37 ans anglaise mais vraiment bonne

37 ans anglaise mais vraiment bonne




🔞 TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»đŸ‘ˆđŸ»

































37 ans anglaise mais vraiment bonne

Cet article date de plus de deux ans.


À Tokyo, Maxime Beaumont aura 39 ans. Une annĂ©e de plus qu'en 2020, date initiale des Jeux olympiques. Alors forcĂ©ment, Ă  l'approche de la quarantaine, les saisons passĂ©es pĂšsent plus lourd dans l'organisme. Mais le vice-champion olympique Ă  Rio en 2016 prĂ©fĂšre rester positif avec une seule idĂ©e en tĂȘte : revenir du Japon couronnĂ© d'or.


Connectez-vous Ă  votre compte franceinfo pour participer Ă  la conversation.


Saisissez votre adresse mail pour recevoir l’essentiel de l’actualitĂ© tous les matins





s'abonner















France Télévisions utilise votre adresse email afin de vous adresser des newsletters.
Pour exercer vos droits, contactez-nous.
Notre politique de confidentialité
Contactez-nous







Notre compte Twitter (nouvel onglet)















Notre compte Facebook (nouvel onglet)















Notre compte Instagram (nouvel onglet)















Notre compte Youtube (nouvel onglet)











À peine 2 dixiĂšmes de seconde. En 2016, sur la lagune Rodrigo de Freitas de Rio, Maxime Beaumont a touchĂ© son rĂȘve du doigt. En tĂȘte pendant la premiĂšre moitiĂ© des 200 mĂštres Ă  parcourir, le Français a vu le Britannique Liam Heat lui arracher une couronne de laurier qu'il se voyait dĂ©jĂ  porter. La dĂ©ception passĂ©e, son esprit Ă©tait dĂ©jĂ  Ă  Tokyo 2020.
Oui mais voilĂ , la pandĂ©mie de coronavirus est passĂ©e par lĂ  et le Nordiste devra patienter une annĂ©e supplĂ©mentaire. "Ce n'est Ă©videmment pas une mauvaise nouvelle sur le plan sanitaire mais aussi pour l'Ă©quitĂ©. Ça aurait crĂ©Ă© des inĂ©galitĂ©s, le fair-play n'aurait pas Ă©tĂ© respectĂ©" , appuie le vice-champion olympique. Mais forcĂ©ment Ă  37 ans les annĂ©es passent plus vite : "Personnellement, ça ne joue pas Ă  mon avantage. AnnĂ©e aprĂšs annĂ©e, mon corps vieillit."
En 2021, le Boulonnais aura 39 ans. Pas de quoi pour autant revoir ses objectifs Ă  la baisse : "Je mets toutes les chances de mon cĂŽtĂ© pour limiter ça" , tempĂšre-t-il. Et Ă  raison. Car Maxime Beaumont est loin d'ĂȘtre fini. L'Ă©tĂ© dernier, le kayakiste a remportĂ© l'or au Jeux EuropĂ©ens de Minsk (BiĂ©lorussie) avant de terminer 4e aux championnats du monde de Szeged (Hongrie), malgré "une erreur au dĂ©part" .
Des performances admirables à l'aube d'une année 2018 gùchée par les blessures. "La saison derniÚre m'a remis dans le match. J'étais confiant pour les Jeux. D'un cÎté mon corps est vieillissant et de l'autre, ce report me laisse plus de temps pour revenir aprÚs ma blessure." 
Comme prĂšs de 11 000 autres athlĂštes olympiques, le dĂ©cuple champion de France devra rĂ©organiser sa prĂ©paration dans un flou inĂ©dit : "On n'a pas vraiment de visibilitĂ©. Je n'ai jamais connu ça en 29 ans de carriĂšre. LĂ  on part sur 16 mois. Il va falloir s'adapter, faire des choix stratĂ©giques, risquer des choses." À commencer par la pĂ©riode estivale : "En septembre je reprendrai un rythme assez classique. Mais que faire entre-temps ? Repos ou maintien en forme ?" Aujourd'hui, personne ne le sait. 
Des incertitudes qui valent sur le plan financier. "Je n'en ai pas encore vraiment discuté avec mes sponsors" , avoue le kayakiste. "Certains m'ont déjà assuré qu'ils poursuivaient l'aventure. J'irai voir les autres, mais je comprendrais s'ils se retirent. AprÚs j'ai confiance en la relation que j'ai avec eux, je ne me fais pas plus de souci que ça." 
Du soutien, Maxime Beaumont en aura besoin dans sa quĂȘte olympique. Sa quatriĂšme place Ă  Szeged en 2019 lui a permis de dĂ©crocher un ticket pour son pays. Reste maintenant Ă  dĂ©terminer quel kayakiste français s'envolera vers le Japon : "Le modĂšle de sĂ©lection va ĂȘtre rĂ©Ă©crit, on ne sait pas Ă  quelle sauce on va ĂȘtre mangĂ©." S'il semble en bonne position pour y aller, une non-qualification sonnerait comme un Ă©chec retentissant dans la carriĂšre du Boulonnais. "Paris me semble loin. Il ne faut jamais dire jamais, mais je pense que Tokyo seront mes derniers Jeux." Un report qui le pousse Ă  prolonger le bail pour un an et plus si affinitĂ© : "J'avais prĂ©vu de continuer un petit peu aprĂšs pour ne pas me mettre de pression, ne pas me dire sur la ligne de dĂ©part que c'est ma derniĂšre course."
Prolongez votre lecture autour de ce sujet
Kayak : le slalom extrĂȘme, prĂ©sent aux JO 2024
Championnats européens 2022 : abandon de Mayer, sacre de Duplantis, razzia du cyclisme tricolore... Revivez les moments forts de la compétition
Championnats européens 2022 : Nélia Barbosa en argent sur le 200 mÚtres paracanoë KL3
Championnats européens 2022 : les Français remportent le bronze lors de la finale du K4 500 mÚtres en canoë sprint
Championnats européens 2022 : Démare, Cordon-Ragot, Luis, Tarantola, Bové... Tous les sélectionnés français pour Munich
Franceinfo sĂ©lectionne chaque jour des contenus issus de mĂ©dias audiovisuels publics europĂ©ens, membres de l’Eurovision. Ces contenus sont publiĂ©s en anglais ou en français.
Soyez alerté (e) en temps réel avec l'application franceinfo :

