Étudiante roumaine se prostitue pour quelques billets

Étudiante roumaine se prostitue pour quelques billets




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Étudiante roumaine se prostitue pour quelques billets
Publié
le 19/05/2015 à 23:16
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La police française a annoncé avoir interpellé mardi trente personnes soupçonnées d'avoir organisé des «sex-tours» avec de jeunes prostituées roumaines.
Pas moins de quatre millions d'euros en deux ans. C'est ce qu'aurait rapporté aux présumés proxénètes ces «sex tours» planifiés à travers la France avec de jeunes prostituées roumaines, «à peine majeures», selon la direction générale de la police nationale.
L'enquête a débuté fin 2012 sur ce «vaste réseau» de présumés proxénètes, a permis de mettre à jour une «parfaite organisation». Ces circuits itinérants étaient en effet parfaitement huilés. Les jeunes filles étaient recrutées en Roumanie par petites annonces dans les revues ou des sites spécialisés. Arrivées en France, les filles se déplaçaient par équipe de six, avec un proxénète pour les encadrer, dans des villes comme Dijon, Paris, Lyon, Bordeaux ou Marseille, où elles logeaient dans des appartements.
Les filles effectuaient en moyenne une quinzaine de passes par jour, «parfois sous les coups», selon l'Office central pour la répression de la traite des êtres humains. Chacune rapportait mensuellement aux souteneurs quelque 8.000 euros. Cet argent a été «investi» dans l'immobilier, les boîtes de nuit ou les voitures de luxe en Roumanie selon les enquêteurs.
Les polices françaises et roumaines, qui ont travaillé de concert avec Europol et Eurojust, ont interpellé mardi matin vingt-sept suspects en Roumanie, et trois en France, à Marseille, Bordeaux et Aix-en-Provence. Ces individus ont été placés en garde à vue.
Déplacer les prostituées dans toute la France, au gré de «sex tours» organisés via internet notamment est un mode opératoire de plus en plus utilisé par les réseaux criminels pour conquérir des territoires et tromper la vigilance des forces de l'ordre. Les annonces vantant les talents de «masseuse» de jeunes femmes «de passage» dans des villes de province se multiplient sur les sites de petites annonces gratuites.
Les filles viennent souvent en France avec des visas touristiques, selon la police. Pour ne pas attirer l'attention, elles se déplacent parfois en fonction de grandes manifestations, type salons ou rencontres sportives. Réservation d'hôtels ou d'appartements, prise de rendez-vous avec les clients, gestion des agendas: les proxénètes organisent et se chargent de tout, parfois en engageant des standardistes.
ils ou elles payent des taxes et impôts comme tous contribuables français ?
Est-ce que ce tour passait par le Carlton de Lille ?
Ce réseau roumain est battu en brèche par la filière latine qui envoie les brésiliennes, les espagnoles, argentines etc... en tour de France de puis des années. Sans oublier les chinoises qui constellent les sites de réclames. Et de ce côté on ne dit et ne fait pas grand chose. Le visa touristique, pour les roumaines, tout comme les 15 passes/jour relèvent d'une certaine fantaisie si ce n'est du fantasme médiatique ou de la désinformation. Il suffit de creuser un peu dans les articles et sites de références et faire un peu de calcul mental pour invalider les chiffres de l'article: Ça ferait la passe à 25 €, sur la base de 8.000 € par mois. C'est deux fois moins que le tarif de rue et 10 fois moins que le tarif hôtel. Ce qui n'enlève rien à la barbarie des souteneurs. Pas difficiles à piéger pourtant, par exemple: une camionnette débarque les filles, rue Eugène Fournier, qui tapinent Boulevard Ney/Clignancourt, devant les barrières des travaux. Et çà ne date pas d'hier!
L'accusée a reconnu avoir mis le feu «avec un briquet» fin juillet, alors que le risque de feu était maximal dans le département du Gard.
RÉCIT - L’association des élèves de l’ENS Ulm envisage d’interdire l’accès de certains couloirs aux hommes «cisgenres».
La diffusion d'une vidéo de karting mêlant détenus et gardiens de la prison de Fresnes fait polémique. Le Garde des Sceaux dénonce des «images choquantes».
