Élodie se gode la chatte

Élodie se gode la chatte




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Élodie se gode la chatte
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Photos sexe salope vicieuse, libertine
Elodie en a marre de pas pouvoir trouver chaussure à son pied. Pourtant, cette maman en manque de sexe n’est pas bien difficile. Bordel, c’est pas compliqué de trouver une queue à se mettre dans la chatte. Pourtant, même en 2019, c’est difficile de trouver un vrai étalon, un mec qui aime le sexe. Alors Élodie doit se résigner à se taper une grosse branlette du lundi soir au dimanche soir. De temps en temps, bien sûr elle dégote un mec pas trop mal avec le sexe énervé et bien tendu. Mais pour une vraie bonne baise gratuite, notre maman en manque galère plutôt.
Pour une fois, cette magnifique blonde de 41 ans a décidé d’ouvrir son intimité à sa séance de plaisir solitaire. Sur ces quelques photos amateurs prises par un amant passager, on y découvre le cul magnifique et la chatte très poilue d’Élodie en train de se faire ramoner par son gode rose préféré. Les yeux un peu dans le vide, on se demande si Elodie ne se masturbe pas sous influence. Après tout, ça ne fait jamais de mal un petit pétard de marijuana ou quelques shots de vodka. Pour la maman blonde et bronzée, une grosse branlette s’apparente à une bonne baise. Elle seule maîtrise chaque contour et chaque recoin de son vagin. En effet, elle en connaît toutes les zones érogènes. C’est exactement où toucher le point G sans se louper. Ainsi, Élodie prend le gode à 2 mains, le fourre bien profondément dans sa foufoune poilue. Elle ferme les yeux et se laisse porter par ses orgasmes et ses petits spasmes de plaisir qu’aucun autre homme ne saurait lui donner. Entre deux incursions vaginales, Elodie se met le gode dans le cul à fond.
Pour réussir une bonne masturbation, notre maman en manque adopte plusieurs positions. Elle peut se mettre tout d’abord sur le flanc. Elle cambre bien son cul et passe la main par derrière pour enfiler le sextoy au fur et à mesure dans sa chatte bien juteuse. Puis, elle se porte sur le dos, écarte les jambes au fur et à mesure. Maman procède à un mouvement de pénétration progressif jusqu’à se défoncer son vagin poilu. Les cris et les hurlements de plaisir sont ainsi le témoin de sa satisfaction personnelle.
Quelques gouttes de transpiration, un peu de sueur qui perle sur le nez, une preuve irréfutable que sa grosse branlette lui a fourni l’apaisement dont elle avait besoin. Puis, son compagnon ou son amant du jour prend ensuite le relais. Il sera de sa responsabilité de continuer le travail de branlette en fourrant, fouinant, enfilant et ramonant Jusqu’à en attraper des crampes à l’avant-bras. Par conséquent, la blondasse quadragénaire verra tout son corps parcouru de petites décharges électriques. Signe que les orgasmes sont chaînes à répétition. Après cette grosse branlette, il sera temps pour le mec de sortir la grosse artillerie et terminer le job.
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Durée : 16 min
Vues : 16198


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Description: Elodie est une jeune amatrice qui habite a Lille et qui vient se faire troncher devant la camera. La nana a une tres joli sourire et c'est une sacree coquine. Pour exciter le casteur, la salope ecarte son string pour montrer sa chatte lisse et se fourrer une gros gode. Elle lui suce son membre puis il la baise en levrette.
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Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 6 - histoire érotique
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Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 6

Élodie Parcours d’une ado en chaleur - Partie 6



 

Perso je m'en fous de l'intrigue au tour du voisin mystère :-(
Je préfère quand l'histoire tourne au tour d'Elodie avec le trio, ou avec Romuald ou avec Raphael




Dernières histoires érotiques publiées par Shazam4577


En Savoir plus sur l'auteur, liste complète des histoires de Shazam4577...




