2 soeurs jumelles et rocco
⚡ TOUTES LES INFORMATIONS CLIQUEZ ICI 👈🏻👈🏻👈🏻
2 soeurs jumelles et rocco
Pour nous soutenir, acceptez les cookies
Avec nos partenaires, nous traitons les données suivantes :
Données de géolocalisation précises et identification par analyse du terminal , Essentiels , Publicités et contenu personnalisés, mesure de performance des publicités et du contenu, données d’audience et développement de produit , Statistiques , Stocker et/ou accéder à des informations sur un terminal
Publié le
12/09/2022 à 06:51 , mis à jour à 18:46
Pour suivre l’analyse et le décryptage où que vous soyez
Offre limitée. 2 mois pour 1€ sans engagement
Par Aurélien Saussay, chercheur à la London School of Economics, économiste de l'environnement spécialiste des questions de transition énergétique.
Offrez gratuitement la lecture de cet article à un proche :
« En Russie, deux soeurs face à leur père revenu du front »
L’article sera disponible à la lecture pour votre bénéficiaire durant les 72h suivant l’envoi de ce formulaire, en cliquant sur le lien reçu par e-mail.
Assurez-vous que la personne à laquelle vous offrez l’article concerné accepte de communiquer son adresse e-mail à L’Express.
Les informations renseignées dans ce formulaire sont destinées au Groupe L’Express pour l’envoi de l’article sélectionné à votre proche, lequel sera informé de votre identité. Pour toute information complémentaire, consulter notre Politique de protection des données .
Vous venez d’offrir à mail@mail.com l’article suivant :
« En Russie, deux soeurs face à leur père revenu du front »
Une erreur est survenue. Veuillez réessayer.
Lisez, comprenez, décidez : 1er mois offert. Je m'abonne sans engagement
Profitez du 1er mois offert, sans engagement
Offre Découverte
1 er mois offert
sans engagement
Les deux soeurs jumelles de 18 ans, Elizaveta (D) et Anastasia Grigorieva lors d'une interview avec l'AFP le 19 août 2022
En juin, il est rentré du front et a demandé à quitter l'armée. Pendant son absence, ses deux filles, des jumelles de 18 ans, ont manifesté en Russie contre l'offensive du Kremlin. Selon elles, leur père est revenu " brisé ".
L'histoire de cette famille déchirée par le conflit, racontée à l'AFP par les soeurs, illustre l'absence d'un soutien général en Russie à la campagne militaire de Vladimir Poutine, et donne une idée de son coût humain côté russe, que Moscou minimise.
Physiquement, leur père " n'a pas changé, mais la guerre a évidemment eu un impact sur son état mental ", souffle Anastassia Grigorieva, une adolescente timide au visage constellé de piercings, comme celui de sa soeur, Elizaveta.
Toutes deux vivent à Pskov, une jolie ville de l'ouest de la Russie renommée pour son histoire médiévale. C'est également le lieu de garnison de la 76e division aéroportée russe. Celle du père des soeurs Grigorieva.
En janvier, disent-elles, il leur a annoncé partir quelques jours pour des manoeuvres au Bélarus. Il ne reviendra que six mois plus tard, après avoir participé à l'attaque massive ordonnée par Vladimir Poutine.
Choquées, les deux soeurs manifestent quasiment seules, le 6 mars, dans le centre de Pskov avec une pancarte " Paix en Ukraine, Liberté en Russie ". Elles sont immédiatement arrêtées par la police.
Conduites au commissariat, menacées de prison, libérées, sermonnées à leur domicile par des militaires, puis à l'école par leurs professeurs, elles écoperont finalement, en juillet, d'une amende de 20.000 roubles (328 euros) pour " organisation " d'une manifestation non-autorisée.
Pendant leurs déboires judiciaires, leur père, sous-officier, combat en Ukraine. Sa division participe à la bataille de Kiev. Face à la résistance ukrainienne, les troupes russes se retirent fin mars du nord du pays.
Le média d'investigation russe " Important Stories " affirme que des membres de la 76e division aéroportée de Pskov étaient présents à Boutcha, près de Kiev, lors de l'exécution de civils. Des accusations démenties par Moscou.
