ça se termine par une éjaculation sur elle

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Jouir après son mec : et si on arrêtait de voir l’éjaculation comme la fin d’un rapport ? - © Studio4 / iStock






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Bien souvent, c’est l’éjaculation de l’homme qui vient mettre un terme aux rapports sexuels hétéros, quitte à laisser dans l’ombre l’orgasme féminin. Et si on arrêtait d’arrêter, et qu’on osait revendiquer notre plaisir ?  
C’est un fait : le fossé orgasmique entre les hommes et les femmes est profond, très profond. Si les femmes jouissent toujours beaucoup moins que les hommes, c’est notamment parce que les rapports sexuels hétéros restent en grande partie conditionnés par le plaisir masculin. De nombreux couples ont en effet tendance à suivre un schéma peu propice à la jouissance féminine : préliminaires, pénétration, orgasme masculin, « The End ». Si, en cours de route, la femme a un orgasme, c’est bien. Sinon, elle attendra le prochain tour, le rapport sexuel hétéro ayant la fâcheuse habitude de s’arrêter dès lors qu’une éjaculation masculine a eu lieu. « Pour beaucoup de couples, les moments de partage qui suivent l’acte sexuel répondent plutôt à un besoin émotionnel qu’à une insatisfaction sexuelle de la femme », explique la sexologue Laurence Dispaux*. Tentons de remédier à cette abrupte cessation des activités !   
« Quand il jouit, c’est fini », résume Myriam, 34 ans. En couple et mariée depuis trois ans, la jeune femme constate que chaque rapport sexuel qu’elle partage avec son partenaire se termine au même moment : quelques secondes après l’orgasme de son mari. « Que j’ai joui ou pas, c’est très rare qu’une quelconque activité sexuelle se poursuive. Parfois ça me va, mais parfois je me sens abandonnée à moi-même, sans trop savoir que faire de mon désir et de ma frustration », explique-t-elle. « C’est une réalité pour beaucoup de femmes, qui répètent un script sexuel qu’elles ont connu de partenaire en partenaire. Il y a même beaucoup de femmes qui ne se posent pas la question, car elles pensent que c’est l’unique manière de faire. Elles décident parfois de rester dans cette insatisfaction, de ne rien dire en espérant que ça se passera autrement un jour, ou en nourrissant un ressentiment. C’est dommage... », analyse Laurence Dispaux.  
La question de la synchronisation des temporalités est l’un des aspects les plus épineux quand il s’agit de faire en sorte que toutes les parties concernées trouvent leur plaisir. « Savoir jouir au bon moment, c’est un vrai challenge. Je sais qu’avec la pénétration, j’ai peu de chances d’atteindre l’orgasme, alors que c’est comme ça que mon compagnon jouit dans 99,9% des cas. Mais je sais aussi que si je jouis avant, lors de la phase des caresses, ou quand il me fait un cunnilingus , mon excitation va retomber et je n’aurais plus envie de continuer », confie Sophie, 31 ans. L’enjeu est alors de pouvoir sortir des protocoles habituels pour réinventer une sexualité qui conviendrait aux deux partenaires. « Il y a forcément des décalages, car les corps ne réagissent pas aux mêmes stimulations, ni au même rythme. C’est un défi de moduler et de changer l’ordre de l’action pour que tout le monde soit à l’aise », explique la sexologue.   
Si les femmes sont donc plus enclines à sacrifier leur propre orgasme au profit de celui de leur partenaire, elles font aussi face à l’éreintement – réel ou imaginé – qui suit l’orgasme masculin. « Une fois qu’il a joui, je n’ose pas lui faire comprendre que j’ai envie de continuer. Je me dis qu’il est fatigué, qu’il n’a plus envie de moi. J’aurais l’impression de “réclamer“, ça me gêne », explique ainsi Myriam. La sexologue évoque en effet « la vulnérabilité psychique et émotionnelle » induite par les rapports sexuels pour expliquer leur fin parfois brutale. « Certains hommes se referment, et cela correspond à un besoin de protection, de détachement. Ce n’est pas de la mauvaise volonté, c’est un recentrement sur soi, car le fait de continuer à être dans l’échange peut être perçu comme trop dangereux émotionnellement », assure-t-elle ainsi.   
La période réfractaire, qui suit l’éjaculation, induit aussi presque inévitablement une baisse de désir chez les hommes, avec la disparition de leur érection. « La non-excitation et le repli sur soi est justifié par des facteurs hormonaux : il y a un substrat biologique qui cause un retour au calme chez les hommes. C’est cela, probablement, qui a induit de nombreux couples à partir vers le sommeil après l’orgasme masculin », analyse Laurence Dispaux. Mais faire plaisir à sa partenaire, même une fois le désir érotique retombé, ne peut-il pas apporter une grande satisfaction ?  
