Étudiante en Droit ( Kabyle )

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L’étudiant Kabyle a le droit et le devoir




Ameɣnas


7 janvier 2021


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26 février 2021






Amdan


13 février 2021


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11 février 2021


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11 février 2021


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10 février 2021


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8 février 2021


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L’étudiant kabyle a le droit et le devoir dans l’histoire. Les étudiants ont été toujours à l’avant-garde des combats justes et nobles. Dans les années du boumedienisme où il était interdit de parler, les étudiants kabyles ont prouvé leur courage et ils avaient assumé leurs responsabilités. Ils ne sont pas restés indifférents face à l’arabisation imposée par le régime de Boumediene, leurs contributions pour la langue et la culture et leur engagement politique resteront ancrés dans l’histoire de la Kabylie. Ils ne rataient jamais les cours de Tamazight faite par notre Amusnaw Mouloud Mammeri à l’université d’Alger, ils avaient organisé beaucoup d’activités culturelles malgré la dangerosité et le risque d’emprisonnement, ils avaient aidé Mouloud Mammeri à l’amélioration du lexique kabyle.
Aujourd’hui, c’est le moment que les étudiants kabyles assument leurs responsabilités et s’engagent pour l’avenir de la Kabylie, leur tâche ne doit pas se limiter à la préparation des TDS et des examens, ils doivent être ambitieux pour eux même et pour la nation. Ils doivent aussi avoir l’audace individuelle pour faire face à cette situation. C’est une loi dans l’évolution de l’être humain que le travail et l’intelligence soient les conditions essentielles à tout homme qui aspire au progrès.
L’étudiant kabyle a le droit et le devoir de chercher à développer la kabylie et tendre tous ses efforts pour la prospérité de son peuple, comme il a le droit et le devoir de chercher de perfectionner sa vie. Les étudiants doivent se structurer pour s’engager dans des combats qui peuvent sortir la kabylie de cette impasse, ils peuvent contribuer pour la promotion de notre langue. Les étudiants d’une même filière ou d’une même spécialité peuvent se constituer en un groupe pour traduire leurs cours en kabyle. L’union des étudiants s’impose pour faire face à l’arbitraire des régimes et pour défendre les libertés. Pour que celles-ci ne soient plus bafouées Il doit s’engager pour détruire les vieux préjugés et l’ignorance. Ceci va permettre aux jeunes intelligents de s’épanouir et de produire.
Les étudiants doivent s’unir pour combattre cette tyrannie religieuse et militaire du moyen âge qui a mené vers la barbarie. Ce fanatisme qui est une folie incurable qui conduit le peuple à une déchéance certaine. Ils doivent libérer les pensées des croyances aveugles qui mènent à l’intolérance et au sectarisme. L’heure est donnée à développer les idées de justice et de droit, éclairer les ignorants et soutenir les faibles. Ce qui va permettre l’émancipation des opprimés, la libération du peuple et la suppression des tyrans.
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Elle s'appelle Kamira Nait Sid, elle est kabyle, présidente de la principale organisation culturelle et fédérale amazighe...

De 1830 à 1962 : l'Algérie est colonisée par la France. De 1962 à ce jour :...