Les soeurs Grigorieva se demandent si leur père a commis des crimes.
"Il dit qu'il n'a tué personne, pointe Elizaveta.
- Mais la guerre en soi est un crime, rétorque Anastassia.
- Oui, donc participer ou soutenir la guerre, c'est un crime", conclut Elizaveta.
En mai, le père, âgé de 43 ans, demande à sa famille de lancer des démarches administratives pour revenir du front. Mi-juin, il est évacué pour " raisons de santé " et mène désormais une procédure pour être démobilisé après environ 20 ans de service.
En tant que militaire, il ne peut parler publiquement sans autorisation, sous peine de lourdes sanctions. Mais, cet été, pendant ses nombreuses journées à broyer du noir, dans leur appartement ou dans leur datcha loin dans la campagne, ses filles disent qu'il leur a confié ses tourments.
" Il a été dans les endroits les plus chauds, sous les bombardements. Moralement, il ne va pas bien, comme il dit, passer six heures sous les roquettes, ça a un gros effet, tellement de morts, il doit se soigner ", déverse Elizaveta.
" Ce stress a changé sa vision du monde, il a perdu des hommes, vu des cadavres partout ", poursuit-elle. Elle le décrit comme agressif dans ces moments sombres et affirme avoir eu de nombreuses disputes avec lui.
Les deux soeurs disent qu'il n'est pas suivi par un psychologue. Selon Elizaveta, le retour d'autres soldats traumatisés va entraîner une hausse du mécontentement et de la criminalité en Russie.
En août, les deux jeunes femmes ont quitté le domicile familial et habitent maintenant dans un appartement trouvé avec l'aide d'une association féministe. Elles vivent en partie grâce à des dons reçus lors d'une collecte en ligne pour payer leur amende.
Pour autant, elles ne prévoient pas de rompre avec leurs parents. " On aime notre père, on ne va pas renier notre famille ", souligne Elizaveta.
Elles ont pris leurs distances et évitent de parler avec eux du conflit.
Selon elles, leur père et leur mère de 38 ans ne s'intéressent pas à la politique, comme nombre de Russes désabusés.
A l'inverse, elles affirment avoir développé très tôt une fibre militante avec les vidéos de l'opposant emprisonné Alexeï Navalny.
Les soeurs Grigorieva jurent qu'elles vont continuer à militer dans l'opposition.
Elles disent n'avoir " aucune peur " de la prison et admirent " la force " des Ukrainiens confrontés à une violence extrême.
Et si elles s'expriment souvent d'une voix mal assurée, ponctuée de rires nerveux, certaines choses sont parfaitement claires. " Nous sommes des libéraux ", énonce Elizaveta. " On critique le pouvoir, il faut bâtir la démocratie chez nous. "
Sur la photo tendue par les sœurs Grigorieva, leur père tente d’esquisser un sourire, vêtu du maillot à rayures blanches et bleues des parachutistes russes. C’était avant les batailles en Ukraine, avant l’horreur et la mort.En juin, il est rentré du front et a demandé à quitter l’armée. Pendant son absence, ses deux filles, des jumelles de 18 ans, ont manifesté en Russie contre...
Veuillez vérifier votre saisie et réessayer
Veuillez vérifier votre saisie et réessayer
Conflit Au moins 100 morts dans les affrontements entre l'Arménie et l'Azerbaïdjan
Repères Arménie-Azerbaïdjan : ce qu’il faut savoir sur les affrontements le long de la frontière Noura DOUKHI
ANALYSE L’initiative pour Kiev, la réponse russe imprévisible
Rapport L’ONU dénonce « l’esclavage moderne » exacerbé par les crises
Royaume-Uni Face au Parlement, le roi Charles III « ressent le poids de l’histoire »
Contre-offensive L’armée ukrainienne affirme enchaîner les succès
Veuillez vérifier votre saisie et réessayer
Offre envoyée. En espérant vous compter parmi nos abonnés.
