Étonnante boxeur avec la blonde Cali Carter baise avec son entraîneur

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«J'ai vécu pendant des années dans la peau d'un boxeur et dans l'âme d'un poète»





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Reconversion. Ancien champion d'Europe de boxe, Frank Nicotra n'aimait pas ce sport et se réfugiait dans l'écriture pour rêver. Aujourd'hui, devenu cinéaste, ce personnage atypique sort son premier long métrage, «L'Engrenage». Interview
A parcours étonnant, personnage atypique. Frank Nicotra, Français né d'un père sicilien, était boxeur. Un très bon, deux fois champion d'Europe des super-moyens (moins de 76 kilos), numéro 1 mondial, vainqueur de 31 combats sur 33. A 27 ans, il décide de tout laisser tomber pour se consacrer au cinéma, d'abord dans de petits rôles d'acteur, puis comme réalisateur. Neuf ans plus tard, installé à Paris, il vient de boucler son premier long métrage, L'Engrenage, un film sans rapport avec la boxe qui sortira sur les écrans romands le 17 avril (lire ci-contre). Il était cette semaine à Genève pour en faire la promotion. Et pour évoquer son parcours avec une lucidité étonnante.
Le Temps: Comment un ex-champion d'Europe de boxe se retrouve-t-il derrière une caméra?
Frank Nicotra: Tout s'est fait très naturellement. Depuis mes années de boxe, j'écris. Le cinéma était une sorte de prolongement de ce besoin de m'exprimer, un moyen de manifester ma curiosité et ma passion de la vie. J'ai eu la chance de rencontrer, au terme de ma carrière, des cinéastes qui m'ont fait jouer comme comédien, puis des gens qui m'ont donné la possibilité de réaliser des films. De fil en aiguille, à force de volonté, je me suis retrouvé réalisateur.
– Vous dites: «Je n'aimais pas la boxe»…
– C'est vrai. J'ai fait carrière avant tout pour faire plaisir à mon père. Dans ma famille, il était normal de boxer. Mon père, sans avoir fait carrière, adorait ça; mes frères boxaient tous. A Grenoble, j'allais m'entraîner avec eux, je ne me posais pas de questions. Puis, quand j'ai commencé à grimper les échelons, je me suis retrouvé pris dans une sorte d'engrenage. Je voyais une lueur dans les yeux de mon père à chacune de mes victoires. Je voulais lui faire plaisir, j'étais sous une sorte d'influence affective.
– C'est très contradictoire. A la fois, j'aimais la boxe et je la détestais. Je l'aimais parce que je gagnais mes combats, parfois même de façon expéditive, que cela me permettait d'exister, que je ressentais des émotions très fortes et que j'avais ma petite gloire. En même temps, je n'aimais pas recevoir des coups et en donner. J'ai souvent été écœuré. Souvent heureux, aussi. Je crois qu'il me faudra du temps pour mieux cerner ces paradoxes. J'ai arrêté la boxe il y a neuf ans et je commence seulement aujourd'hui à en parler, parce qu'auparavant je manquais de confiance en moi. Aujourd'hui, je me sens en même temps quelqu'un de très riche en expériences, de «vieux», et de très jeune, de très naïf, qui démarre dans la vie.
– L'écriture était-elle pour vous un refuge? Une thérapie?
– C'était un cri. J'avais envie de me réfugier quelque part. J'écrivais en cachette des poésies, des nouvelles, souvent sur ce que je ressentais dans ma vie de boxeur. Avec le temps, c'est peut-être devenu une thérapie. Puis une passion. L'écriture et le cinéma me permettent de m'exprimer, de faire passer des messages. Comme dans L'Engrenage, où j'évoque le manque de communication entre un père et un fils. Mon père m'a donné plein d'amour, mais notre communication a souvent été très silencieuse.
– Autre paradoxe, vous avez arrêté la boxe alors que vous étiez au sommet, à seulement 27 ans…
– La boxe use. Elle fait souffrir. Je n'avais pas envie de terminer ma carrière ruiné, sans énergie et avec des séquelles irréversibles. Je m'étais fixé comme objectif de devenir champion d'Europe, de disputer éventuellement un Championnat du monde – ce qui n'a pu se faire pour des raisons d'organisation –, puis d'arrêter. En plus, je n'aime pas le milieu de la boxe. J'apprécie la non-violence, la considération pour l'individu. Ce milieu lui, vit de l'exploitation de l'homme par l'homme.
– Pourquoi ne pas avoir tenté de faire carrière dans l'écriture plutôt que de vous lancer dans le cinéma?
– Mon rêve absolu, c'est d'écrire des livres. Mais je me sens handicapé. Je n'ai pas fait d'études, c'est un travail énorme pour moi d'écrire. Je suis constamment le nez dans des dictionnaires ou en train de faire des recherches. Mais j'ai compris que j'avais mon propre style. Les hasards des rencontres m'ont simplement poussé à choisir le cinéma plutôt que l'écriture en tant que telle. Avec l'écriture des scénarios, l'image, le travail de mise en scène, je crois que j'ai trouvé un bon compromis.
– S'exprime-t-on de la même manière sur un ring, derrière une caméra et avec une plume?
– Beaucoup d'aspects se rejoignent. Le plus important, c'est la préparation, la discipline, le contrôle de ce qu'on fait. En ce sens, la boxe m'a beaucoup aidé. Je travaille toujours beaucoup. Je suis impliqué à 100% dans ce que je fais, je vis et je rêve de cinéma 24 heures sur 24. Plus j'avance, plus j'aime raconter des tranches de vie. Sans rien regretter de ce que j'ai fait, je me dis aujourd'hui que j'ai vécu pendant des années dans la peau d'un boxeur et dans l'âme d'un poète.
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Bute n’a jamais été un grand boxeur, selon Ramsay