Abonnez vous pour ajouter Ă  vos favoris
Couple d’insĂ©parables rosegorges, petits perroquets d’Afrique - Daniel Ramirez/Flickr/CC

Logitech USB - Headset H340 Accessoires informatiques Original 981-000475 - 23,40€
HOMCOM Kit complet porte coulissante 4 x 93 cm (p x l): rail, roulettes, visserie - 36,90€
Pour réagir, je me connecte Connexion
croustifr a posté le 21 novembre 2016 à 17h44
Pour réagir, je me connecte Connexion
mordraal a posté le 21 novembre 2016 à 17h44
Pour réagir, je me connecte Connexion
padekoua a posté le 21 novembre 2016 à 17h44
Pour réagir, je me connecte Connexion
mordraal a posté le 21 novembre 2016 à 17h44
Pour réagir, je me connecte Connexion
lemmy_nothor a posté le 21 novembre 2016 à 17h44
Pour réagir, je me connecte Connexion
L'Obs - Les marques ou contenus du site nouvelobs.com sont soumis à la protection de la propriété intellectuelle
Vous avez choisi de ne pas accepter le dépÎt de cookies, notamment ceux de publicité personnalisée. Nous respectons votre choix. Le contenu de ce site est le fruit du travail des 135 journalistes de la rédaction de l'Obs, qui oeuvrent chaque jour pour vous apporter une information de qualité, fiable, et complÚte. Nos revenus proviennent de l'abonnement et de la publicité. Afin de nous permettre de poursuivre ce service, nous vous invitons à vous abonner . Merci
Web + tablette + mobile à partir de 1€
Cyril et Sophie, 17 ans de vie commune, pas de plan Ă  trois ni de sodomie. Entre Ă©panouissement, cadre cosy, et frustration, ils guettent un regain d’excitation.
Cyril (tous les prĂ©noms ont Ă©tĂ© modifiĂ©s) est seul face Ă  la camĂ©ra de son ordinateur. C’est lui qui nous a Ă©crit pour tĂ©moigner de son « cas ». Il ne sait pas si c’est banal ou courant, mais Ă  37 ans, il n’a couchĂ© qu’avec une seule personne, sa « premiĂšre fois » devenue aujourd’hui sa femme.
Cyril revient sur cette rencontre et sur les 17 annĂ©es de sexualitĂ© qui ont suivi jusqu’à aujourd’hui, avec ses hauts et ses bas.
Au moment de couper notre conversation sur Skype, il ne sait pas encore s’il doit parler de son tĂ©moignage Ă  sa femme. Finalement, il lui racontera tout le soir mĂȘme. Vous retrouverez la version de Sophie sur leur histoire sexuelle commune Ă  la fin de son tĂ©moignage.
En 1998, j’avais 20 ans, elle 19. Elle Ă©tait en mĂ©decine, moi en sciences, on habitait la mĂȘme rĂ©sidence Ă©tudiante sans se connaĂźtre.
En janvier de cette annĂ©e, je suis allĂ© au cinĂ©ma voir « Titanic ». L’une de nos connaissance commune m’accompagne et me dit qu’il appelle deux copines Ă  lui. On se retrouve au cinĂ© et je flashe tout de suite sur l’une de ses copines. Pas ma future femme, l’autre. J’ai tout fait pour essayer de la sĂ©duire, sans succĂšs.
Finalement j’ai recroisĂ© sa copine, Sophie, dans une soirĂ©e d’amis communs. Tout le monde s’était dĂ©sistĂ© au dernier moment et on a passĂ© plusieurs heures ensemble. A la fin de la soirĂ©e je me suis dit :