Rédaction Kabyle.com - 27 août 2022 0
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Une organisation d’étudiants kabyles en France, en Kabylie et dans le monde vient d’être créée » pour faire émerger les talents et les hauts potentiels Kabyles qui seront les hauts cadres et dirigeants de la Kabylie de demain ». L’UNEK prend sa source dans le mouvement indépendantiste kabyle.
Longtemps portée dans nos cœurs, nous vous annonçons avec honneur et fierté, la naissance de l’UNion des Etudiants Kabyles « UNEK ».
L’UNEK est une association à but non lucratif créée par des étudiants Kabyles en France, consolidera un réseau d’échanges entre les étudiants kabyles en France, en Kabylie et dans le monde.
L’UNEK a pour objectif l’amélioration des conditions de vie et d’études des jeunes étudiants kabyles, et le rapprochement des milieux universitaires avec le monde professionnel, économique, entrepreneurial et société civile dans l’intérêt de la Kabylie et du Peuple Kabyle.
Pour des conditions de vie et d’études meilleures ce groupe d’étudiants a décidé de s’unir et de donner naissance à cette organisation.
« Depuis longtemps, l’étudiant Kabyle, livré à lui-même, fait face à plusieurs obstacles et rencontre beaucoup de difficultés durant ses années d’études en France en tant qu’étudiant étranger, menant tout droit à l’échec. Les Etudiants Kabyles en France ont décidé de mettre un terme à cette situation infernale, en se mobilisant, en s’unissant pour surmonter ces difficultés et s’entraider pour mieux vivre et surtout à réussir parfaitement leurs études » déclare l’un des membres du conseil administratif de l’UNEK.
L’idée de création de cette association est née pour donner suite aux témoignages de désespoir de certains étudiants Kabyles publiés sur des réseaux sociaux racontant toutes les difficultés et la souffrance que vit un étudiant kabyle sur le territoire français.
« Aider » et « orienter » sont les deux premiers principes de cette organisation. Il s’agit aussi de la promotion et le rayonnement de l’image de la Kabylie en France et dans le monde, en organisant, par ailleurs, des activités culturelles et cinématographiques ayant trait à la Kabylie et au Peuple Kabyle.
Ces jeunes étudiants qui portent la Kabylie dans leurs cœurs malgré la distance et les kilomètres qui les séparent de leur terre ancestrale, travaillent sérieusement rien que pour faire émerger les talents et les hauts potentiels Kabyles qui seront les hauts cadres et dirigeants de la Kabylie de demain.
« Plus Forts Ensemble » est désormais le slogan de l’UNEK.
Pour rejoindre l’UNEK, voici sa page officielle sur Facebook : h ttps://www.facebook.com/UNionEtudiantsKabyles
Le Conseil d’Administration de l’UNEK
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Je suis étudiante en droit-économie à l'université paris Sorbonne 1. Je parles couramment anglais, arabe et kabyle ( dialecte nord-africain). j'aimerais enseigner pour les enfants et leurs faire découvrir ces langues. L'apprentissage de langues et leur maîtrise apparaît comme une nécessaire dans notre monde globalisé.
J'ai aidé mes proches dans l'apprentissage des langues de façon ludique ou encore scolaire selon les besoins. Notamment avant des examens nationales en arabe, en français et en anglais. Il en ressort une " réconciliation" avec la langue qui apparaissait au premier abord complexe.
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Par Rabah OSMANI, avocat algérien ayant exercé en Kabylie, membre de la Commission Droits Fondamentaux de l’UJA de Paris