L'Orient-Le Jour recrute des journalistes passionnés Je postule
Veuillez vérifier votre saisie et réessayer
Offre envoyée. En espérant vous compter parmi nos abonnés.
Profitez de 2 articles supplémentaires… Ou beaucoup plus, en vous abonnant !
OLJ / le 13 septembre 2022 à 00h00
Les deux sœurs Elizaveta et Anastasia Grigorieva. Olga Maltseva/AFP
Sur la photo tendue par les sœurs Grigorieva, leur père tente d’esquisser un sourire, vêtu du maillot à rayures blanches et bleues des parachutistes russes. C’était avant les batailles en Ukraine, avant l’horreur et la mort.
En juin, il est rentré du front et a demandé à quitter l’armée. Pendant son absence, ses deux filles, des jumelles de 18 ans, ont manifesté en Russie contre l’offensive du Kremlin. Selon elles, leur père est revenu « brisé ».
L’histoire de cette famille déchirée par le conflit illustre l’absence d’un soutien général en Russie à la campagne militaire de Vladimir Poutine et donne une idée de son coût humain côté russe, que Moscou minimise.
Physiquement, leur père « n’a pas changé, mais la guerre a évidemment eu un impact sur son état mental », souffle Anastasia Grigorieva, une adolescente timide au visage constellé de piercings, comme celui de sa sœur, Elizaveta.
Toutes deux vivent à Pskov, une jolie ville de l’ouest de la Russie renommée pour son histoire médiévale. C’est également le lieu de garnison de la 76e division aéroportée russe. Celle du père des sœurs Grigorieva. En janvier, disent-elles, il leur a annoncé partir quelques jours pour des manœuvres en Biélorussie. Il ne reviendra que six mois plus tard, après avoir participé à l’attaque massive ordonnée par Vladimir Poutine.
Choquées, les deux sœurs manifestent quasiment seules, le 6 mars, dans le centre de Pskov avec une pancarte « Paix en Ukraine, liberté en Russie. » Elles sont immédiatement arrêtées par la police. Conduites au commissariat, menacées de prison, libérées, sermonnées à leur domicile par des militaires, puis à l’école par leurs professeurs, elles écoperont finalement, en juillet, d’une amende de 20 000 roubles (328 euros) pour « organisation » d’une manifestation non autorisée.
Pendant leurs déboires judiciaires, leur père, sous-officier, combat en Ukraine. Sa division participe à la bataille de Kiev. Face à la résistance ukrainienne, les troupes russes se retirent fin mars du nord du pays. Le média d’investigation russe Important Stories affirme que des membres de la 76e division aéroportée de Pskov étaient présents à Boutcha, près de Kiev, lors de l’exécution de civils. Des accusations démenties par Moscou. Les sœurs Grigorieva se demandent si leur père a commis des crimes.
« Il dit qu’il n’a tué personne», pointe Elizaveta. « Mais la guerre en soi est un crime », rétorque Anastasia.
« Oui, donc participer ou soutenir la guerre, c’est un crime », conclut Elizaveta.
En mai, le père, âgé de 43 ans, demande à sa famille de lancer des démarches administratives pour revenir du front. Mi-juin, il est évacué pour « raisons de santé » et mène désormais une procédure pour être démobilisé après environ 20 ans de service. En tant que militaire, il ne peut parler publiquement sans autorisation, sous peine de lourdes sanctions. Mais, cet été, pendant ses nombreuses journées à broyer du noir, dans leur appartement ou dans leur datcha loin dans la campagne, ses filles disent qu’il leur a confié ses tourments. « Ce stress a changé sa vision du monde, il a perdu des hommes, vu des cadavres partout », déverse Elizaveta. Elle le décrit comme agressif dans ces moments sombres et affirme avoir eu de nombreuses disputes avec lui.
En août, les deux jeunes femmes ont quitté le domicile familial et habitent maintenant dans un appartement trouvé avec l’aide d’une association féministe. Elles vivent en partie grâce à des dons reçus lors d’une collecte en ligne pour payer leur amende. Pour autant, elles ne prévoient pas de rompre avec leurs parents. « On aime notre père, on ne va pas renier notre famille », souligne Elizaveta. Elles ont pris leurs distances et évitent de parler avec eux du conflit.