Le problĂšme, c’est qu’à cette Ă©poque, elle Ă©tait dĂ©jĂ  en couple.
Une histoire pas trĂšs sĂ©rieuse, comme moi, j’avais eu quelques petites amies mais il ne s’était jamais rien passĂ© au lit...
Un soir, j’en avais marre, j’avais peur de passer Ă  cĂŽtĂ© alors je lui ai tout dit :
Elle Ă©tait d’abord gĂȘnĂ©e, mais quelques semaines plus tard elle a larguĂ© son mec et on est sorti ensemble.
On avait peu d’expĂ©rience, tous les deux vierges. On a passĂ© un long moment Ă  parler et Ă  attendre le premier baiser.
Moi j’étais trĂšs sĂ»r de mes sentiments pour elle. On s’est explorĂ© progressivement. DĂšs le premier soir j’ai touchĂ© sa poitrine : c’était un Graal.
La premiĂšre semaine, ont suivi la premiĂšre fellation et le premier cunni. Mais ça n’a pas Ă©tĂ© tout d’un coup en une seule fois, en une seule soirĂ©e, on a prĂ©fĂ©rĂ© apprendre Ă  se connaĂźtre.
Un soir de juin, il y avait une tension dans l’air. On savait que ça allait arriver, on avait dĂ©jĂ  explorĂ© tous les prĂ©liminaires.
J’ai proposĂ© qu’on aille dans son appartement, chez elle, je savais qu’elle serait plus Ă  l’aise. Ça s’est passĂ© parfaitement bien. On se connaissait. La pĂ©nĂ©tration n’a pas posĂ© problĂšme, la lĂ©gĂšre douleur classique mais beaucoup de plaisir pour l’un et pour l’autre. C’était vraiment parfait, physiquement, Ă©motionnellement. Il n’y a pas eu de maladresse.
Tout l’étĂ© 1998, on a dĂ©couvert le sexe. Mes parents Ă©taient partis en vacances, on avait la maison pour nous.
Elle Ă©tait trĂšs loin d’ĂȘtre coincĂ©e. C’était au-delĂ  de ce que le jeune puceau que j’étais pouvait espĂ©rer.
Il y a eu trÚs rapidement de la sexualité orale. La fellation faisait partie de ses fantasmes, elle regardait un peu de porno adolescente et ça ne lui était pas étranger.
Rapidement, elle m’a proposĂ© d’éjaculer sur elle sans problĂšme. J’étais fou. C’est le genre de chose qu’on n’imagine pas forcement quand on a peu d’expĂ©rience.
Elle me masturbait contre elle, je l’a prĂ©venais que j’allais venir, et elle continuait de plus belle. Elle avait un petit sourire en coin, elle aimait bien que je jouisse sur elle.
C’était une fille extrĂȘmement belle, mais extrĂȘmement complexĂ©e. Plus d’un mĂštre 75, une poitrine gĂ©nĂ©reuse, des hanches larges : elle se pensait grosse.
On expĂ©rimentait un peu toutes les positions, sauf la levrette qu’elle n’apprĂ©ciait pas. Elle ne voulait pas qu’on voit trop son corps.
AprĂšs cet Ă©tĂ© de rĂȘve, on a continuĂ© nos Ă©tudes et on a habitĂ© ensemble l’annĂ©e suivante.
Les années ont passé, on a eu des hauts et de bas. Autour de 25-30 ans, on avait atteint une certaine plénitude.
En 2010 par contre, c’était notre premiĂšre diĂšte sexuelle. Physiquement je n’y arrivais plus. Je n’avais pas d’érection. Elle pensait que ça venait d’elle, que je ne la dĂ©sirais plus. Moi je pense que c’était la routine qui prenait le dessus.
