Échanges de nude ou pourquoi pas plus

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Échanges de nude ou pourquoi pas plus

Santé
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Publié le 19/07/22 à 12h45
— Mis à jour le 25/07/22 à 21h37

Une étude franco-belge fait un état des lieux sur l’envoi de « nudes » chez les jeunes de 13 à 25 ans. Une pratique désormais très répandue, notamment en raison de la généralisation de l’utilisation des smartphones. Les résultats de l’étude montrent une perception plutôt favorable de cette pratique, malgré les risques qu’elle comporte.
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mercredi 07 septembre

Santé « Des nudes envoyés de plus en plus jeune », révèle une étude franco-belge

PRATIQUES SEXUELLES Plusieurs chercheurs universitaires et sexologues cliniciens se sont penchés sur la question de l’envoi de « nudes » chez les personnes de 13 à 25 ans en France et en Belgique
Sexting et sextos ont pris le pas sur l’ancestrale sextape , même si ce n’est pas tout à fait la même chose. Ces « nouvelles » pratiques sexuelles doivent leur montée en puissance à l’avènement des smartphones, que l’on trouve désormais dans toutes les poches, même chez les plus jeunes. A l’initiative de Ludovic Blécot, sexologue clinicien lillois, ils sont plusieurs chercheurs français et belges à s’être interrogé sur un des pans du sexting : l’envoi de « nudes » chez les jeunes de 13 à 25 ans. Sans jugement, le constat de cette étude est néanmoins saisissant.
L’étude en question a été menée sur deux ans auprès de 10.700 jeunes français et belges francophones âgés de 13 à 25 ans. Les répondants sont à 70,5 % des femmes et à 80,13 % français. A la principale question qui leur était posée, à savoir « avez-vous déjà envoyé un ou des nudes ? », ils sont trois quarts (74,5 %) à avoir répondu par l’affirmative. « Ce chiffre élevé ne nous a pas forcément étonnés, notamment parce que les moyens technologiques disponibles ont donné une certaine ampleur à cette pratique », explique Ludovic Blécot.
Il fallait néanmoins faire un état des lieux de cette pratique qui est assez peu documentée en France et en Belgique. « Les échanges avec les professionnels dessinaient un constat plutôt alarmiste qui était davantage lié à une représentation du phénomène qu’à la réalité », poursuit le sexologue. Une « médiatisation négative » qui ne prenait en compte que les dangers du « partage secondaire », autrement dit, le fait de voir des photos intimes destinées à une seule personne envoyées sans son accord à des tiers. « C’est en effet un risque important puisque près de la moitié des répondants ont assuré que ça leur était déjà arrivé », reconnaît Ludovic Blécot.
Les véritables enseignements de cette étude sont ailleurs. A 17 ans, ils sont proportionnellement plus nombreux à avoir envoyé un nude que ne l’étaient au même âge les personnes aujourd’hui âgées de 18 à 25 ans. « Cela veut clairement dire que l’on envoie des nudes de plus en plus jeune. Sauf que, paradoxalement, l’âge du premier rapport sexuel ne change pas, établi à 17 ans depuis une décennie », décrypte le sexologue.
L’autre enseignement est que l’envoi de nudes ne se limite plus au couple comme c’était encore majoritairement le cas il y a quelques années. « Envoyer un nude à une personne avec laquelle on n’est pas en couple se fait désormais dans une plus grande proportion, constate le sexologue. C’est une évolution des pratiques ». D’ailleurs, l’étude montre que 3 % des personnes ayant déjà envoyé un nude l’ont fait afin d’obtenir « des faveurs », relations sexuelles, argent, services ou même drogue.
De manière générale, chez les 13-25 ans, l’envoi de nudes est perçu plutôt positivement. Etrangement, cette perception ne change pas chez ceux qui ont vécu l’expérience de voir une photo intime partagée sans leur consentement. Cela explique en partie que l’immense majorité des victimes ne dépose pas de plainte. « Beaucoup de témoignages font aussi état d’une inversion de culpabilité », note Ludovic Blécot. En gros, c’est de ta faute, il ne fallait pas envoyer ce type de photos. Du coup, comme pour toute pratique sexuelle, il y a du bon et du potentiellement moins bon. « L’important est d’en parler sans culpabiliser, contrôler sans fliquer, insiste le sexologue. Expliquer les risques, c’est aussi l’enjeu de la prévention ».

