A 18 ans cette teen blonde goûte à sa première

A 18 ans cette teen blonde goûte à sa première




🛑 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻

































A 18 ans cette teen blonde goûte à sa première
Le respect de vos données est notre priorité Nous et nos partenaires pouvons stocker et/ou accéder à des informations stockées sur votre terminal (telles que données d'identification, de navigation, de géolocalisation) au moyen de cookies ou technologies similaires. Avec votre accord, nous et nos partenaires utilisons des traceurs afin de produire des statistiques d'usage ou personnaliser votre expérience (identification par analyse du terminal, publicités et contenus personnalisés, mesure de performance des publicités et contenus, production de données d'audience et développement de produit) sur internet ou par communication directe (email, sms...). Vous pouvez consentir à ces utilisations en cliquant sur le bouton «Accepter & Fermer», «Continuer sans accepter» dans le cas contraire, ou obtenir plus de détails et/ou en refuser tout ou partie en cliquant sur «En savoir plus →». En cas de refus, vous continuerez à recevoir des publicités mais ces dernières ne seront pas personnalisées en fonction de vos centres d'intérêts. Vos choix seront appliqués sur l'ensemble du portail BFMTV (*.bfmtv.com) et conservés au maximum pendant 13 mois. Vous pouvez à tout moment modifier vos choix en utilisant le lien "cookies" figurant en bas de page sur ce site. Pour en savoir plus, vous pouvez également consulter notre politique de protection des données personnelles .
Newsletters Actualité Inscrivez-vous gratuitement !
Une jeune fille de 18 ans vend sa virginité pour 2,3 millions d'euros
Alexandra Khefren, une Roumaine âgée de 18 ans, a mis sa virginité aux enchères. Un homme d'affaires de Hong Kong a payé 2,3 millions d'euros pour passer une nuit avec la jeune fille. Selon elle, si cet homme paie autant, c'est forcément "quelqu'un de bien".
Une jeune fille de 18 ans vend sa virginité pour 2,3 millions d'euros
Alexandra Khefren, une Roumaine de 18 ans, a vendu sa virginité aux enchères - Youtube
Elle a vendu sa virginité pour 2,3 millions d'euros. Alexandra Khefren, une Roumaine âgée de 18 ans, a trouvé un acheteur: un homme d'affaires de Hong Kong, comme le rapporte Libération . Depuis la fin 2016, la jeune fille qui vit à Bucarest avait mis aux enchères sa première relation sexuelle sur le site d'une agence "d'escorts" allemande, Cinderella Escort. Mise de départ: 1 million d'euros.
Sur le site de l'agence - qui s'est octroyé 20% de la somme totale et propose d'autres vierges à la vente - la jeune fille apparaissait en sous-vêtements dans des des positions lascives. L'annonce précisait que "le rendez-vous a lieu en Allemagne. L'acheteur peut choisir l'hôtel, où Alexandra passera la nuit avec lui."
"J'ai besoin de cet argent pour étudier à l'étranger"
"Beaucoup de filles perdent leur virginité et se séparent ensuite du garçon, ça ne vaut pas la peine. J'ai une bonne raison de le faire, j'ai besoin de cet argent pour étudier à l'étranger."
"Si quelqu'un paie ce prix, c'est forcément un homme bien"
La jeune fille déclarait également avoir ce projet depuis l'âge de 15 ans après avoir vu le film Proposition indécente, dans lequel Robert Redford offre un million de dollars à Demi Moore en échange d'une nuit. Alexandra précisait qu'elle subirait un test de virginité dans le pays de l'acheteur. Mais semblait peut informée quant aux risques pour sa santé de transmission de MST.
"Je n'y avais pas pensé. Je ne sais rien des choses du sexe" et ajoutait qu'elle prendrait la pilule pour ne pas tomber enceinte. Confiante quant à l'issue de son projet, elle assurait: "Si quelqu'un paie ce prix, c'est forcément un homme bien."
En 2002, l'Allemagne a adopté une loi sur la prostitution pour ne plus considérer cette activité comme "immorale" et renforçant les droits des prostitués, avec contrat de travail et accès à la sécurité sociale. Une loi qui n'a finalement pas amélioré leurs conditions de travail. "Cette loi a en réalité accéléré la traite des êtres humains, dénonce pour BFMTV.com Claire Serre-Combe, porte-parole d'Osez le féminisme. Cela prouve bien qu'il n'est pas possible d'encadrer cette activité." La militante regrette par ailleurs une vision glamour et erronée de la prostitution. 
"Il y a tout un mythe entretenu sur la prostitution qui gomme et banalise les violences qu'il faut déconstruire. Une vision romantique, comme dans les films Pretty Woman ou plus récemment Jeune et jolie, de l'argent facile, du champagne, des clients sympas et des hôtels de luxe. Or, ce n'est pas ça la prostitution. Sans compter l'idée selon laquelle une femme vierge aurait plus de valeur."
Plusieurs centaines de jeunes filles candidates
Et selon lui, ces dernières seraient tout à fait mûres. "Nous n'accepterions jamais une enchère avec une fille qui ne serait pas suffisamment adulte pour comprendre ce qu'elle est en train de faire ou qui aurait des problèmes psychologiques", ajoutant que l'agence les envoyait consulter un psychiatre. 
Selon l'oncle d'Alexandra, son projet a été très mal accueilli par ses parents. Interrogé par le Daily Mail , il a indiqué que son père a menacé de la renier. "Ils l'ont suppliée de ne pas le faire, mais elle leur a dit: 'j'ai 18 ans, je peux faire ce que je veux avec mon corps'."
Claire Serre-Combe doute du choix "libre et éclairé" de cette jeune fille "dans une société où les égalités entre les hommes et les femmes sont si fortes".
"Elle explique qu'elle a besoin d'argent, elle est complètement ignorante sur les moyens de protection. En a-t-elle seulement envie? Elle est comme une poupée de chiffons entre les mains de cet homme."
© Copyright 2006-2021 BFMTV.com. Tous droits réservés. Site édité par NextInteractive