Selon elles, leur père et leur mère de 38 ans ne s’intéressent pas à la politique, comme nombre de Russes désabusés. À l’inverse, elles affirment avoir développé très tôt une fibre militante avec les vidéos de l’opposant emprisonné Alexeï Navalny. Les sœurs Grigorieva jurent qu’elles vont continuer à militer dans l’opposition. Elles disent n’avoir « aucune peur » de la prison et admirent « la force » des Ukrainiens confrontés à une violence extrême.
Et si elles s’expriment souvent d’une voix mal assurée, ponctuée de rires nerveux, certaines choses sont parfaitement claires. « Nous sommes des libéraux », énonce Elizaveta. « On critique le pouvoir, il faut bâtir la démocratie chez nous. »
Abonnez-vous et accédez à une information de qualité en continu.
Préserver le journalisme de qualité
Vous acceptez de recevoir nos newsletters et nos offres. Vous pouvez
vous désinscrire à tout moment.*
Par la création de ce compte, vous reconnaissez avoir pris connaissance
des conditions générales d'utilisation et de la politique de confidentialité et vous les acceptez.
Vous avez déjà un compte L’Orient-Le Jour ? Je me connecte
Chaque mercredi, l’actualité régionale décryptée par la rédaction de L’Orient-Le Jour.
Royaume-Uni Le cercueil de la reine Elizabeth II a atterri à Londres
Liban Appels à manifester mercredi en marge de la séance parlementaire sur le projet de budget 2022
Diplomatie Sissi à Doha, une première depuis la brouille diplomatique entre l'Egypte et le Qatar
Chaque mercredi, l’actualité régionale décryptée par la rédaction de L’Orient-Le Jour.
Profitez de notre offre spéciale rentrée : 1 an d'abonnement à la formule Premium pour 48$ au lieu de 159$
Profitez de notre offre spéciale rentrée : 1 an d'abonnement à la formule Premium pour 48$ au lieu de 159$
Chers lecteurs, afin que vos réactions soient validées sans problème par les modérateurs de L'Orient-Le Jour, nous vous prions de jeter un coup d'oeil à notre charte de modération.
Votre message n'a pas pu être envoyé. Veuillez réessayer.
Votre commentaire n'a pu être envoyé car il fait plus de 1 500 signes. Veuillez le réduire et le renvoyer.
L’indépendance a un prix. Aidez-nous à la préserver, abonnez-vous.
Abonnez-vous pour accéder à notre contenu en illimité.
Soutenez L’Orient-Le Jour, abonnez-vous dès maintenant !
Soutenez L’Orient-Le Jour, abonnez-vous dès maintenant !
Design Datagif , développement WhiteBeard
© 2021 L’Orient-Le Jour. Tous droits réservés.
© 2021 L’Orient-Le Jour Tous droits réservés
Design Datagif , développement WhiteBeard
En poursuivant votre navigation, vous acceptez l’utilisation de cookies pour vous proposer des services et offres éditoriales et publicitaires adaptées à vos centres d’intérêts et mesurer la fréquentation de nos services.
Veuillez défiler les articles ci-dessous pour découvrir d'autres histoires :-)
L'icône pop Madonna est mère de six enfants : Lourdes « Lola » Maria Ciccone Leon, Rocco Ritchie, David Banda Mwale Ciccone Ritchie, Chifundo Mercy James, et les jumelles Stella et Estere Ciccone. Avec un mélange d'enfants biologiques et adoptés, Madonna a une famille diversifiée et talentueuse. Bien que le beau fils de Madonna, Rocco, n'aime pas être sous les feux de la rampe, il a certainement sa part d'amis célèbres.