Heureusement, quelques mois plus tard, un rebondissement inattendu a tout relancé : elle est tombé enceinte.
Sa grossesse Ă©tait magnifique, elle Ă©tait dans la plĂ©nitude de sa beautĂ©. Le dĂ©sir s’est pas mal ravivĂ©, Ă©motionnellement c’était trĂšs fort. On a recommencĂ© Ă  faire l’amour quelques jours aprĂšs son accouchement, sans pĂ©nĂ©tration. Moi je retrouvais ma santĂ© sexuelle, une vigueur qui avait fui les annĂ©es prĂ©cĂ©dentes.
Aujourd’hui, on fait l’amour moins souvent. Une Ă  trois fois par semaine. Ce n’est plus des petits coups dans la journĂ©e, ça se cantonne au soir. Logistiquement, avec un enfant c’est plus complexe et aprĂšs la cuisine, le travail, on a parfois du mal Ă  se motiver.
Notre derniĂšre relation sexuelle, c’était dimanche soir avant qu’elle ne parte chez ses parents. Elle Ă©tait allongĂ©e sur le lit de la chambre d’amis. Avec la robe trĂšs largement remontĂ©e au dessus des fesses. Elle ne porte jamais de culotte Ă  la maison. Ça a dĂ©rivĂ© comme ça devait.
Pour la contraception, elle a toujours pris la pilule. On n’a jamais mis de prĂ©servatif parce qu’on Ă©tait vierges tous les deux la premiĂšre fois. On a juste testĂ© pour l’expĂ©rience, j’étais assez content de m’épargner ça.
On est de la gĂ©nĂ©ration prĂ©-internet. Quand on Ă©tait jeune, nos masturbations Ă©taient mĂ©ritoires, on devait acheter des magazines. Comme tous les adolescents, je le faisais assez frĂ©quemment, de maniĂšre assez banale je pense. Peut-ĂȘtre juste un peu plus longtemps parce que j’ai eu ma premiĂšre relation Ă  20 ans. Mais internet n’a eu aucune place.
Au lit, on a une proximitĂ© physique assez marquĂ©e. On se masse, se chouchoute de façon neutre et tendre. La relation sexuelle arrive naturellement, quand les caresses commencent Ă  ĂȘtre plus importantes. Je regrette parfois que ce soit si naturel. On ne fait pas d’effort de mise en scĂšne, pas de sous-vĂȘtement sexy, ça manque un peu de piment. On a un cadre trĂšs cocooning.
Ce que j’aime , c’est l’affinage des sentiments. Tout est connectĂ©, le physique, le psychique. Au dĂ©but on Ă©tait comme des lapins. Le rythme s’est espacĂ© avec le temps mais il y a toujours une trĂšs grosse intensitĂ©, jamais de coups banals. Quand elle est Ă  fond dedans, c’est une reine de la fellation, elle sait comment je fonctionne. J’aime le fait que notre relation ne soit pas « étoile de mer ». Qu’elle soit active. Elle se masturbait assez jeune et c’est une pratique qu’elle a intĂ©grĂ©e dans notre sexualitĂ©.
Ce que je trouve dommage, c’est que le dĂ©clenchement peut ĂȘtre un peu laborieux. On aurait aussi pu faire des expĂ©riences plus jeunes, dans le cotĂ© fou fou de la sexualitĂ©, pour faire des trucs Ă  trois.