Vous ne pouvez visionner ce contenu car vous avez refusé les cookies associés aux contenus issus de tiers. Si vous souhaitez visionner ce contenu, vous pouvez modifier vos choix .
Valérie pensait que le plaisir n'était pas fait pour elle.
SEXE- Mariée à un homme depuis des années, Valérie n'a eu son premier orgasme qu'à 35 ans... Dans les bras de sa voisine.
Les propos de cette histoire ont été recueillis par la rédaction de Elle.fr et retranscrits à la première personne.
Les premières lueurs du jour me réveillent doucement. Le corps engourdi, mais étrangement apaisé, je flotte entre le rêve et le sommeil. J'ai mal au crâne, j'ai un peu trop bu la veille. Des images de Marie me reviennent : Marie qui pleure, puis Marie qui sourit ; Marie qui a les yeux qui brillent, Marie qui est jolie ; Marie qui joue avec mes bracelets, Marie qui vient se blottir contre moi... Toutes les deux sur le canapé du salon. Une bouteille vide sur la table basse. Des braises dans la cheminée. Je ne sais plus quelle heure il était quand ça a basculé, ni comment ça s'est passé, ni qui a commencé réellement. Je revois juste nos corps nus, fébriles, ma bouche cherchant la sienne, ses mains serrant les miennes. Marie et moi avons fait l'amour, toute la nuit. Aussi simplement et naturellement que ça. Aussi formidablement que ça.
Pour la première fois de ma vie, j'ai joui. Pourtant, je suis hétéro, je le sais. Et, même là, je n'en doute pas. En revanche, moi qui croyais que les joies du sexe étaient réservées aux autres... Ce matin-là, troublée et heureuse de l'être, j'ai su que je m'étais trompée. Moi aussi, je pouvais.
J'ai grandi dans une famille où le sexe n'était pas tabou : il n'était pas, voilà tout. Mes parents, artisans, bossaient comme des fous pour joindre les deux bouts, et seul le travail avait de la valeur à leurs yeux. Je ne les ai jamais vus se détendre, goûter le bonheur d'être à deux, encore moins s'embrasser. Pas une marque de tendresse entre eux ; pas plus pour nous, leurs enfants. D'ailleurs, ma mère ne nous lavait pas, elle nous briquait. Quand j'ai eu mes règles, elle m'a giflée : chez ses parents, paysans, c'était la tradition, paraît-il. En revanche, pas un mot sur mon corps qui change ou sur la puberté qui me tombe dessus... Ma grand-mère, catholique pratiquante, vivait chez nous. Avec le recul, je pense que c'est sa dureté qui étouffait tout ce qui aurait pu ressembler à du plaisir ou à de la sensualité.
Une première fois, ni bonne ni mauvaise
Au lycée, j'ai eu la chance de vouloir suivre une option qui me contraignait à partir en internat. Loin des miens, j'ai découvert un monde que je ne soupçonnais pas. Mes nouvelles amies se racontaient le soir, sous la couette, comment elles avaient dragué celui-ci, embrassé celui-là... Et elles ne brûlaient pas en enfer pour autant ! Alors j'ai voulu essayer. C'était la boum de fin d'année, j'étais en seconde, lui terminait son CAP, mais il était plus âgé et plus expérimenté que moi. Il m'a invitée à danser et m'a embrassée. Plus précisément, il a enfourné sans aucun préalable sa langue dans ma bouche. Une limace aurait été plus appétissante. J'ai détesté et me suis enfermée dans les toilettes pour le reste de la soirée.
Les mois passent, mon corps se transforme. Tant que je vivais chez mes parents, il se faisait, lui aussi, très discret. Mais l'internat lui fait du bien et me voilà nantie d'une belle poitrine et de fesses rebondies. Les garçons du lycée s'intéressent à moi, ça me met mal à l'aise. Le regard noir de ma grand-mère me l'a fait comprendre : j'ai raison d'avoir honte de mes formes. Mes copines, elles, me chahutent, me poussent à mettre des jupes, à me maquiller. J'envie leur légèreté, leur audace. Alors, quand elles me proposent de me joindre à elles pour fêter notre bac au bord de la mer, je fonce. À l'usure, je convaincs mes parents de me laisser partir. Officiellement, on travaille pour une association qui offre des vacances à des enfants défavorisés. Mais, quand les petits sont couchés, c'est la fête pour les animateurs.