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Harcelées par un TikTokeur, ces adolescentes témoignent
Ils envoient des dick pics, voici comment ils ont vécu l'affaire Griveaux
Loin d'être réservés aux échanges sulfureux par écrans interposés, les "nudes" sont aussi une façon de se réapproprier son corps, et de s'aimer davantage, rien que soi.
PSYCHOLOGIE - Les adeptes de “Sex & the City” auront la référence. Dans l’épisode “The Real Me” (saison 4), Samantha Jones décide d’immortaliser son corps devant l’objectif. Pour se rappeler, quand elle sera très vieille, de sa plastique de l’époque. Un cadeau à elle-même, pour plus tard, explique-t-elle à ses amies perplexes. Ou plutôt, l’incarnation d’une estime de soi en béton. Certes, Samantha aime le sexe et les hommes, mais elle s’aime surtout elle-même. Énormément.
Avant l’avènement du smartphone , on allait, comme Samantha, chez le photographe pour se faire tirer le portrait. Aujourd’hui, on a les selfies . Et les nudes . Ces clichés réalisés par nos propres soins qui cadrent nos seins, notre ventre, nos cuisses, notre sexe. À poil, le plus souvent. On prend des nudes pour les envoyer à l’autre, exciter son partenaire plus ou moins temporaire.
Pour se rassurer, se trouver belle, se connaître. Gagner en confiance en soi et s’emparer de son intimité. Se convaincre de la chance de celui ou celle qui aura le droit de parcourir notre corps. Sur Instagram, la directrice artistique Loïse Dewildeman a publié une ode - devenue virale - à ces clichés : “Les nudes, c’est une arme d’empowerment massive”, signe-t-elle.
Alors on se demande: le nude est-il forcément destiné à l’autre ou peut-il aussi brosser notre amour-propre? On a discuté avec expertes et adeptes de ce nouveau passe-temps qu’on aurait tort de ne pas étiqueter “self-love”, des raisons qui nous invitent à nous mettre en scène et des dérives intolérables que sont le revenge porn et le slut-shaming . Décryptage.
Déjà, qu’est-ce qu’un nude? Dans le dictionnaire, le terme se traduit littéralement de l’anglais par “nu”. Dans l’emploi populaire, c’est une photo dénudée qu’on prend soi-même et de soi-même, avec un smartphone. Généralement pour l’envoyer à quelqu’un·e qui nous plaît, pour attiser un jeu de désir. (Précision nécessaire: ici, on prendra le cas des nudes consentis, qui s’échangent ou se prennent entre adultes consentant·e·s.)
Mais le nude est-il toujours sexuel? La créatrice de La Prédiction , un compte Instagram qui sublime les corps et le désir, aussi autrice d’un recueil de nouvelles érotiques éponyme, nous répond par l’affirmative. “Le nude est une photo montrant une intention de sexualisation de son propre corps”, assure Aliona. “Une mise en scène à travers des codes sociaux plaçant le corps comme objet du désir de l’autre. Donc à mon sens oui, le nude est forcément sexuel. Tout du moins sensuel, érotique.”
Selon Hélène Bourdeloie, sociologue travaillant sur les usages du numérique sous le prisme du genre et de la classe sociale, pas uniquement. Elle nous explique d’abord que la pratique fait des émules. “Les selfies dénudés (et même les sextos) constituent un phénomène de plus en plus répandu”, affirme-t-elle. Et comme tout message, le nude est “toujours destiné à soi-même ou un·e autre ou des autres”, poursuit la spécialiste avant de préciser: “Donc pas nécessairement destiné à une autre personne, ou en tout cas ce n’est pas déclaré comme tel”.
Au-delà du but premier, érotique, qu’on lui prête, l’experte évoque l’exploration de soi. “On peut aussi simplement prendre un nude pour soi et le conserver pour explorer son corps, ses défauts et souhaiter le perfectionner”, poursuit Hélène Bourdeloie. “On peut s’y employer pour une démarche d’acceptation de son corps. Ce n’est pas la même chose de se voir dans un miroir que d’avoir une photo nue de soi que l’on peut transporter partout avec soi et qui fige une posture, une attitude. L’image est trace d’un passé.” Un passé qu’on voudrait fixer, comme Samantha Jones?
Laura, 35 ans, s’adonne à la pratique depuis de nombreuses années. Mais cela fait un peu moins de temps que le visionnage des clichés reste exclusif: “Je les garde pour moi”, nous dit-elle, expliquant qu’aujourd’hui, elle ne veut pas les communiquer. Avant de se laver, en se déshabillant, lorsqu’elle est allongée sur son lit et aime particulièrement la position de son corps: les occasions sont nombreuses et spontanées. Elle nous confie également avoir encadré un autoportrait qui la dévoile quasi nue, agenouillée sur un lit, dans une position qui prête à confusion. “On ne voit pas mon visage, et avec le jeu d’ombres et lumières, on croit que je suis en train de me masturber. J’aime que les gens aient cette impression”.
La raison qui l’amène à poursuivre ce rituel sans destinataire, c’est la relation privilégiée qu’il lui permet d’entretenir avec son corps et les bienfaits sur son amour-propre. “Il y a un sentiment réel de satisfaction parfois. Je vais me dire ‘j’adore, je suis canon’, je vais m’autocongratuler, me féliciter de ma créativité”, plaisante-t-elle. “Je me mets souvent en scène d’une manière sensuelle. Forcément, de tout ça ressort un sentiment d’appréciation de soi”.
Elle associe le nude à la connaissance de son intimité. “Je me rappelle qu’ado, je piquais le grand miroir de la chambre de mes parents et je m’enfermais seule dans la mienne. Je me mettais toute nue et je me regardais sous toutes les coutures. Je trouve ça important de se connaître, de se regarder. Et se prendre en photo, c’est pareil pour moi.”
La jeune femme assure que savoir positionner son corps de manière à ce qu’elle se trouve belle, attirante est une façon pour elle de le maîtriser et de s’aimer d’autant plus. Un acte de “self-love”, lance-t-on? “Oui, sans aucun doute. De toute façon, avoir une photo de moi encadrée au-dessus de mon lit et qui me suit depuis douze ans, si ce n’est pas du self-love, je ne sais pas ce que c’est!”, rit-elle.
À voir également sur Le HuffPost: En dessin ou en 3D, le sexe féminin s’expose de plus en plus
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Publié le

