Étale la petite chatte de son amie

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Étale la petite chatte de son amie
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Alors je vous préviens, aujourd’hui, on va parler poils pubiens sans aucune retenue! Et d’ailleurs, pourquoi devrait-on prendre des gants?
J'ai appris hier que ce que j'imaginais n'être qu'un mythe n'en était pas un. A savoir: l'épilation totale du sexe. Chez la femme.
Alors je vous préviens, aujourd'hui, on va parler poils pubiens sans aucune retenue! Et d'ailleurs, pourquoi devrait-on prendre des gants?
La norme: l'épilation intégrale du pubis ... WTF?
Je pensais que lorsque D. me disait "Tu as de la chance que je te laisse les garder, c'est très rare", ça n'était qu'une énième façon de m'humilier et de me dévaloriser. D'avoir une emprise sur mon corps. Je n'imaginais pas une seule seconde que c'était vrai et que, de fait, en 2018, la majorité des hommes exigent de leurs amies qu'elles arborent un sexe imberbe. Et – PIRE! – que la majorité des femmes s'y plient, et sont même fières de le faire.
J'en ai perdu mon latin. QUOI?! Les gens – tous genres confondus – trouvent ça sale?! De laisser à leur place les poils pubiens? ... J'hallucine complètement.
J'ai donc demandé à mon amoureux. Il m'a expliqué que ses amis ont effectivement toujours exigé de leurs compagnes un sexe de petite fille. Il m'a expliqué que la plupart d'entre eux étaient horrifiés par cette toison naturelle et que, pour cette raison, ils avaient parfois refusé de faire l'amour à certaines femmes. Certains se moquent même ouvertement d'anciennes conquêtes sur cet aspect ...!
Il m'a même avoué que j'étais la première qu'il avait connue avec des poils à cet endroit. Je répète. Ca me laisse bouche bée.
Avec toute la naïveté qui me caractérise, je lui ai demandé si ces mecs en question s'épilaient eux-même le sexe. Car, être dégouté par le poil, ça peut se comprendre mais dans ce cas, on ne hiérarchise pas. On déteste tous les poils, sur les autres et sur soi, ou on les accepte tous.
Réponse évidente, mais abrutissante quand-même: "Non, bien sûr que non, Rozie. Ils les aiment leurs poils, c'est viril pour eux. Et soyons sérieux deux minutes, c'est trop douloureux!" Ah.
Parce que c'est connu, sur un sexe de femme, l'affaire est absolument indolore. N'est-ce pas?
Je ne suis pas complètement déconnectée de la réalité, je savais bien que quasiment toutes les femmes se font le maillot. Mais il y a une grande différence entre enlever ce qui dépasse d'un bout de tissu – beaucoup trop étroit – et TOUT retirer!
J'ai donc mené ma petite enquête. J'en ai parlé. Au travail avec les filles, à droite, à gauche. Je suis allée lire et écouter l'internet.
Je suis tombée sur plusieurs collègues qui enlèvent tout, toutes les semaines. Parce que c'est plus joli, et comme ça, ça n'est pas sale. SALE? Alors là, les gars, il va falloir que vous retourniez lire la définition de ce mot plusieurs fois dans le dictionnaire! En quoi est-ce sale d'être poilue?
Ces même nanas déclarent des cystites environ une fois par semestre, quand elles ne se choppent pas une mycose ou un autre phénomène tout aussi réjouissant (oui, on se raconte tout). Je leur ai demandé si elles en déclaraient avant de s'infliger une telle torture. A la réflexion, elles m'ont toutes avoué que non. J'en mets ma main à couper, c'est lié!
Les poils pubiens sont là pour PROTEGER (comme les autres, d'ailleurs) et réchauffer. Ils ont une sacrée utilité et les retirer systématiquement revient à se mutiler et à se fragiliser. Quelle idée?
Pour la petite histoire, j'ai commencé à me raser jambes et aisselles à l'âge de 11 ans. Les vestiaires de sport et la honte qui en découlent m'ont vite fait prendre le pli. J'avais une amie qui faisait de la résistance, fallait voir ce qu'elle devait subir!