Le soleil darde ses rayons salvateurs sur la peau de la jeune Élodie qui se réveille encore enivrée de son escapade burlesque de la veille avec Serge, le voisin au chien. Pourtant, la peau de son visage couverte de sperme desséché la tire, et elle meurt d'envie de prendre une bonne douche salvatrice avant de s’enfiler une bonne tasse de café bien chaud, mais ses yeux pétillent encore sur le gros gode ventouse toujours planté fièrement sur la baie vitrée la surplombant.

Allongée sur le plaid étalé à même le sol, la gamine promène son doigt le long de la fente de son vagin étroit. Lovée comme une petite chatte sur sa couverture, profitant de la chaleur qui lui caresse le corps, la brunette repense à son retour de la "promenade canine", encore euphorique ce cette expérience unique, des odeurs de sexe et de foutre plein les narines, elle jouait avec les ombres projetées sur son plafond, secouant ses gros nibard dans ses mains fines. Le souvenir encore trop présent de toutes ses bites inconnues, elle matait l'ombre de la grosse bite ventouse contrastant avec la sienne.

Curieuse de ressentir à nouveau la présence malsaine du congolais, elle l'imaginait présent dans son appart' coucher à ses côtés, et la lumière de son smartphone projetant l'ombre de sa grosse queue. Son index droite avait instinctivement trouver le chemin de sa grotte à plaisir et commençait à caresser sa vulve encore détrempée et ouverte de la baise de Serge. Elle n'avait qu’à tendre la main gauche pour attraper la grosse bite.

Elle ne mit pas longtemps à fourrager son majeur au fond de son minou humide, aspirant le gros gode entre ses lèvres, allongée le dos cambré sur le canapé. Tournant légèrement le visage sur la gauche, le regard à moitié dans le vague, elle crut apercevoir un rideau se refermer, mais elle s'en foutait, toute prisonnière qu'elle était par son plaisir charnel. Après quelques minutes de simulacre de pipe, la jeune fille, féline, se promène à quatre pattes dans le salon tirant le plaid avec elle, et n'oubliant pas le gros gode ventouse, elle se dirige vers la porte fenêtre coulissante au milieu de la pièce.

Le souffle chaud et le cerveau noyé par un nouveau plaisir insidieux, elle humidifie la base de la ventouse avec sa propre mouille et la plaque d'un grand *PLAC* contre le vitrage. Lorsqu'elle libère la grosse tige de latex, elle est hypnotisée par le balancement lancinant du gros gland proéminent. Les petits pieds recroquevillés sous son bassin, à genou devant son nouveau jouet, les mains plaquées au sol, la gamine ouvre la bouche et saisit le gland au vol. Elle aspire l'objet, s'imaginant soumise au géant africain.

Elle suce, avale, pompe la grosse bite aussi loin qu'elle le peut, délirant les ordres insultants de Romuald "Suce moi bien salope !", "C'est ça espèce de chienne blanche, avale ma grosse bite de queubla!", "Tu l'aimes ma bite ? Hein, sale chienne ?" L'adolescente gémit la bouche pleine, elle détend au maximum sa gorge, essayant de ressentir les impressions que le pincement de nez lui avait procuré un peu plus tôt, et luttant une nouvelle fois contre le haut le cœur, elle parvient à planter le gros gland au fond de sa gorge.

La luette passée, elle s'avance encore, enfonçant toujours plus loin la grosse tige. Plantée à fond sur la fausse bite, Élodie avait attrapé son téton droit entre son majeur et son index, le tiraillant pour le faire grandir, pendant qu'elle se caressait la vulve de la main gauche. Les yeux mi-clos, elle observait, absente, le rideau du deuxième étage, elle en était sûr, quelqu'un l'observait, ce qui alimentait étrangement sa libido. Elle entama alors une longue et trèèèès profonde fellation, sa toute première véritable gorge profonde.

La bite factice brillait dans la pénombre, couverte de la salive abondante de l'adolescente. Elle se donnait en spectacle, protégée derrière l'écran transparent de la fenêtre, comme une pièce de musée à l'abri dans sa cage de plexiglas, à la vue de tous, et pourtant inaccessible. La mâchoire endolorie par toutes ses pipes récentes, Élodie régurgita la grosse queue, non sans un dernier haut le cœur, mais un filet de bave brillante pendouillant entre la commissure de sa bouche et le bout de la fausse bite.

