2De Grand Format (30

2De Grand Format (30


Knapp se trouve être professeur émérite du géographie historique mais aussi culturelle à cette State University relatives au New York. Celui-ci est parallèlement ce rédacteur en émir de la a édition réactualisée du l’Encyclopedia of Vernacular Architecture of the World: une vaste somme de outils en trois volumes initialement parue sur la 1997 à Cambridge University Press. Wat Phra Singh , consacré à l’habitat chinois d’Asie du Sud, vient en accompagnement d’une publication précédente (2006), également coproduite avec Chester Ong et qui portait sur le cadre architectural de une Chine continentale. 2De grand format (30, 5 x 22, 9 cm) et richement illustré puisqu’il compte a peu près 600 photos (auxquelles s’ajoutent cartes, plans, croquis, et reproductions de tableaux d’artistes), un livre est le résultat d’une sondage extensive que Ronald J. Knapp domine conduite sur le continent asiatique et dans plusieurs nations d’Asie du Sud-Est (Thaïlande, Vietnam, Malaisie, Singapour, Indonésie, Philippines). Dans une 1ère partie introductive l’auteur retrace l’histoire de nombreuses migrations chinoises dans la région à partir des provinces océaniques du Fujian et de Guangdong et détaille sommairement le évolution des communautés huaqiao dans les villes laquelle leur servirent relatives au principaux points d’implantation (Malacca, Penang, Singapour, Thonburi, Medan, Batavia).

Ce dernier y précise aussi un certain nombre d’éléments lequel caractérisent la répartition spatiale et cette structure architecturale de nombreuses maisons chinoises. Cette présence d’une patio intérieure (yuanzi) est l’un de certains traits typiques. S’y ajoutent des cloîtres (tianjing) dans la majorité des compositions modulaires ces plus complexes, certains espaces ouverts qui maintiennent aérer les appareils, à améliorer à elles éclairage naturel, et également à capter la majorité des eaux de ondes aux fins d’usage domestique. Concernant habitation urbain, une place de choix se trouve être accordée aux maisons-boutiques qui constituent l’habitat standard des marchands et artisans aussi bien sur le continent asiatique qu’outre-mer. 3Dans le cadre du cette évocation historico-architecturale l’auteur met très pertinemment en avant la majorité des influences réciproques qui ont joué chez la mère peuple et les diasporas d’émigrés. D’un côté les Chinois d’outre-mer, une fois leur implantation réussie, firent venir des charpentiers et des plombiers de leurs provinces d’origine afin de reproduire une architecture conforme dans celle du états natal dans le but sépulture des édifices ces plus emblématiques de leur socio-culture (temples, sièges des kongsi, ou bien associations claniques).

De paralèllement, un, les plus richissimes d’entre eux édifièrent des hôtels spécifiques au volume colossal et au look architectural très éclectique, dont ils transposèrent parfois le pattern cosmopolite au Guangdong et au Fujian dans l’idée d’un rapatriement futur. Dans les deux cas de figure, l’habitation faisait l’objet d’investissements importants avec pour enjeux l’expression métonymique du bonheur familial en qualité à l’éthique confucéenne, l’ancrage identitaire mais aussi le prestige social. Sur le plan scientifique, l’éclectisme spécilisés dans ces fameuse maisons bourgeoises reflète parfaitement ce souci des élites huqiao de harmoniser l’esthétique occidentale, annonce d’ouverture à cette modernité et au monde, avec la majorité des standards architecturaux hérités du passé qui portent en eux la cosmologie et élément ordre moral purement chinois.

4La seconde se retirer de l’ouvrage passe en revue différentes déclinaisons de cet éclectisme en décrivant successivement trente-sept hôtels particuliers et maisons-boutiques qui offrent le superbe florilège de ce patrimoine architectural de nombreuses Chinois d’Asie de ce Sud-Est aussi bien dans leurs nations d’adoption que dans leurs provinces natales en Chine. En ce qui concerne ces trente-sept habitations dix sont en Malaisie (principalement chez Malacca), dix sous Indonésie, trois dans Singapour, quatre en Thaïlande (à Phuket, Songkhla et Bangkok), quatre au Vietnam (Hoi An et Hué), deux aux Phlippines (Vigan & Cebu), et enfin quatre en Placage. Dans chaque cas Ronald Knapp relate l’histoire de résidence et/ou de groupe social qui l’a fabriquée, ses usages successifs, sa structuration spatiale et les synergies architecturales diverses dont elle est un panachage singulier. Ce métissage un style est également pris en compte et analysé pour la déco et le mobilier de jardin de ces habitations. vivre en thaïlande superbes épreuves des aménagements extérieurs et intérieurs illustrent le contenu et fournissent un support visuel par rapport aux analyses de l’auteur.

5Si Ronald Knapp prend systématiquement en proximité la trajectoire et la personnalité un ensemble de propriétaires de l’habitation avec son aménagement et son mobilier, c’est que le premier jeu du variables influe instantanément sur le second. Ainsi la ornementation et le mobilier de la maison à Malacca du l’un des papas de l’indépendance une Malaisie, Tan Cheng Lock, reflètent-ils son éducation occidentale et son cosmopolitisme. Et les symboles de la filiation chinoise mais aussi les objets de culte des majors ont pour écrin des pièces où les miroirs et lustres ont existé importés d’Italie mais aussi où alternent la majorité des meubles de look peranakan (sino-malais) & Art Deco (ces derniers achetés dans Londres). L’hôtel particulier construit à Penang par le riche aa et philanthrope Chung Keng Quee, érigé en leader éclairé des Chinois du Penang par la majorité des colonisateurs britanniques, se trouve être un autre bon exemple du moral culturellement composite de nombreuses éléments constitutifs de l’habitat des immigrés chinois en Asie du Sud-Est.

Report Page