications du «pouvoir social» pour les institutions de domination sexuelle restent fondamentalement imparfaites et insuffisantes.
À leur place, j'ai proposé une dialectique historique qui prétend - et je dois ici faire attention, de peur que la revendication ne sois disculpatoire - que de telles institutions de domination soient inévitables, même si elles sont fausses. Je considère la domination sexuelle institutionnalisée comme une partie inévitable d'une longue lutte, souvent douloureuse, pour donner un sens à la reproduction de la vie humaine - aboutissant à la séparation de la reproduction sexuelle de l'amour sexuel et à l'émergence de formes de vie amour.
Au cours des dernières années, avec une rapidité étonnante, l'opposition sociale généralisée au mariage entre personnes du même sexe s'est évaporée dans de nombreuses parties du monde. Un contrôle fiable des naissances, un accès sûr et légal à l'avortement et de nouvelles formations parentales font que la propagation de la vie et l'éducation des enfants semblent de moins en moins résulter de la reproduction sexuée. En même temps, nous traversons l'une des transformations les plus profondes de l'histoire de l'humanité: l'érosion d'une division du travail fondée sur le sexe. Ces développements ne reflètent pas seulement des faits moraux récemment découverts - «égalité» ou «dignité». Au contraire, je voudrais suggérer, ils sont le résultat d'un long effort collectif d'auto-éducation, qui a commencé par essayer de comprendre ce que Genèse appelé «fécondité et multiplicité».
À un certain moment dans le passé ancien, les êtres humains figuré que nous reproduisons sexuellement - que la reproduction de la vie humaine résulte d'actes particuliers et significatifs pour lesquels nous pouvons nous tenir mutuellement responsables. le manière nous avons appris que cela a dû être en assistant à comment ou quand nous nous touchons et nous nous engageons mutuellement sexuellement. De plus, apprendre comment nous, en tant qu'êtres humains, nous avons reproduit doit aussi avoir complètement transformé les manières mêmes dont nous reproduisons.
Une fois que nos ancêtres ont compris non seulement que certains actes étaient potentiellement procréatifs, mais que seuls certains individus - à des stades précis de la vie - pouvaient avoir des enfants, une division socialement significative entre les sexes s'imposait, sous la forme de restrictions imposées aux femmes. Selon moi, l'oppression patriarcale des femmes ne découle d'aucune «volonté de domination des femmes» (comme de Beauvoir maintenu ni de l'attribution «arbitraire» de la femme au genre féminin (Judith Butler a argumenté ), mais de la compréhension sexuelle de nos ancêtres.
Bien sûr, beaucoup de choses sur la reproduction sexuelle sont restées (et restent) mystérieuses: les fausses couches, les naissances multiples, l'apparition de la douleur. Pendant longtemps, le seul aspect de la reproduction sexuée qui était «connu» avec confiance était le simple fait que seules les femmes d'un certain âge pouvaient avoir des enfants à la suite d'actes sexuels particuliers avec des hommes. Parmi les conséquences de cette connaissance limitée se trouvait une question extrêmement pressante: que sommes-nous faire l'un avec l'autre sexuellement quand nous ne procréons pas, ou quand on sait que la reproduction sexuelle est un résultat impossible de l'interaction sexuelle?
Cette question a bien sûr suscité une énorme réflexion, de Platon à Sigmund Freud. Un problème obsédant mérite cependant un examen particulier. Dans de nombreuses circonstances, l'un des objectifs essentiels des actes sexuels a été de prouver que ce n'est pas simplement une expulsion de nous - réfuter que les expériences sexuelles sont simplement subies ou «subies», causées par l'appétit naturel ou les exigences procréatives. Les expériences sexuelles devaient être comprises - d'une manière ou d'une autre - comme exprimant un agent, comme quelque chose que nous faisons et que nous subissons.
Malheureusement, la certitude que l'on est intérim sexuellement - pas seulement motivé par des appétits ou des désirs hors de son contrôle - peut être facilement réalisé par la domination sexuelle institutionnalisée, en installant une hiérarchie genrée des rôles sexuels «actifs» et «passifs». L'esprit saute aux yeux des innombrables «initiations», des manières profondes et durables dont les êtres humains ont vécu cela - l'abus systématique des garçons et des filles, la prostitution et le trafic sexuel, les épouses et les
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