Comme si elle se donnait en spectacle, la gamine s'était alors retournée avec grâce et avait présenté son cul offert, la tête sur le sol, le cul cambré au maximum et guidant des doigts le gland de latex à l'entrée de sa petite chatte d'adolescente. Serge l'avait trouvée étroite malgré sa bite normale, pourrait-elle se planter sur la grosse queue sans se déchirer ? Cette perspective la stressait mais elle la galvanisait en même temps, se faire perforer par la même bite qu'avait pu enfourner cette salope de Béatrice.

Gagnée par l'excitation de pouvoir encaisser le gros sexe, Élodie avait alors commencer à se doigter et à se masser la chatte du bout du gland artificiel. A chaque frottement, elle poussait sur ses muqueuse ouverte et tendue pour s'empaler sur la grosse bite. Le souffle court et chaud, la gamine ne se contenait plus, et lorsqu'elle sentit la grosse boule s'ancrer en elle, son bassin pris le relais et ondula par reflexe pour s'enfiler sur la grosse tige.

Élodie se rappelle encore la sensation exquise du gros gode écartant ses muqueuses gonflées de sang et de plaisir. Elle s'était mise à osciller du bassin en "twerkant" comme une grosse black, les lobes de ses fesses largement écartées par la cambrure exagérée de ses reins. Mais elle n'avait pas la chatte assez profonde pour prendre le gode sur toute sa longueur, et elle s'était contentée de s'empaler sur la moitié.

Et ce matin, elle se doigte en douceur, en profondeur, les jambes écartées au pied de son nouvel amant de latex, tout en caressant voluptueusement sa poitrine généreuse. Un coup d'œil vers la fenêtre du deuxième étage, mais ce matin le rideau reste fermé. Un peu déçue, la gamine se fait tout de même du bien en repensant aux inconnus du petit sous-bois, mais elle ne veut pas se faire jouir, pas maintenant, elle s'attend à ce que son corbeau ou son grand renoi lui fasse découvrir de nouveaux délices charnels.

Élodie sombre de nouveau dans un sommeil profond et n’émerge pas avant 10h00, son second sommeil peuplé de rêves érotiques. Lorsqu’elle se réveille en sursaut, ses songes charnels s’estompent, seuls restent les sueurs sensuelles, les tétons gonflés de désir et sa chatte encore détrempée. L’adolescente inquiète vérifie son portable, mais aucun message de ses bourreaux. Ça devrait la rassurer, mais une pointe de déception la gagne tout de même, c’est qu’elle prend goût à tous ces nouveaux plaisir qu’elle apprend à dompter petit à petit.

Mais une autre réalisation la prend à la gorge : “Putain, les livraisons!” C’est que les affaires continuent même si ces parents se prennent un peu de bon temps ce week end. Le sang ne fait qu’un tour dans son corps, elle file sous la douche, et une fois le corps revigoré, et parfumé de sa crème réparatrice, elle file dans sa chambre, traversant sans plus aucun complexe les baies vitrées du salon. Pour aujourd’hui elle choisit un me petite jupe fourreau en matière très élastique, et cache sa poitrine en rabattant le bandana en une bande de 5cm qu’elle attache dans son dos d’une boucle simple.

Les anglaises brunes librement relâchés sur ses épaules, elle passe un trait d’eye liner pour souligner son regard, place ses lentilles de contact et couvre ses lèvres pulpeuse d’une couche de gloss rose. Ses Adidas préférées au pied, elle fonce au magasin, sans oublier le snap de Romuald, un cliché pris sur le palier, en trois quart arrière, la jupe relevée découvrant son joli cul nu. Élodie dévale l’étage qui la mène dans la cour centrale, son linge encore pendu sur le fil de séchage. “Merde le linge” réalise la gamine qui aperçoit la porte du stock entrouverte.

Inquiète, elle ouvre doucement la porte en bois et s’aventure dans la pénombre du cagibi :

-Hello ? Y a quelqu’un ?