Aujourd’hui, on a une sexualitĂ© assez conventionnelle. On a un peu essayĂ© la sodomie au dĂ©but, mais elle n’apprĂ©ciait pas vraiment alors que moi j’aimais beaucoup. Pas de libertinage alors que ça peut faire partie de mes fantasmes. Je pourrais aller au-delĂ , la partager. Je ne pense qu’elle serait prĂȘte, de son cĂŽtĂ©, Ă  rĂ©aliser ce genre de chose.
Je ne l’ai jamais trompĂ©e. Je suis Ă  peu prĂšs persuadĂ© qu’elle non plus. Bien sĂ»r, j’ai dĂ©jĂ  Ă©tĂ© attirĂ© par d’autres, mais j amais je ne me suis dit : « Ce serait bien de niquer ailleurs. » Il n’y a pas de regret de ne pas avoir connu d’autres personnes. Peut-ĂȘtre parce que la sexualitĂ© n’est pas une obsession. Je ne suis pas forcement adepte de la philosophie des coups d’un soir.
Notre entourage, les amis, les parents nous demandaient plus ou moins subtilement : « Comment tu peux savoir que c’est la bonne si tu n’a eu qu’elle ? » Ça m’a toujours paru stupide puisqu’on Ă©tait bien ensemble.
Parfois on s’engueule sur le sexe, le rythme etc. mais jamais sur le fait qu’on soit les premiers et les seuls.
La jalousie ne fait pas partie de notre couple. Elle peut faire ce qu’elle veut, jamais je n’envisagerais de restreindre sa libertĂ©. Je n’ai jamais eu de doute.
Si je devais dĂ©finir ma sexualitĂ©, je dirais : intense, pas assez frĂ©quente et donc frustrante. Chaque relation sexuelle est trĂšs intense, mais trop espacĂ©e. Si je ne suis pas tentĂ© d’aller voir ailleurs c’est que j’ai un trĂšs fort dĂ©sir pour elle. Juste la voir enlever son T-shirt avant la douche et j’ai envie de lui faire l’amour. Je crois que je la dĂ©sire plus que lorsque j’avais 20 ans.
AprĂšs avoir rĂ©alisĂ© l’entretien, Cyril a dĂ©cidĂ© d’en parler avec sa femme, Sophie. Celle-ci a acceptĂ© de revenir briĂšvement sur leur sexualitĂ©, de son point de vue :
« Notre couple est à la fois stable et fragile. Notre relation dure depuis longtemps, sans regret et de maniÚre assumée.
On a des amis qui sont divorcĂ©s, remariĂ©s, ils ont plutĂŽt de l’admiration pour nous. Et nous ne sommes pas des cas isolĂ©s.
Entre nos dĂ©buts et aujourd’hui, on a essayĂ© d’aller un peu plus loin, de chercher d’autres choses pour s’exciter. Il y a aussi plus d’attachement, de vĂ©cu, de confiance. On sait comment se faire plaisir.
Ce que j’aime moins, c’est que l’on a un peu perdu la spontanĂ©itĂ©. On est plus vite fatiguĂ©, on a moins d’énergie. Il faut dĂ©limiter des temps bien prĂ©cis, c’est plus contraignant.
Il n’y a pas de regrets du tout. Ça aurait Ă©tĂ© rigolo de connaĂźtre d’autres personnes, mais je n’ai pas forcement envie de collectionner, de repartir de zĂ©ro. C’est vrai que l’interdit pourrait apporter de l’excitation. Mais ça ne m'intĂ©resse pas.
La plĂ©nitude sexuelle, on l’a atteinte Ă  un moment un peu euphorique autour des 30 ans. Mais je ne dĂ©clare pas forfait. »
1/ votre post a Ă©tĂ© supprimĂ© parce qu’il Ă©tait en triple exemplaire ;