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Le droit à un procès équitable est posé par la Déclaration universelle des droits de l’homme (D.U), adoptée par l’assemblée générale des Nations unies le 10 décembre 1948 (art. 10).
En application de ce principe, le pacte international relatif aux droits civils et politiques (P.I.), pose les règles minimales en matière d’équité. Ce pacte constitue le texte de référence. Il est complété par d’autres textes de l’ONU, notamment par l’ensemble des principes sur la détention du 9 décembre 1988 (E.P.) ainsi que par :
 la convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants,
 le protocole optionnel contre la torture de la convention de l’ONU.
Ce protocole, l’Algérie s’est abstenue de le ratifier, sans donner de raisons. Cependant, l’article 28 de la constitution algérienne du 28 novembre 1996 stipule que l’Algérie souscrit aux principes et objectifs de la charte des nations unies.
Par ailleurs, l’article 32 de la même constitution stipule que les libertés fondamentales et les droits de l’humain et du citoyen sont garantis et son article 35 énonce que : « les infractions commises à l’encontre des droits et libertés ainsi que les atteintes physiques ou morales à l’intégrité de l’être humain sont réprimées par la loi ».
II-Contexte historico-politico-culturel en Kabylie
1/ La Kabylie fait partie de l’Algérie, elle était anciennement appelée la « Berbérie » dans le Nord Africain. Ahmed Moatassime, professeur au CNRS et à l’université de la Sorbonne à Paris, a écrit « plus de 80 % des maghrébins pourraient être d’origine amagighe (berbère) ». Avec la venue de l’Islam, la majorité des Berbères ont été arabisés, mais la région de Kabylie reste toujours attachée aux traditions, à la culture et à la langue berbère.
Malgré plusieurs colonisations de l’Afrique du Nord, la Kabylie, en matière juridique, a conservé ses coutumes pendant plusieurs siècles. On peut même affirmer qu’à ce jour existent encore des villages kabyles où les cas impliquant une question de droit ne sont portés que subsidiairement devant les tribunaux d’Etat, tant ces villages sont autonomes dans la résolution des problèmes.
Les villages kabyles sont ainsi organisés autour d’un groupe de « sages » (personnes âgées en général et, on peut le déplorer, exclusivement de sexe masculin) : ils se réunissent une fois par semaine, leurs assemblées sont appelées « Thadjmaath », tous les hommes du village, âgés de plus de 18 ans doivent y assister, sauf à devoir payer une amende.
Lors de l’assemblée hebdomadaire sont évoqués les événements de la semaine écoulée, notamment, s’il y a lieu, les disputes plus ou moins violentes entre villageois, les insultes et le non-respect des limites dictées par des sages de villages.
Les affaires qui arrivent devant les tribunaux d’Etat sont généralement des affaires criminelles ou des affaires que les sages du village n’arrivent pas à régler, sachant que les villageois respectueux acceptent toujours les solutions de ces sages. Même durant la colonisation française, il en était ainsi.
2/ Après l’indépendance de l’Algérie en 1962, la constitution algérienne a consacré, dans son article 3, l’arabe comme langue nationale et officielle de l’Algérie, marginalisant ainsi la langue berbère.
Le 20 avril 1980, des étudiants kabyles ont été battus, tués, torturés et jetés en prison, pour avoir manifesté contre la discrimination dont les Kabyles étaient l’objet, à l’occasion de l’interdiction par les autorités algériennes d’une conférence qui devait être animée par un écrivain kabyle. Depuis cette date est appelée « le printemps berbère », et la Kabylie organise et fête ce printemps chaque 20 avril.
En 1994, la Kabylie a boycotté l’année scolaire et universitaire (qui fut une année blanche) pour revendiquer l’officialisation et la constitutionnalisation de la langue berbère.
C’est dans ce contexte que, finalement, la constitution algérienne du 28 novembre 1996 a consacré, dans son préambule, l’Amazighité (le Berbère) comme une des composantes fondamentales de son identité. Toutefois, sur le terrain, la discrimination continue toujours.
Ainsi, en avril 2001 alors que la Kabylie se préparait à fêter le 21ème anniversaire du printemps berbère, la gendarmerie nationale algérienne a arrêté, arbitrairement dans l’une des communes de Kabylie (Benni Douala), un jeune lycéen, le traînant jusqu’à sa brigade, puis l’assassinant dans ses locaux sous le prétexte d’une balle perdue. Des émeutes éclatèrent alors faisant 118 morts ainsi que plusieurs centaines de blessés : il en résulta de nombreuses arrestations. Ces événements sont désormais évoqués sous le nom du « printemps noir de Kabylie ».