L’idée n’est pas de s’élancer dans une course à l’orgasme et à la performance, mais de laisser cours à une simple envie, de temps à autre, de poursuivre les festivités. « L’autre jour, on venait de faire l’amour avec mon mec, et j’ai pris mon courage à deux mains. Je lui ai dit que je n’avais pas eu d’orgasme, et que je n’avais pas envie de rester sur ma faim. J’ai précisé que je pouvais me débrouiller toute seule. Finalement, il a pris ça un peu comme un défi, il m’a caressée jusqu’à l’orgasme et c’était incroyable, autant pour moi que pour lui », témoigne Clémence, en couple depuis sept ans. « Un homme peut tout à fait s’occuper de sa partenaire, et profiter lui-même de cette tendresse, même si pour lui il n’y a plus d’excitation. Certains trouvent ça très gratifiant de constater qu’ils peuvent faire jouir leur partenaire autrement. Cela nécessite juste de se départir de l’idée que la pénétration est LA bonne manière de faire jouir une femme », analyse Laurence Dispaux.   
L’experte ne manque d’ailleurs pas de rappeler que les orgasmes ne sont pas une fin en soi, et qu’il existe bien d’autres raisons de faire l’amour : « le relationnel, la réassurance émotionnelle, le fait de se sentir désirable, de faire plaisir à l’autre, ou même la procréation ».  
Elle invite les couples à ajuster le tempo en testant notamment la pénétration par intermittence . « On peut varier en ayant quelques minutes de pénétration, quelques minutes d’autre chose, puis de nouveau une pénétration, et ainsi de suite pour maximiser les chances d’orgasme pour la femme. On varie ainsi les types de stimulations, sans se dire que l’orgasme de l’un·e vaut plus que l’orgasme de l’autre », conseille Laurence Dispaux. Les cartes sont totalement rebattues, aucun rapport sexuel ne ressemble à un autre, et les échanges peuvent avoir lieu avec ou sans érection. « On va à l’encontre de la période réfractaire de l’homme ou de la chute excitatoire de la femme, mais sans aucun malaise. C’est un réapprentissage, d’un côté pour les femmes qui ont toujours pensé que la stimulation clitoridienne ne se faisait qu’à un moment, un seul : lors des préliminaires ; et pour les hommes, habitués à avoir un orgasme après quelques minutes de pénétration », commente la sexologue.   
Et même si l’on ne va pas jusqu’à l’orgasme, ces jeux et cette découverte peuvent constituer un moment d’échange et de partage plus intense qu’une pénétration. « Cela peut aussi permettre de s’apaiser plus graduellement après un orgasme. On fait descendre l’excitation doucement, avec des caresses, qui nous font sortir du côté abrupt de l’enchaînement pénétration-orgasme-chute de l’excitation », explique la sexologue.   
Pour « éradiquer la culpabilité ou l’impression de non-performance », la sexologue préconise une bonne dose d’ouverture d’esprit et de communication. Pour les hommes, il s’agit de « passer outre l’idée que l’on est nul parce que notre compagne n’a pas joui lors de la pénétration ». Côté excitation, il faut également trouver d’autres ressorts, et sortir du jeu érotique habituel, basé sur la réciprocité du désir. On n’est ainsi plus forcément excité·e parce que l’autre l’est aussi, mais juste pour soi, égoïstement, ou au contraire pour l’autre, en toute empathie. « On obtient alors une gratification plutôt psychogène », résume Laurence Dispaux.  
Pour Stéphanie, une trentenaire en couple avec un homme de 26 ans, la théorie se vérifie. « Je n’ai pas besoin de demander, il sait. Très souvent, il jouit avant moi mais ce n’est pas pour autant que les choses s’arrêtent là. Ce n’est pas forcément pour que je jouisse à mon tour, mais juste pour profiter un peu plus du moment… et je dois reconnaître que j’ai presque toujours un orgasme », témoigne-t-elle, assurant que ces prolongations sont aussi agréables pour elle que pour lui.   
Faut-il encore que les femmes soient en accord avec le fait de concentrer toute l’attention sur elle. Laurence Dispaux constate en effet avec regret que « ce sont parfois elles qui ne peuvent, ou ne veulent pas répondre à leur compagnon quand ils leur demandent ce qu’elles aiment, ou ce qui leur ferait plaisir ». Comment être à l’aise et avoir une réponse à apporter à ces questions ? En se « donnant la permission de se découvrir, pour ne plus être démunies ou embarrassée ».   
D’après Laurence Dispaux, les femmes doivent s’emparer de leur propre plaisir, afin de savoir exactement ce qu’elles attendent de leur partenaire. « Les hommes ne sont pas de gros goujats, il faut juste leur donner les moyens. Ils ne sont ni devins, ni télépathes ! Il faut que le couple fonctionne ensemble car tout repose sur la communication, la bienveillance, la tolérance et la compréhension. Il faut absolument trouver comment combler les besoins relationnels et sexuels de la femme », conclu-t-elle.  
*Auteure du livre « Questions de sexe : six ans de questions à deux sexologues », Éditions Planète Santé, avec Nicolas Leuba.  