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Un réseau de «sex-tours» avec des prostituées roumaines démantelé
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Le 14 juin 2019 à 11h55 , modifié le 14 juin 2019 à 12h11
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Une affaire d'une ampleur exceptionnelle, avec des ramifications en Europe de l'Est. Un vaste réseau de prostitution vient d'être démantelé au terme d'une enquête de plus de six mois, conduite par les sections de recherches (SR) de Rennes et Nantes.
Quinze interpellations ont eu lieu en début de semaine en France, en Roumanie, en Italie ou en Allemagne. Âgés d'une petite trentaine d'années, tous les interpellés devraient être poursuivis en France pour proxénétisme aggravé, traite d'êtres humains et blanchiment d'argent.
Il y a un peu moins de six mois, en travaillant sur des vols dans des habitations de la banlieue rennaise, les enquêteurs de la SR de Rennes repèrent un drôle de manège sur un parking. Lors d'une surveillance sur l'équipe suspectée de ces vols, les gendarmes sont intrigués par la présence de jeunes filles. L'enquête prend alors un tour nouveau, et s'oriente vers un réseau de prostitution.
Sans grande surprise, les filles sont retrouvées quelques jours plus tard sur les trottoirs de Rennes et de Nantes (Loire-Atlantique), racolant ainsi en pleine rue pour quelques dizaines d'euros. « Elles étaient toutes les nuits sur les boulevards rennais et nantais, souligne une source proche du dossier. Le matin, elles repartaient toutes ensemble et vivaient sous la surveillance de « mères maquerelles. » L'enquête permet rapidement d'établir que toutes ces jeunes filles ont été attirées en France après avoir été séduites par des proxénètes en Roumanie.
Les gendarmes rennais ont donc très vite la conviction d'avoir face à eux un réseau structuré et international. Des écoutes téléphoniques ou des surveillances orientent les enquêteurs vers la Roumanie. Les autorités locales – qui connaissent le clan en question sans parvenir à le faire tomber – et françaises vont donc collaborer au sein d'un groupe d'enquête commun créé le 7 mars dernier. « Les échanges ont été très prolifiques, confie un proche du dossier. Cela a vraiment permis d'identifier les têtes du réseau, ce qui est toujours très difficile dans les enquêtes sur la prostitution. D'autant que les victimes, sous emprise ou terrifiées, ne veulent pas parler. »
Grâce aux policiers roumains, les gendarmes identifient leurs cibles. Des hommes qui vivent dans l'opulence et conduisent des berlines de luxe. Des investigations financières menées par Europol estiment que les proxénètes ont ainsi pu recevoir, en quelques mois, au moins 1 M€ en provenance de la France. Des flux financiers qui vont permettre aux enquêteurs de confondre les donneurs d'ordre. « En réalité, tout l'argent gagné par les filles était envoyé en Roumanie, souligne une source proche de l'enquête. Elles n'avaient que le minimum pour vivre et étaient vraiment réduites en esclavage. Elles se prostituaient pendant des heures alors qu'eux se faisaient construire de véritables palaces en Roumanie… »
Mardi matin, sous l'autorité de la JIRS de Rennes, une opération européenne est déclenchée. À Rennes et à Nantes, les enquêteurs de la SR passent à l'action et interpellent dix personnes. Un proxénète, deux mères maquerelles et de nombreux intermédiaires. Deux jeunes prostituées ont par ailleurs été mises à l'abri. Dans le même temps, les enquêteurs roumains interpellent les trois patrons du réseau dans leurs luxueuses villas. Un proxénète est aussi interpellé en Allemagne. Un autre qui avait pris la fuite quand ces complices ont été arrêtés a été retrouvé jeudi en Italie. Tous devraient très prochainement être transférés en France.
« Il y a eu un vrai travail européen dans cette affaire, se félicite une source proche de l'enquête. Sans cette collaboration, nous n'aurions jamais pu remonter si haut dans le réseau. » En Roumanie, les enquêteurs ont saisi plusieurs véhicules de luxe. Le volet financier concernant les biens acquis par les proxénètes fait l'objet d'une enquête en Roumanie.
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Témoignages