Puis, les poils ont commencé à apparaître sur mon pubis. Personne ne m'en avait jamais parlé alors je n'ai pas compris et j'ai commencé à les raser aussi. Grossière erreur! J'ai fini par comprendre, et face aux irritations (et la précipitation de l'allongement de la zone) que le rasage provoquait, j'ai arrêté.
Quelques années plus tard, mes amies juraient toutes par l'épilation à la cire, arguant que la douleur s'atténuait avec l'habitude. J'ai testé plusieurs fois. Sur un tibia. J'ai souffert le martyre. Il n'y avait rien à faire. Que je tire d'un côté ou d'un autre, que j'étale comme-ci ou comme-ça, que je sois aidée ou non. Une TORTURE, qui malheureusement ne s'arrêtait pas une fois la bande retirée. J'en avais pour des journées entières, exactement comme lorsqu'on se blesse et que ça guérit.
Je suis retournée à mon rasoir, malgré les coupures régulières et parfois profondes, pendant une bonne dizaine d'années.
Il y a deux ans, j'ai investi dans un épilateur électrique. Allez savoir pourquoi, pour moi, c'est un poil (haha!) moins douloureux. J'ai cru à l'adage qui dit qu'en arrachant les poils constamment, ils finissent par ne plus repousser, ou si clairs et si fins qu'on ne les voit même plus.
J'ai tenu peut-être six mois. Evidemment rien n'a changé. Je ne suis pas devenue plus résistante à la douleur et j'ai toujours la même pilosité. Je me suis infligé six mois de sueurs froides pour RIEN.
Je précise que je ne faisais ça que pour mes tibias et mollets. Epiler mes aisselles, je crois que je m'évanouirais. Quant au sexe, je n'en parle même pas!
Il faut préciser que j'ai une pilosité vraiment agréable à vivre, selon les dictats actuels. J'ai des poils "transparents", fins et courts, sauf aux endroits où j'ai commencé à les raser. Mais même comme ça, ils sont relativement clairs et parsemés. Je n'ai pas de moustache, je ne touche pas à mes sourcils, je n'ai rien sur le dos, le ventre, les fesses, les cuisses. Bref, je suis "chanceuse".
Non, je n'ai jamais été intégralement épilée là-bas, et mes différents partenaires ont dû faire avec. Hormis D., qui me faisait souvent la réflexion que j'avais de la chance qu'il accepte, aucun autre ne m'a fait de remarque.
Mon amoureux actuel l'accepte parfaitement. De toute façon, je ne lui laisse pas le choix et c'est une évidence: si un jour il m'intime de le faire, j'en exigerai autant de sa part, même si je m'en balance! Juste pour qu'il puisse se rendre compte.
Jusqu'à l'été dernier, je me faisais le maillot au rasoir, mais c'en est fini! Cette année, je vais tout simplement jeter ce bikini riquiqui qui ne protège rien du tout, et qui ne sert qu'à montrer ce que je veux garder pour moi. Je vais investir dans un shorty, et je vais gagner en tranquillité.
Ca ne signifie pas que je laisse pousser mes poils pubiens jusqu'à la lie. Je les entretiens et je les coupe régulièrement, parce que sinon ça devient désagréable. Mais quand bien même. On a le droit de ne rien faire du tout, et ça ne doit pas être considéré comme un manquement à l'hygiène. Tant qu'on se lave régulièrement, je ne vois pas où est le problème!
Considérez-vous que vos cheveux sont sales? Vous viendrait-il à l'idée de vous raser (épiler?) la tête pour ça? Les cheveux ne sont-ils pas, au contraire, attirants et sensuels? Et bien, je suis d'avis qu'il en va de même pour les poils pubiens! Et même les autres.
Je n'ai pas encore tenté la chose, mais c'est en préparation. Cet hiver, je n'ai rasé mes jambes que deux fois. Là, j'ai des poils longs. Est-ce disgracieux? Plus je les vois et plus je me dis que non.