Un soir, je décide qu'il est temps de sauter le pas. Je prends l'un de mes camarades par la main et l'entraîne vers la plage. Pas anxieuse, déterminée : il me paraît inconcevable d'entrer vierge à la fac. Ma première fois n'est ni une bonne ni une mauvaise expérience. Je ne ressens pas un gramme du plaisir promis par mes copines, mais je me dis que ça viendra. Évidemment, de retour au camping, je fais comme elles et clame que j'ai joui à pleins poumons.
Il se préoccupe seulement de son plaisir
Les années de fac, de ce point de vue-là, ne sont pas celles que j'espérais : on ne change pas une équipe qui perd. L'amour, le sexe et moi, ce n'est toujours pas ça. J'ai honte en famille de paraître trop libérée ; honte avec mes amies de paraître trop coincée. Résultat, je ne parle de mes doutes à personne. Est-ce normal de ne pas aimer telle ou telle caresse ? Le jour où j'aurai un orgasme, je le saurai ? Et comment fait-on pour en avoir un ? Mais vous, jouissez-vous vraiment à chaque fois ? Ces questions me taraudent. Faute de pouvoir les poser, j'évacue une partie du problème (la rencontre amoureuse) en me mariant avec le premier venu.
Il s'appelle Sylvain, il est flic, assez beau, et je me convaincs qu'il me plaît. Et que les hommes, les vrais, ne font pas de manières. Lui, visiblement, elles ne l'embarrassent pas. Passé les quelques mois de lune de miel, la sexualité avec Sylvain se réduit à la portion congrue... de son plaisir. Il me pénètre, il jouit. Point. Je le laisse faire, me force parfois un peu, pour avoir la paix. J'ai bien essayé de lui dire que je ne ressentais rien. Invariablement, il évacue : "Pas de ma faute si t'es frigide ! Regarde ta grand-mère, ça doit être de famille..." Je me demande comment j'ai pu supporter ça. Comment deux enfants ont pu naître de cette union boiteuse. Mais mes parents m'avaient inculqué le sens du devoir... À 35 ans, l'épouse et mère que j'étais ne pouvait pas se plaindre.
Et puis Sylvain est muté à l'autre bout de la France. Nous atterrissons dans un bled paumé, à des centaines de kilomètres de mes amies... À quelques mètres de Marie. Comme moi, elle est souvent seule le soir - son mari est commercial, toujours sur les routes. Comme moi, elle est timide et solitaire. Mais, entre elle et moi, le courant passe immédiatement. Le soir où elle frappe à ma porte, c'est parce que, sortie en trombe de chez elle pour faire une course, elle a oublié ses clés à l'intérieur... Évidemment, je lui propose de passer la nuit à la maison, en attendant que son mari rentre.
Inscrivez-vous aux newsletters du HuffPost et recevez par email les infos les plus importantes et une sélection de nos meilleurs articles
En vous inscrivant à ce service, vous acceptez que votre adresse mail soit utilisée par le Huffington Post, responsable de traitement, pour la gestion de votre inscription à la newsletter. Conformément à la loi du 06/01/1978 modifiée et au Règlement européen n°2016/679/UE du 27/04/2016, vous bénéficiez d’un droit d’accès, de modification, de portabilité, de suppression et d’opposition au traitement des informations vous concernant, que vous pouvez exercer auprès de dpo@groupelemonde.fr . Pour toute information complémentaire ou réclamation: CNIL