Nous connaissons tous Madonna en tant que chanteuse, interprète et icône culturelle. Tout au long des années 80 et jusqu'aux années 2000, Madonna nous a apporté des succès tels que Papa Don't Preach de 1986, Vogue de 1990, et Nothing Fails de 2003. Sur cette photo, Madonna est vue dans son iconique look kimono rouge alors qu'elle interprète « Nothing Really Matters » lors des 41ème Grammy Awards en 1999. Avec autant de performances live à son actif, il n'est pas surprenant que Madonna ait continué à s'épanouir sur scène même après ses époques fastes, jusque dans les années 2010.
Après avoir atteint la célébrité internationale, Madonna a fait une tournée mondiale en 2012 appelée MDNA. On la voit ici se produire au Staples Center de Los Angeles, en Californie, pour donner le coup d'envoi de sa tournée en Amérique du Nord. Au cours de plusieurs décennies, Madonna a prouvé qu'elle était une artiste de grande qualité. Cependant, la grande musique et les looks iconiques ne sont pas les seules contributions culturelles que Madonna nous a données.
Aujourd'hui âgée de 60 ans, Madonna a non seulement une discographie riche et fructueuse, mais elle a aussi une grande famille de six enfants. La famille de la chanteuse est composée d'enfants biologiques et adoptés, ce qui en fait un groupe unique. Cependant, le choix de Madonna d'adopter l'a laissée face à de nombreux défis. Dans une interview de 2017 avec People , la pop star mondialement connue s'est ouverte sur les difficultés de l'adoption de ses quatre plus jeunes enfants du Malawi, en Afrique, et sur les critiques auxquelles elle a dû faire face.
Madonna a déclaré en référence à son premier fils adopté, David Banda :
« Tous les journaux ont dit que je l'avais kidnappé. Dans mon esprit, je me disais : « Attends une minute. J'essaie de sauver la vie de quelqu'un.... » J'ai tout fait dans les règles de l'art. C'était vraiment le point le plus bas pour moi. Je pleurais jusqu'à m'endormir. »
Malgré les diverses luttes que l'adoption a posées, Madonna a adopté quatre enfants au total.
Selon The Guardian , Madonna a adopté David en 2006, alors qu'il avait 13 mois. David est né dans le village de Lipunga, qui est situé dans l'ouest du Malawi, en Afrique. Son père biologique, Yohane Banda, a estimé qu'il devait confier David à un orphelinat car il ne pensait pas pouvoir s'occuper seul du garçon.
L'adoption a été sous les feux des projecteurs lorsque Madonna et son ex-mari Guy Ritchie n'ont pas respecté les règles d'adoption, qui, selon The Guardian , « exigent que les étrangers résident dans le pays pendant 18 mois avant d'adopter un enfant afin que les responsables de l'aide sociale aient le temps de contrôler leur aptitude. »
« Ce qu'il a plus que tout, c'est la concentration et la détermination. Je suis presque sûre qu'il tient ça de moi », a déclaré la chanteuse à propos de David en 2019 . « C'est celui avec qui j'ai le plus de points communs. J'ai l'impression qu'il me comprend ; il a plus de mon ADN que n'importe lequel de mes enfants jusqu'à présent. Voyons ce qui se passe - il est encore tôt pour tout le monde. »
Mercy James est l'enfant le moins connu de Madonna. Selon thethings.com , Madonna a déclaré au magazine The Guardian lors d'une interview qu'elle a ouvert le premier hôpital de soins intensifs en 2009, au Malawi, et l'a nommé en l'honneur de Mercy James. Elle a déclaré : « Je voulais célébrer le bel esprit du Malawi. L'hôpital s'appelle The Mercy James Institute for Pediatric Surgery and Intensive Care. » Selon People , Mercy a été adoptée en 2007.
En 2017, Madonna a annoncé sur Instagram qu'elle avait adopté avec succès ses filles jumelles, Stella et Estere Ciccone. Elle a écrit :
« Je peux officiellement confirmer que j'ai terminé le processus d'adoption de sœurs jumelles du Malawi et je suis folle de joie qu'elles fassent maintenant partie de notre famille. Je suis profondément reconnaissante à tous ceux qui, au Malawi, ont rendu cela possible, et je de
Amatrice baisee dans un bus
Il A Une Bite Enorme
Beauté sublime aux seins parfaits a un buisson mignon