D'autant plus que depuis que je les laisse, je n'utilise plus d'hydratant et que j'ai une belle peau, en bonne santé.
Mes aisselles, je les rase une fois par semaine en hiver. Tous les deux jours en été. J'ai plus de mal, déjà. J'ai plus vite la sensation que c'est gênant. Et clairement, je n'assumerai pas (foutu regard inquisiteur!).
A cela s'ajoute ce que me dit mon amoureux. Il serait gêné si je sortais en plein été les jambes poilues. Le sans-SG, il s'en moque, mais les poils aux jambes, ça ne passe pas. A-t-il le droit de me demander de me raser?
Je me suis beaucoup posée la question et pour l'instant, je me dis que je peux me raser pour lui. Parce que de son côté, il se rase la barbe pour moi même quand il n'en a pas toujours envie. Il fait ça pour me plaire et c'est agréable.
Selon lui, c'est normal de faire des concessions, même physiques, pour plaire à l'autre, et je suis assez d'accord. C'est aussi ça, entretenir son couple. Il préfère les jambes lisses.
Il faut donc trouver le bon équilibre. Se demander pourquoi on le fait. Dans mon cas, il ne me l'impose pas mais me dit ce qu'il préfère. Je sais qu'il fera avec si je choisis de rester poilue, mais il sera content que je me rase pour lui. C'est une marque d'attention, pour continuer de séduire.
Revenons-en à ses amis qui exigent de leurs chéries qu'elles s'épilent toujours intégralement le pubis sous peine de faire la grève du sexe. Clairement, je n'accepterais jamais qu'on m'impose un truc pareil. Un truc qui prend du temps et de l'argent, mais aussi qui apporte une bonne dose de souffrance et d'incommodités. Un truc qui touche à la santé, de corps et d'esprit.
Je crois qu'on peut dire ce qu'on préfère, mais qu'on ne doit jamais l'exiger. C'est à l'autre de choisir, en fonction du ratio: plaisir de l'autre/gêne personnelle.
Pourquoi les femmes s'épilent-elles intégralement?
Ce qui me gêne dans cette histoire, c'est qu'on intime à 50% de la population de se mutiler, et de tenir "à jour" la partie la plus intime d'elle-même tout le temps.
De nombreuses femmes sont hyper mal à l'aise pendant un rdv gynécologique d'urgence, ou pendant leur accouchement, parce qu'elles savent qu'elles ne sont pas (bien) épilées. Ca revêt une importance extrême. Comme si, en voyant l'état de pilosité du sexe d'une femme, on pouvait tout savoir d'elle: son hygiène, son sex-appeal, sa beauté, son rang, et j'en passe.
Moi-même, j'ai été très mal à l'aise lors des rdv chez un médecin, quand celui-ci me demandait d'enlever mon pantalon alors que je ne m'y attendais pas. Je paniquais: "PUTAIN, j'ai les jambes poilues et PIRE! Des poils qui dépassent de ma culotte!!! Qu'est-ce qu'il/elle va penser de moi?"
C'était comme si ma réputation se jouait. J'allais être jugée par mon médecin. J'aurais dû m'en foutre royalement! Et c'est le cas aujourd'hui. Je me fous complètement de mes poils lorsque je vais voir ma sage-femme, et elle s'en fout autant que moi.
La majorité des femmes vous diront qu'elles font ça parce qu'elles l'ont décidé. C'est sans doute vrai, mais pourquoi l'ont-elles décidé? Est-ce parce que ça leur plaît réellement ou parce qu'elles craignent que leur prochaine touche fasse la grimace une fois la culotte à terre?
La plupart d'entre elles souffrent toujours chez l'esthéticienne, même 20 ans après. Pourquoi continuent-elles à y aller? Pourquoi pensent-elles que c'est plus esthétique comme ça, plus "hygiénique"? On sait tous qu'elles ne pensent pas ça par elles-mêmes au départ, c'est une injonction répétée, qui nous pousse à avoir honte et à n'être sûre de soi qu'après passage d'une bonne dose de cire.