2/ on s’en fout de l’islam, tout comme on s’en fout du catholicisme ; c’est effectivement pas le sujet.


Si vous ne comprenez pas que personne n’a envie de suivre des liens sur l’islam ou toute autre religion sur un sujet qui parle de sexe, vous avez effectivement un problĂšme qu’on ne peut pas rĂ©soudre.


Bah putain, c’est trĂšs loin d’ĂȘtre le cas, en plus. J’ai toujours haĂŻ les disneys, j’ai eu la chance d’y ĂȘtre peu exposĂ©.


Sans compter que vivre heureux, c’est dĂ©jĂ  complĂštement irrĂ©aliste en soi et heureusement parce que ce serait chiant, mais alors en ayant beaucoup des enfants, c’est carrĂ©ment Ă  hurler de rire.


Mes premiers amours, c’est quand elles ont au moins commencĂ©s a me masturber...


Bon, je fonce a la messe !


Monogamie intĂ©griste, s’il vous plait. J’accepterais quand mĂȘme d’y faire une entorse si c’était pour faire progresser le Parti, bien sĂ»r.


les femmes faut ĂȘtre capable de les faire rire, et dans ce domaine, je sais pas pourquoi, je sens que vous n’ĂȘtes peut-ĂȘtre pas Ă  la hauteur. Oubliez le fric et les grossses bites, cherchez du cotĂ© de l’humour, ça fera du bien Ă  tout le monde, Ă  commencer par vous mĂȘme.




Ű§Ù„ŰčŰ±ŰšÙŠŰ©
Deutsch
English
Español
Français
ŚąŚ‘ŚšŚ™ŚȘ
Italiano
æ—„æœŹèȘž
Nederlands
Polski
PortuguĂȘs
Romùnă
РуссĐșĐžĐč
Svenska
TĂŒrkçe
äž­æ–‡




Ű§Ù„ŰčŰ±ŰšÙŠŰ©
Deutsch
English
Español
Français
ŚąŚ‘ŚšŚ™ŚȘ
Italiano
æ—„æœŹèȘž
Nederlands
Polski
PortuguĂȘs
Romùnă
РуссĐșĐžĐč
Svenska
TĂŒrkçe
äž­æ–‡


L'ukrainien est maintenant disponible sur Reverso !

Rejoignez Reverso, c'est gratuit et rapide !



arabe
allemand
anglais
espagnol
français
hébreu
italien
japonais
néerlandais
polonais
portugais
roumain
russe
suédois BETA
turc
ukrainien BETA
chinois


Synonymes
arabe
allemand
anglais
espagnol
français
hébreu
italien
japonais
néerlandais
polonais
portugais
roumain
russe
suédois BETA
Canella Skin
Petite pipe de ma beubeu
Mature prise sur le capot de la voiture

Report Page