Étranges amours de jeunesse

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Étranges amours de jeunesse
#6 - Déclaration à la machine à boissons
#7 - Je t'interdis de parler d'elle !
#18 - La fin de cette relation bancale
#34 - Pourquoi il ne parle que d'elle ?
#35 - Aimer quelqu'un pas intéressé
#65 - Se mouiller pour la bonne cause
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Ils se connaissent depuis qu’ils sont enfants, reliés par leur passion pour le basket. Depuis leur rencontre, ils ne se sont plus jamais quittés. Primaire, collège, rien ne pouvait les séparer. Mais alors qu’ils sont sur le point de devenir lycéens, l’un avoue son amour pour l’autre. Depuis cet instant, plus rien n’est pareil et c’est à peine s’ils se disent “bonjour”. Leurs chemins devaient se séparer mais c’était sans compter qu’ils se retrouvent dans le même lycée ?!

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Prod DB © Carole Bethuel - Les Films Pelléas
Camille, jeune fille frêle mais mature de 15 ans, est amoureuse de Sullivan, un beau ténébreux un peu plus âgé qu’elle. Pas de pose ni de fétichisme adolescent : ces jeunes prennent très au sérieux l’amour. Ils ont le regard fiévreux et le geste tendre de personnages d’un autre siècle, s’exprimant à cœur ouvert. Ce filmage à fleur de peau, cette sensation de limpidité évidente, déjà ressentis face aux deux premiers films de Mia Hansen-Løve ( Tout est pardonné et Le Père de mes enfants ), sont ici plus vivaces encore. Le film sentimental, voilà ni plus ni moins ce que la réalisatrice réhabilite. Mais Sullivan (par peur ?) défend sa liberté et s’apprête à partir un an en Amérique du Sud. À la joie d’être ensemble se mêle la souffrance de l’absence à venir.
Le temps, dit-on, guérit les blessures. Éteint-il l’amour pour autant ? Un saut de quatre années, et voilà Camille changée, cheveux courts, plus vigoureuse. Elle s’est trouvé une vocation : l’architecture. Et un autre homme : Lorenz, fin et posé, qui lui apporte équilibre et stabilité. C’est le second chapitre du film, celui de l’émancipation, des voyages, de Berlin à Copenhague. Partout où elle passe, la réalisatrice transfigure les lieux, y compris Paris, filmé comme une douce ville étrangère. Marche, vélo, bus, mob, tous les moyens sont bons pour aller de l’avant, sans rompre tout à fait avec le passé, la mémoire. C’est la force du cinéma de Mia Hansen-Løve, de créer cette temporalité étrange, sorte de présent intemporel dans lequel évoluent ses personnages, à la fois bien réels, mais comme filtrés par le souvenir.
 Un amour de jeunesse, réalisé par Mia Hansen-Løve (Fr/All, 2010, 106 mn.), disponible en replay sur Arte.tv jusqu’au 31/7/2021.
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France Dimanche > Témoignages > "La quête de mon amour de jeunesse avance..."


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« Voilà des mois que je cherche Georges, mon amour de jeunesse et, après mon témoignage dans votre magazine France Dimanche , j'ai reçu beaucoup de lettres. Des gens de Toulon surtout qui me donnaient des pistes, m'écrivant aussi des confidences comme celles de cet homme qui m'explique avoir été, comme moi, séparé de l'être qu'il aimait pendant la guerre, avoir cherché cette femme toute sa vie et ne l'avoir jamais trouvée. Moi, j'ai encore espoir.
Je me suis rendue à Toulon, au quartier du Pont-du-Lac, rue Fabrègues où Georges habitait avec sa grand-mère. J'ai rencontré des gens qui l'ont connu. Mais personne ne pouvait m'apprendre son nom de famille. Lui me l'avait dit en 1942 avant de partir en mission pour ne plus revenir : nous étions sous les bombardements et j'entendais mal... J'ai cru qu'il s'appelait Baertz. Je n'ai jamais été sûre et mes recherches à ce nom n'ont rien donné.
Alors quand une dame m'a écrit qu'il s'appelait Bargès, j'ai pensé avoir mal compris à l'époque. C'était lui, forcément. Mais j'apprenais qu'il était enterré au cimetière de Toulon. J'ai 84 ans, il en aurait 87. J'ai partout cherché son nom sur les tombes, en vain. Mais Georges Bargès, né en 1919 est bien décédé et a été, semble-t-il, incinéré. Pourtant, je ne suis plus si sûre qu'il s'agit de “mon“ Georges. Je sais que je me raccroche à un maigre espoir, j'aimerais tellement qu'il soit vivant ! Mais j'ai des raisons : ce Georges là qui est mort n'a, paraît-il, jamais habité rue Fabrègues. Il n'aurait pas été non plus dans la Marine. Alors où est-il ?
Un de mes neveux m'a rapporté cette histoire étrange d'un vieux monsieur qui joue aux boules sur la Place d'Armes à Toulon. Sur le coup, il n'y avait pas prêté attention, mais cet homme chante toujours le même refrain qui dit : “Depuis que j'ai perdu Marie...“ Et il pleure ! Je n'ose pas y croire, mais il paraît qu'il s'appelle Georges. J'ai décidé de déménager. J'ai pris un appartement à Toulon, plus près de ma belle-famille qui m'a toujours soutenue. Ils ne m'en veulent pas car mon mari a été heureux. Lui a eu celle qu'il voulait. Il m'aimait pour deux : si je disais que la chambre était trop petite, il cassait la cloison et la faisait grande... Je n'y pouvais rien, j'en aimais un autre.
Aujourd'hui, c'est plus fort que moi, je dois aller voir ce monsieur. Et mon neveu, s'il le voit à la pétanque, il ira l'interroger. De toute façon, c'est ma dernière tentative. Après j'arrête, il faut que je me calme. Tout cela me fait trop souffrir. Mais je veux être fixée, même si cela ne m'empêchera pas de pleurer. »
Propos recueilli par Laurence Delville
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Daniel Auteuil retrouve son amour de jeunesse


© Stéphane Kerrad



Charlotte Leloup

20/09/2021 à 01:00 , Mis à jour le 20/09/2021 à 09:37









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