Et pour ces messieurs, c'est la même chose. Pourquoi considèrent-ils une femme non épilée, "crade"?
Heureusement, j'ai aussi trouvé des témoignages d'hommes qui suppliaient les femmes d'arrêter, qui expliquaient que les poils pubiens, c'est sexy et excitant, et qui se lamentaient de n'en avoir jamais croisé en 10 ans de sexualité active ... Petit à petit, les mentalités changent!
Peut-être qu'un jour j'oserai, moi aussi, sortir avec mes poils aux jambes et aux aisselles sans avoir honte ni baisser le bras dans la seconde. Comme je l'ai fait pour le no-bra et l'acné. Car après tout, c'est moi, et rien que moi. Ça dérangera le regard des autres, mais ça l'éduquera aussi. Et vous, vos poils, vous en prenez soin?
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Édité et parrainé par louise-auvitu
 Emma a été victime de "stealthing", pratique qui consiste à retirer son préservatif pendant l'acte sexuel. (Flickr/Kerry J/CC)
C'était en 2012, Cédric et moi étions ensemble depuis environ quatre mois. Nous nous étions rencontrés à plusieurs reprises lors d’une soirée entre amis. De fil en aiguille, nous avons commencé à sortir ensemble.
Notre relation, bien que balbutiante, était ce qu’on peut qualifier de sérieuse, même si je n’étais pas amoureuse. Parce que Cédric avait cette réputation de beau parleur, un brin dragueur, je restais sur mes gardes. Il m’a toujours fallu du temps avant d’accorder ma confiance à un homme.
Prenant la pilule, je tenais à ce que nous nous protégions à chaque rapport. J’ai toujours très vigilante : hors de question d’avoir un rapport à risque. Cédric avait déjà abordé la question de faire des tests chacun de notre côté et d’arrêter l’utilisation de préservatif, mais de mon côté, je jugeais que c’était un peu trop tôt.
Ce jour-là, on revenait de soirée comme c'était souvent le cas, et on comptait prendre une douche tous les deux. Une chose en entraînant une autre, ce moment est devenu un peu plus qu'une simple douche.
Immédiatement, j’ai tout arrêté pour attraper un préservatif que j’avais dans un placard de ma salle de bain. Je l’ai tendu à mon compagnon lui faisant entière confiance. Étant dos à lui, je ne pouvais me fier qu'à ce que je ressentais.
Au début, tout semblait normal, mais j'ai soudainement senti que c'était différent. Je ne voyais pas grand-chose, mais j’avais l’impression qu’il ne portait plus de préservatif. Pourtant, je me disais que ça ne pouvait pas être possible.
Et puis, j’ai regardé le sol, et là, je l’ai vu par terre, entre ses deux pieds. Sans mon consentement, il l’avait retiré.
Ma gorge s’est serrée en un quart de seconde et les larmes me sont montées. Dans ma tête, ça a été comme un électrochoc : Suis-je victime d'un viol ? Ça y est, j'ai peut-être le Sida ? Depuis quand fait-il ça ? Et si je suis enceinte ?
Je me suis écartée de lui aussi vite que j'ai pu, et comme si mon corps ne m'appartenait plus, je me suis sentie vraiment salie.
Je lui ai immédiatement demandé ce qui lui avait pris de faire ça, il m’a répondu qu'il n'avait pas réfléchi et que le préservatif l'avait toujours frustré. Comme si son plaisir était la priorité, peu importe les conséquences que ça pouvait avoir sur moi !
Pour une femme, c'est déjà difficile d'avoir un rapport sexuel dénué de soumission, si subtile soit-elle, alors si en plus on ne peut plus compter sur la bienveillance de l'autre, on ne touche plus personne !