Anglais





Espagnol





Allemand





Français





Italien





Portugais





Japonais





Chinois (simplifié)





Chinois (Traditionnel)





Coréen





Russe





Suédois





Turc





Hollandais





Lituanien





Grec





Ukrainien















Un été avec une cousine Je suis un jeune homme qui va découvrir sa sexualité ave




Aide
 | 
TOS
 | 
Privé
 | 
Plan du site



Un été avec une cousine Je suis un jeune homme qui va découvrir sa sexualité avec ma cousine.


Votre note pour cette histoire érotique Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.


Thème: Première fois Personnages: FH Lieu: A la maison, intime Type: Histoire vraie


Cette histoire, s'est déroulée il y a quelques années.
À l'époque j'avais 17 ans et nous étions en plein été.
J'ai la chance d'avoir eu une enfance heureuse et lors des vacances d'été, ma famille avait l'habitude de nous installer chez les grands-parents qui avaient une très grande maison.
Nous occupions une aile de cette maison que mon père avait aménagée pour que l'on puisse y vivre durant tout l'été.
Dès le premier jour des vacances, nous nous installions dans cette maison secondaire et nous attendions avec impatience nos cousins et cousines qui venaient eux aussi.


Cette année, l'ensemble de la famille avaient décidé de ne pas venir de suite chez les grands-parents.
Ils voulaient faire une escale en bord de mer.
Sauf un oncle et une tante qui avaient décidé de venir directement chez les grands-parents.


Cet été là, j'ai vu arriver dans une belle petite robe de lin ma cousine déjà toute bronzée.
J'en revenais pas tellement elle avait changé depuis l'été dernier.
La dernière fois, s'était une petite fille très timide qui ne discutait pas beaucoup et qui s'amusait plus avec ses poupées qu'avec nous autres.
Et donc en là voyant, mon sang ne fit qu'un tour, elle avait pris de jolies formes et elle avait laissé pousser ses cheveux blonds.
Elle s'approcha de moi et me dit bonjour en posant un doux baiser sur ma joue avec un grand sourire.
Je repris mes esprits et la salua aussi.


Nous laissions les parents de leurs cotés et nous partions nous promener autour de la maison en discutant sur notre année de séparation.
Elle me confia qu'elle avait eu des soucis avec des mecs qui n'arrêtaient pas de l'embêter et qu'elle était sortie avec un mec qui ne pensait qu'a une chose.
Enfin bref, elle m'expliqua que ce mec avec qui elle avait fait l'amour plusieurs fois lui avait fait découvrir une certaine jouissance et que de temps en temps elle aimerait la retrouver.
En discutant, je n'arrêtais pas de la regarder de haut en bas et je la trouvais vraiment magnifique.
Après une bonne heure de marche dans les bois et les différents chemins de la propriété, nous sommes rentrés.
Les parents nous ont proposés de nous baigner dans la piscine que les grand parents avait faite construire il y a de nombreuses années.
Depuis tout petits, nous avions pris l'habitude de nous changer dans un buisson en forme de dôme où nous avions installé différents fils à linge pour étendre nos maillots de bain mouillés et nos serviettes durant la saison estivale.
Comme cela faisait plusieurs jours que j'étais arrivé, j'avais déjà pris une partie du buisson et j'allais me changer dessous.
Ma cousine parti chercher son maillot de bain chez elle.
Elle revint avec un maillot de bain 2 pièces rouge bordeaux qui mettait en valeur ses formes avec un paréo autour de ses hanches.


J'étais déjà sur le bord de la piscine à l'attendre et au moment où elle fit son entrée dans l'enclos de la piscine, je perdis l'équilibre et je tomba à l'eau.
Ma cousine en me voyant tomber se mit à rire et à se moquer de moi.
Elle ne mit pas longtemps à venir me rejoindre dans l'eau.
Elle continua à se moquer de moi un moment et je décidai de venir la faire couler.
Nous nous sommes amusés sur tout le reste de l'après-midi dans la piscine.
Vers de coups de 18 heures, les parents nous demandèrent de sortir de la piscine et de nous sécher au plus vite car ils devaient partir rejoindre des amis qui les avaient invité.
Juste avant de partir, ma mère me demandait d'aller chercher quelques affaires dans la cuisine et de lui mettre dans la voiture.
Une fois fait, je décida de mo
Une noire au cul resplendissant
Pétasse pulpeuse gavée de sperme en gangbang
3 belles jeunes femmes pour ce chanceux

Report Page