Étudiante, je me prostitue pour rembourser mes dettes




Océane Viala

16 nov 2021


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madmoizelle



Témoignages



À 23 ans, Rose est étudiante et féministe. Pour régler des dettes, elle a fait le choix de se prostituer. Océane lui prête sa plume pour partager son rapport à la prostitution.

@Iphise Coucou, je t'écris un message privé !

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À l’heure où elle me parle, Rose a 23 ans, et elle se prostitue depuis plus d’un an. Notre premier contact s’est fait par un email, lancé comme une bouteille à la mer sur la boîte de réception de Madmoizelle.
Le premier message de Rose sonnait comme une pulsion, comme un besoin soudain de dire à quelqu’un ce qu’elle vit. Un message pour relâcher une tension latente .
Quelques jours plus tard, j’ai rencontré une jeune femme terre à terre et pragmatique. Récemment arrivée à Paris pour la poursuite de ses études, Rose bûche et travaille beaucoup.
En alternance, elle bosse 35 heures par semaine en plus de ses projets universitaires. Le temps et l’énergie lui manquent pour faire un job étudiant et elle veut se consacrer à ses études, mais la vie parisienne l’endette chaque jour un peu plus .
Indépendante, avec déjà un prêt étudiant sur les épaules, elle peine à demander de l’aide, protège ses parents, et veut rembourser les amis qui l’ont déjà aidée par le passé.
À découvert de quelques centaines d’euros tous les mois, et après un avertissement de son banquier, Rose finit par s’inscrire sur un site de sugar dating :
« Au départ j’ai commencé à penser à la prostitution, et j’en rigolais avec mes amis. C’était pour tester mes limites, je pense. J’ai fait ça pendant plus d’un mois.
Et au bout d’un mois je me suis penchée sur le principe du sugar dating, en sachant pertinemment que c’était de la prostitution déguisée.
J’étais au boulot, j’ai reçu un mail de mon banquier et c’était le truc de trop. Je me suis inscrite sur un coup de tête . En une après-midi, près d’une cinquantaine d’hommes m’ont contactée. »
« L es hommes mettent leur salaire sur leur profil. En tant que fille, on met nos préférences sexuelles.
On sait très bien qu’il vaut mieux en mettre le maximum pour être choisie. »
Rose s’est inscrite sur un site Internet dont la promesse est de rencontrer un sugar daddy pour pouvoir mettre du beurre dans ses épinards, en quelque sorte.
Elle évoque avec un certain malaise le fait que ce site cherche à faire oublier que c’est de la prostitution . Autant chez les hommes, en grande majorité du côté du payeur, que chez les femmes en demande de soutien financier :
« Il n’y a pas de contrôle, je me suis inscrite en cinq minutes, j’aurais très bien pu être mineure.
C’est très faux, parce que ça se présente comme un site de rencontre, sauf que les hommes mettent leur salaire sur leur profil. Nous en tant que fille, on met soi-disant nos préférences sexuelles, mais on sait très bien qu’il vaut mieux en mettre le maximum possible pour être choisie.[…]
À chaque fois, il y avait ce discours de “Ce n’est pas de la vraie prostitution”, parce qu’il y a une relation plus que sexuelle. Qu’ils étaient là pour pouvoir aider les jeunes femmes , pouvoir nous accompagner, nous aider à grandir et à nous épanouir. C’est un discours paternaliste par excellence.
Ils n’ont pas envie de l’image qu’ils ont d’une pute. Ils ont envie d’une fille qui fasse bien au restaurant, qui puisse tenir une conversation, mais sans leur tenir tête. »
Rose commence à répondre aux messages, toujours claire dans ses attentes financières , et se prend au début au jeu du camouflage et de la séduction.
Elle joue un rôle , tente de garder le contrôle sur son intimité, de maintenir une distance. Elle se fait un personnage, romance pour faire croire aux hommes qu’ils sont « l’élu ».
Mais plus les conversations avancent, plus elle se rend compte que les attentes des hommes, pour la plupart assez âgés, sont malsaines :
« J’étais un peu trop vieille pour beaucoup. J’étais déjà construite. Et ça les dérangeait. Il faut montrer qu’on est faible.
Le discours des hommes m’a beaucoup choquée, même les plus attentionnés, les plus « gentils », comme celui que je fréquente. C’est un homme de 43 ans qui n’est pas dérangé d’être attiré par quelqu’un de 16 ans. Il m’a trouvée attirante intellectuellement, et c’est pour ça que ça marche. Mais d’habitude il choisit des filles plus jeunes. »
Rose est en colère, non pas contre la notion de prostitution en elle-même, mais plutôt contre les rouages du système
Ce mannequin veut de l'anal
Salope asiatique veut du sperme
Une belle latina qui aime les bites en elle

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