Chère ELLE, « ça fait six mois que je n’ai plus d’orgasme avec mon mec »
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Relayées par nos confrères de Men’s Health , les réponses données par les femmes sur ce qu’elles ressentent lorsqu’un homme est en elles sont variées. Sous couvert d’anonymat, elles livrent leurs impressions sur cette sensation pendant le rapport sexuel.
Il faut être téméraire pour témoigner à visage découvert de ce que l’on ressent pendant la pénétration. Pour répondre à cette interrogation qui taraude un bon nombre d’entre nous, nos confrères sont allés dégoter les réponses les plus précises . Le lieu idéal : Reddit. Sur ce forum , une question ouverte adressée exclusivement aux femmes : « Que ressentez-vous pendant le sexe ? »
Alors que chaque femme est cachée derrière un pseudonyme, chacune d’entre elle a livré explicitement son ressenti. Des centaines de réponses ponctuaient cette discussion avec des propos plus ou moins longs. Pour chaque personne interrogée, l’expérience était différente. Et pour cause, il y’a autant de plaisirs qu’il existe d’individus . Conséquence directe, chacun vit la pénétration à sa manière. Si certaines vivaient l’extase à ce moment charnière du rapport sexuel, d’autres au contraire pourraient bien s’en passer. Des éclairages essentiels pour les hommes qui, grâce à ces réponses, pourraient mieux combler leur partenaire pour atteindre l’orgasme .
Sous le pseudonyme de zofo, cette femme ressent énormément de plaisir pendant la pénétration. Elle qualifie même ce moment d’ « incroyable » et le décrit comme une sensation de plénitude et de pression. L’internaute compare l’instant après un rapport sexuel à ce que l’on ressent après avoir fait une promenade. « Vous vous sentez vidée dans le bon sens du terme » ajoute-elle. Puis d’ajouter : « Waw, je viens de réaliser qu’il est très difficile de décrire la sensation que nous ressentons lorsque nous faisons l’amour ».
Une internaute du nom de Rainbownerdsgirl se montre plus généreuse en détails sur le forum. Comme Zofo, elle adore la pénétration mais sait mieux comment partager ses sensations. « Tout votre corps devient chaud et des vagues de plaisir vous envahissent » raconte-t-elle. Un sentiment d’excitation graduel qui se conclue par l’orgasme pour cette femme. D’ailleurs, il existe 7 manières pour faire atteindre ce pic à sa partenaire.
Pour la femme derrière le pseudonyme Bananasantos, tout dépend de l’intensité de la relation sexuelle. Pour autant, certaines sensations sont récurrentes. Elle décrit une chaleur, des picotements, des frissons, de l’humidité, de la sueur, de la sensualité et des vagues de chaleur qui se développent lentement des orteils vers la tête pendant l’orgasme. Quant à savoir ce qu’elle ressent précisément au moment de la pénétration, elle estime qu’il est assez difficile de décrire ce moment. « C’est comme un pop ! » explique l’internaute, ajoutant que c’est plusieurs sortes de sensations incroyables qui se manifestent à la fois. 
Alors que les trois internautes décrivaient le plaisir qu’elles ressentaient pendant la pénétration, pour Badwolfgodess, les sensations diffèrent selon le gabarit du pénis de son partenaire. Elle décrit ce qu’elle perçoit lorsqu’elle est pénétrée par un homme à la taille moyenne. « Ça me semble tellement bien, comme si son pénis était fait pour être en moi. Je me sens remplie […] comme si j’avais chaud partout » précise-t-elle. Pour la femme, les gros pénis procurent un autre type de plaisir. « J’ai l’impression qu’ils m’ouvrent davantage et c’est différent. Ça ne rentre pas parfaitement à l’intérieur et cela est trop intense pour moi » écrit-elle. Badwolfgodess se montre plus clémente à l’égard des tailles plus modestes. Elle qualifie cette pénétration de « plus intime ». « Je peux la sentir en moi beaucoup plus profondément qu’avec les gros pénis » confie l’internaute sur le groupe de discussion.  
Romancetheriot est plus romantique, comme l’indique son pseudonyme. Pour elle, la pénétration est un acte passionnel et doux. Elle décrit le début comme une « tornade vertigineuse de sensations et de sentiments qui consument ». Lorsqu’elle est pénétrée, la femme raconte ne pouvoir penser à rien d’autre. Au moment de l’orgasme, elle ressent du plaisir qui monte par vagues. 
Pour Unteryn, tout dépend de la capacité de son partenaire à atteindre les zones les plus sensibles du vagin. Ainsi, elle décrit une sensation de « pression profonde et de petites décharges électriques plaisantes », ajoutant toutefois que si son pénis est assez imposant, il lui arrive également de ressentir une sorte de « rayonnement intense » qui l’envahit. 
Relayée par nos confrères de Metro bien que peu démontrée par les réponses de ce forum, une insatisfaction demeure quant à la pénétration. Et c’est ce que prouve cette étude . Selon ses conclusions, seulement 18% des femmes ont un orgasme avec seulement une pénétration tandis que 36% ont besoin d’une stimulation clitoridienne pour jouir. Une preuve que ce moment du rapport sexuel n’es
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