Gabriel Béland La Presse

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Édition du 24 février 2017,
section SPORTS , écran 6

Québec — Lucian Bute est un bon boxeur, avec un beau pedigree, mais n’a jamais été et ne sera jamais un boxeur de catégorie A, a lancé hier l’entraîneur d’Eleider Alvarez dans une déclaration cinglante.
Marc Ramsay s’était montré plus discret il y a trois ans, lorsqu’il entraînait Jean Pascal en vue du supercombat contre Bute. Mais hier, à la veille de l’affrontement de ce soir entre son protégé et l’ancien champion du monde, Ramsay a choisi de ne pas mâcher ses mots.
« Sans vouloir dénigrer Lucian, qui est un ancien champion du monde, qui a fait beaucoup de défenses, qui a beaucoup d’expérience, qui demeure un gros nom dans la division… mais chaque fois dans sa carrière qu’il a affronté un boxeur A, il n’a pas relevé le défi », a lancé Ramsay.
« Que ce soit Carl Froch, que ce soit Jean Pascal… Badou Jack n’a rien de spécial. C’est un gars correct. DeGale, c’est un gars qui boxait beaucoup mieux chez les amateurs, a continué Marc Ramsay. Bute, chaque fois qu’on l’a sorti de la catégorie des Sakio Bika, des Jesse Brinkley, des Brian Magee, ç’a été compliqué. Notre but, c’est de démontrer qu’Eleider est à un autre niveau, qu’il n’est pas un B+. »
Voilà qui nous offre une nouvelle trame narrative en vue du combat présenté ce soir au Centre Vidéotron devant une foule attendue de plus de 7000 personnes. On croyait que ce duel devait nous dire ce qu’il restait de Lucian Bute. À presque 37 ans, l’ancien champion a-t-il ce qu’il faut pour remonter au sommet ? Peut-il se mesure à Stevenson pour la ceinture WBC ?
Ce que Ramsay affirme, c’est que Lucian Bute n’a jamais été au sommet. Il n’a jamais été dans la catégorie des meilleurs boxeurs, des « A », comme on le dit en boxe. Et qu’Alvarez, 32 ans, en fait partie.
Ramsay en a rajouté une couche. Même s’il admet d’emblée que Bute « a eu un parcours impressionnant », ça ne lui donne pas nécessairement un avantage contre son boxeur. Pour illustrer ses propos, il a rappelé le pire moment de la carrière de Bute, ce knock-out subi un soir de mai 2012 à Nottingham.
« L’expérience, l’expérience, attention ! L’expérience, c’est bien. Mais ce n’est pas toujours positif, des expériences, a lancé Ramsay. L’expérience de Carl Froch, ce n’est pas une bonne expérience. Il y a des expériences qui ne sont pas des bonnes expériences. C’est très relatif. »
Les deux hommes ont fait le poids facilement, hier, sous les yeux du promoteur Yvon Michel, organisateur du gala. Lucian Bute (173,6 livres) n’a jamais été aussi découpé, notamment des abdos. « Je l’entraîne depuis quelques combats déjà, et jamais il n’a été aussi en forme, a dit son préparateur physique, le controversé Angel Heredia. Et je ne raconte jamais de bullshit. »
Bute (32-3-1) aussi s’est montré confiant. « Je vais lever les bras après le combat. Je veux une victoire, décisive, convaincante, qu’il n’y ait pas de doute. »
Mais la commande est grande contre un Alvarez (21-0) qui sera beaucoup plus costaud dans l’arène. Le Montréalais d’origine colombienne est un « gros » 175 livres, alors que Bute a passé l’essentiel de sa carrière à 168 livres. Alvarez a fait osciller le pèse-personne à 174,6 livres hier. Trente minutes plus tard, il en pesait 180. Ce soir, il va monter sur le ring autour de 190 livres.
« Ce qu’on va voir dans le ring, c’est qu’il y en a un des deux beaucoup plus gros que l’autre. »
— Marc Ramsay, entraîneur d'Eleider Alvarez
Lucian Bute a balayé ces considérations d’un revers de main. « Je vais peser entre 185 et 186 livres lors du combat. Ce n’est pas une différence de cinq livres qui va changer quoi que ce soit. »