Et sortant de nulle part, flanquant une frousse magistrale à la gamine, apparaît le grand Raphaël et sa chemisette hawaïenne improbable à moitié débraillée dans son short bleu et blanc des années 80. Surprise, la gamine manque de tomber à la renverse. Elle recule de deux pas et se retiens de justesse à une pile de cagettes pleine de concombres. De colère, elle frappe le torse du livreur :

-Mais t’es con, putain !

Le grand échalas éclate de rire en attrapant le petit poing fermé :

-J’ai gagné mon pari on dirait !

Incrédule, Élodie le regarde interrogatrice et Raph s’explique :

-Avec ton père .... J’avais parié que tu louperais les horaires de livraison, du coup j’ai décidé de passer, et j’ai bien ....

Il hoche la tête sur le côté, et son regard maintenant adapté à la pénombre, descend sur la naissance de la jupe retroussée de la gamine :

-Faiiit .... Mais attends viens un peu ici p’tite salope !

Et d’une poigne de fer, il l’attire à lui, la retourne et glisse une main entre ses cuisses duveteuses. Il remonte lentement sous la jupe et appuie un doigt sur la vulve dénudée de l’adolescente :

-Mais dis-moi, on met plus d’culotte on dirait ?

Il appuie son majeur entre les lèvres encore gorgées de mouille :

-Putain et tu mouilles comme un chienne en plus!

Élodie fond sous la caresse inattendue, elle ne peut retenir un petit gémissement de plaisir. Saisissant l’opportunité le livreur enfonce son doigt dans les muqueuses offertes et de sa main libre empoigne un des gros seins de la petite.

-Ouuuuhhh ....

Élodie, encore chaude et en manque ferme les yeux et se cambre sous la caresse inattendue. Mais, réalisant que son tortionnaire n’est autre que ce grand connard, elle lutte pour reprendre le contrôle. Dans grand coup de coude dans les côtes, elle surprend le gaillard qui lâche prise. Elle en profite, se dégage, lui fait volteface et dans une colère simulée :

-Mais dégage putain ! Tu fais chier ....

C’est ainsi que, les jambes flageolantes, et le cœur battant dans ses tempes, elle se barre sans demander son reste, claquant la porte en bois derrière elle. L’adrénaline l’aide à traverser la cour et à remonter les escaliers pour retrouver un peu de secours dans l’appartement. Adossée à la porte fermée, la gamine tente de calmer les pulsions déclenchées par le livreur. Elle sent encore son doigt lui écarter les chairs, lui tirer ce petit gémissement de plaisir, “Mais putain, qu’est-ce qui m’arrive ? C’est pas possible !” Comme un rituel, la jeune fille tire sur la ficelle du bandana qui choit à ses pieds, et tire sur la jupe élastique qui rejoint le bout de tissu roulé.

*PING* c’est son corbeau Le message est accompagné de deux clichés haute définitions sur lesquels on aperçoit l’adolescente à peine éclairée en contrejour, sucer et s’empaler sur son gode ventouse. “Le chien putain !” Le moment de surprise passer, Élodie tente d’analyser l’angle de la prise de vue. Pas facile vu que les photos ont dû être prises au téléobjectif, mais ça pourrait provenir du voisin du troisième, un informaticien trentenaire si elle ne se trompe pas. Le portable vibre alors, sortant la gamine de sa réflexion : “Bon ben v’là ma théorie !” Il ne peut pas être son corbeau. Mais sa chatte la titille encore, et pourquoi pas, l’idée d’un petit show privé ne lui déplairait pas ! Un peu anxieuse de laisser un nouvel inconnu, elle envoie son pseudo periscope au voisin et file dans le salon plongé dans la pénombre des volets entre fermés.

Soudain son téléphone sonne, le voisin l’appelle ? Interrogative elle répond :

-Oui ?

-Salut, alors prête pour un nouveau show ?

-Ah ben tu vas droit au but dis-moi ?

-Ouais j’suis comme ça ! J’ai bien aimé ta performance hier soir et du coup ça m’a bien inspiré !

-OK ?

-Tu vas mettre tes earbuds et je vais t
Double pénétration d'une vilaine blonde
Il est juste ce qu'elle veut
Une baise violente après le massage

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