Pour lui, ma réaction était démesurée
J’avais l’impression d’être face à un étranger, un homme que je ne connaissais plus. J’ai enfilé une serviette, puis nous avons eu une dispute. Pour lui, il n’y avait aucun risque, car il s’estimait "clean". Moi, j’étais sous le choc. Il m’avait trahie. C'était un acte égoïste, d'un machisme tellement profond et un total manque de respect.
Évidemment pour lui, ma réaction était démesurée.
Je lui ai demandé de s’habiller, de prendre ses affaires et de partir de chez moi. Le lendemain, je lui ai téléphoné pour mettre fin à cette relation. Je savais qu’il me serait impossible de lui faire à nouveau confiance.
Je l’ai recroisé, mais jamais nous n’avons reparlé de ce qui s’était passé ce soir-là.
Trahie, j’ai eu du mal à faire à nouveau confiance
Après cet événement violent et humiliant, j’ai préféré me taire. Je me suis simplement confiée à ma meilleure amie qui, hors d’elle, voulait aller lui parler. Je lui ai demandé de ne pas le faire. Je voulais juste tourner la page et l’oublier.
Même si je me suis sentie victime, je n’ai à aucun moment envisagé de porter plainte. Pour quel motif d’ailleurs ? Je me sentais souillée, trahie.
Il m’a fallu du temps pour m’en remettre. Pendant plusieurs mois, j’avais peur d’avoir de nouveaux partenaires. Et quand les choses se sont apaisées, que j’ai repris un peu confiance en moi, j’ai continué à être paranoïaque. Dès que j’avais un rapport, je vérifiais que le préservatif était bien en place, quitte à choisir des positions sexuelles qui me permettaient d’avoir cette sécurité-là.
Depuis quelques jours, j’ai eu l’occasion de prendre connaissance d’autres témoignages . C’est triste de réaliser que je ne suis pas la seule victime de "stealthing". J’espère sincèrement que cette mauvaise expérience ne se reproduira.
Propos recueillis par Guillaume Reuge et Louise Auvitu
Ça continue le cours d'Anglais ! Il faut vraiment donner un nom anglais à tous nos actes de la vie courante ? Je vais au Foof-Truck, j'ai attrapé le Burn-Out, et maintenant mon copain me fait du Stealthing...??? Je suis Fed-Up !
Plutôt qu'un mot anglais que peu de monde comprend, je propose "dérobade" qui reprend le sens anglais de dissimulation et de furtivité tout en l'enrichissant d'un sens littéral puisque dérober signifie : "dépouiller de sa première peau ou de son écorce". Ce mot rend aussi compte du caractère dissimulé de l'acte (cf. "porte dérobée"). On aimerait que les journalistes fassent ces efforts linguistiques qui redonneraient un peu de lustre à leur profession.
Une relation où l'une, pas amoureuse, le prenant pour un dragueur, campe sur ses positions et refuse l'arrêt du préservatif, et l'autre qui perd ses inhibitions et son sens moral au retour d'une soirée.
Ce n'est pas un drame, c'est d'une médiocrité sans nom.
@Léa 7
Ce n'est pas un drame ?
Vous pensez à la confiance qui doit se construire ? Si, c'est un drame, demain, un partenaire séropositif enlève son préservatif à votre insu, et ce n'est pas un drame ? Forcer une femme, ce n'est pas un drame ?
Je l'ai toujours dit, la pire ennemie de la femme, c'est la femme. Quand on lit un pareil commentaire signé d'un prénom féminin, on est révoltée, ou bien on croise les doigts pour que le pseudo soit en fait celui d'un macho indécrottable.
Non ce n'est pas un drame, sinon dans votre tête R jf. Il a déconné gravement, mais nuancez votre indignation : son inconséquence aurait pu porter à conséquences, mais tout est bien qui fini bien. Elle est pas en sucre la demoiselle, cela fait partie des ratés de la vie de couple. Elle en connaîtra d'autres.
En fait, cette histoire est un non-évènement.
@ R jf Bah non, je suis bien une femme, d'une autre génération que vous sans doute, et ce n'est pas l
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