Depuis lors, un mouvement des citoyens appelé « les Arouches » a été créé par la population de Kabylie. Il a un caractère démocratique et social et exprime l’aspiration du peuple algérien à la liberté et à la justice sociale et a pour but de poursuivre le combat pacifiquement en se fondant sur un manifeste appelé « la plate-forme d’El Kseur », une commune de Kabylie.
Les termes de ce manifeste sont les suivants :
1- Pour la prise en charge urgente par l’Etat des victimes, blessés et familles de martyrs de la répression durant ces évènements,
2- Pour le jugement par les tribunaux civils de tous les auteurs, ordonnateurs et commanditaires des crimes et pour leur radiation des corps de sécurité et des fonctions publiques,
3- Pour un statut de victime pour chaque personne tuée au cours de ces évènements et la protection de tous les témoins du drame,
4- Pour le départ immédiat des brigades de gendarmerie et des renforts des compagnies nationales de sécurité (CNS),
5- Pour l’annulation des poursuites judiciaires et l’acquittement de ceux déjà jugés,
6- Pour l’arrêt immédiat des expéditions punitives contre la population, les intimidations et les provocations,
7- Pour la dissolution des commissions d’enquête initiées par le pouvoir,
8- Pour la satisfaction de la revendication amazighe dans toutes ses dimensions (identitaire, de civilisation, culturelle et linguistique) sans référendum et sans conditions et consécration du tamazight en tant que langue nationale et officielle,
9- Pour un Etat garantissant les droits socio-économiques et toutes les libertés démocratiques,
10- Contre les politiques de sous-développement, de paupérisation et de clochardisation du peuple algérien,
11- Pour la mise sous l’autorité effective des instances démocratiquement élues, de toutes les fonctions exécutives de l’Etat ainsi que des corps de sécurité,
12- Pour un plan d’urgence socio-économique pour toute la région de la Kabylie,
13- Contre Tamhoqranit et toute forme d’injustice et d’exclusion,
14- Pour un réaménagement au cas par cas des examens régionaux pour les élèves n’ayant pu les passer,
15- Institution d’une allocation de chômage pour tout demandeur d’emploi de 50 % du salaire national minimum garanti.
Cependant, depuis la rédaction de ce manifeste, les membres du mouvement citoyen font face à des menaces du pouvoir algérien, à des arrestations et des détentions arbitraires et à des actes de torture.
III -Pratique du procès équitable en Kabylie
On peut distinguer les principes d’équité : avant (A) et pendant (B) le procès :
A- Principe d’équité avant le procès
• Interdiction de toute arrestation ou détention arbitraire (art 9-1 du P.I.)
Les délégués du mouvement citoyen ont été arrêtés pour des motifs politiques et détenus arbitrairement par les services de sécurité algériens, ce en l’absence de mandat et sans être informés des motifs de leur arrestation. Souvent les délégués sont entravés et séquestrés. Leur domicile est, par ailleurs, sous une surveillance continuelle. La détention préventive est toujours très longue. Pendant tout l’interrogatoire par les services de sécurité (police et gendarmerie), les détenus ne peuvent pas être en contact avec leurs avocats.
• Interdiction de la torture (art 5 D.U. et art. 7 P.I.)
Les détenus ont affirmé que les gendarmes les avaient déshabillés, ligotés avec du fil de fer et menacés de sévices sexuels, d’autres se sont plaints d’avoir été fouettés ou d’avoir eu la peau tailladée avec des instruments tranchants. Torture et détention secrète, coups de poings, de bâton, de crosse de fusil, sont monnaie courante au moment de l’interpellation et pendant la garde à vue.
• Droit d’être informé des motifs de l’arrestation (art. 9-2 P.I.)
Les motifs de l’arrestation des délégués du mouvement citoyen ne peuvent être connus qu’après que les autorités politiques l’aient décidé, puisque ces arrestations se font par enlèvements secrets et séquestrations.
• Le droit d’informer sa famille de son arrestation et de communiquer avec elle (E.P 92)
Les familles des détenus utilisent parfois des avis de recherche car elles ne savent pas ce que sont devenus leurs proches. Elles peuvent, dans certains cas, rester quatre mois sans nouvelles.
• Le droit d’être jugé dans un délai raisonnable (art. 9-3 et 14-3 C du P.I.)
Les détenus du mouvement citoyen (Arouche) sont arrêtés arbitrairement sans inculpation, ni jugement. La plupart ont été interpellés pendant des marches pacifiques ou pendant des sit-in organisés devant les tribunaux pour la libération des détenus d’opinion. Parmi eux, citons Monsieur Belaid Abrika, enseignant de sciences économiques à l’université de Tizi-Ouzou en Kabylie ainsi que plusieurs de ses compagnons, tous sont toujours incarcérés, sans respect pour les règles du procès équitable.
• Droit à des conditions humaines de détention (art. 10-1 P.I.)
Début décembre 2002, les délégués du mouvement du citoyen ont entamé une grève de la faim pour dénoncer le
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