Plus que les chiffres, cette pesée permettait de voir l’attitude des deux boxeurs. Bute, souriant, avait l’air – ou voulait avoir l’air – confiant. Alvarez avait des yeux de métal, la mâchoire crispée, lui d’habitude si souriant.
Lorsqu’il a dit cette semaine qu’il était prêt à mourir dans le ring, personne n’a ri. Ce boxeur, ancien représentant de la Colombie aux Jeux de Pékin, a déménagé à Montréal en 2009 avec un seul rêve en tête : devenir champion du monde. Le gagnant du combat de ce soir devrait affronter Adonis Stevenson pour le titre WBC. C’est le moment de saisir sa chance pour Alvarez.
« Eleider a fait beaucoup de sacrifices. Il a laissé de côté sa femme, ses enfants pour venir ici. Je le vois, son sacrifice. Vous devriez voir son appartement à Montréal : c’est une boîte à chaussures. Tout l’argent qu’il fait ici, il l’envoie là-bas pour les siens, explique Marc Ramsay.
« J’ai vraiment compris ses sacrifices quand moi j’ai eu un enfant. Là, je partais quatre semaines et j’étais tout à l’envers. Eleider part six mois sans voir sa femme et ses enfants. Vous voulez comprendre les sacrifices qu’il a faits ? Tout est là. C’est beaucoup. »
C’est donc ce soir que ça passe ou ça casse pour Alvarez. S’il est « un A » comme Ramsay le soutient, il aura 12 rounds de trois minutes pour le prouver.
On a affaire ici à deux contre-attaquants, note l’entraîneur de Québec François Duguay, dont le boxeur Éric Martel-Bahoéli sera de la demi-finale. « Un des deux va devoir forcer le combat. Je pense qu’Eleider va vouloir mettre plus de pression, probablement s’exposer un peu plus. Je pense que Lucian ne changera pas son style. Eleider, à mon avis, va mettre de la pression dans les cinq premiers rounds, et ces rounds-là vont être décisifs. » Si Alvarez fait mal à Bute dès les premiers rounds, le combat est probablement dans la poche. Sinon, Lucian Bute est capable de faire pencher la balance dans les rounds de championnat.
C’est une première, mais Eleider Alvarez a décidé de boxer avec des gants de marque Grant plutôt que Rival. En tant que champion WBC Silver, c’était à lui de choisir la marque. « Je suis surpris parce qu’Eleider a toujours utilisé du Rival. Le champion, c’est Alvarez, donc il avait le premier choix. Il a essayé les deux marques, et il a préféré les Grant, des gants avec lesquels boxe Bute. Ce sont des gants de cogneur. Les deux ont l’intention de se faire mal, j’ai bien l’impression. » Alvarez n’est pas un pur cogneur. Mais son jab peut faire très mal et il a souvent réussi à arrêter des combats sur des rafales de coups.
Eleider Alvarez est un « gros » 175 livres. Il va peser autour de 190 livres ce soir au Centre Vidéotron. Les 5 livres qu’il aura sur Lucian Bute pourraient-elles être décisives ? Bute assure que ce n’est rien. Mais c’est une question importante. À 175 livres, Bute n’a jamais vraiment impressionné la galerie. Il a vaincu très difficilement Denis Grachev, a perdu contre Jean Pascal et a battu Andrea Di Luisa, un boxeur au talent très limité. Le poids sera certainement un facteur majeur.
Les déclarations de Marc Ramsay peuvent-elles semer le doute chez Bute ? « Marc est très bon, très bon pour trouver le mot, l’action… Il sait comment déranger l’autre côté, note le promoteur Yvon Michel. Il ne fait pas de grosses déclarations fracassantes. Mais tout ce qu’il fait, c’est bien planifié. S’il vous a dit ça, c’est qu’il y a bien pensé. » Mais Bute en a vu d’autres. Ce serait même surprenant que ces déclarations se rendent jusqu’à lui. Mais on ne sait jamais…
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