18 mars 2020 à 17h19

Peut-être qu’avec le confinement, vous vous dites qu’envoyer une jolie photo dénudée (« nude » en jargon internet) à votre partenaire ou flirt du moment serait une bonne idée. Ayez conscience que l’envoi de nudes vous expose au risque de fuite d’une partie de votre intimité, de laquelle peuvent émerger des manœuvres de chantages. Tout en gardant cette idée en tête, nous vous proposons quelques conseils pour sécuriser un minimum vos envois.

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Français et Françaises ont été appelés par le gouvernement à respecter les règles de confinement . Entre celles et ceux qui ne vivent pas avec leurs partenaires et les célibataires qui voudront continuer les rencontres en ligne, les pratiques amoureuses pourraient, elles aussi, passer au numérique. L’envoi de photo dénudée, ou nude , d’une personne consentante à une autre, pourrait connaître un pic.
Balayons tout de suite l’injonction cybersécuritaire absolue : oui, la pratique est potentiellement risquée, puisqu’il est impossible de garantir que les photos ne fuiteront pas. Ces images particulièrement intimes peuvent armer des manœuvres de chantage, et causer des préjudices moraux et financiers.
Mais il revient aux adultes consentants de faire des choix et il ne revient à personne de porter un jugement sur la pratique. Beaucoup continuent et continueront à envoyer leurs selfies les plus sensuels, surtout en période de confinement : c’est pour cela que, sans les en dissuader, nous cherchons à communiquer quelques conseils pratiques et techniques pour réduire en partie les risques. À vous d’adapter des précautions plus ou moins radicales selon votre exposition. Les personnalités publiques et les personnes disposant de hautes responsabilités seront par exemple plus facilement visées par du chantage ou par des cyberattaques. Par exemple, l’ancien candidat à la mairie de Paris, Benjamin Griveaux , en a fait les frais.
Le meilleur moyen de se protéger contre la fuite de nudes est de ne pas en faire. // Source : Illustration par Lucie Benoit pour Numerama
C’est un des principes de la cybersécurité : le risque zéro n’existe jamais. Faites donc comme si votre photo de nu allait arriver sur Internet. Même au-delà du revenge porn , des vols de base de données photographiques ont déjà eu lieu par le passé. Dans ce cas, vous voudrez ne pas être identifiable. Pour y parvenir, évitez d’inclure votre visage, vos tatouages ou des marques de naissance distinctives dans l’angle de votre photo. De même, écartez tout élément reconnaissable qui apparaîtrait dans le décor de l’image. C’est vous le sujet principal, mais l’arrière-plan peut donner beaucoup d’informations.
Il faut penser à tout, à commencer par les évidences : les photos personnelles, le tableau de votre salon qui est sur toutes vos photos Instagram, ou la vue depuis votre fenêtre. Mais allez plus loin : votre salle de bain à un papier peint si horrible que toute personne qui y passe s’en souvient ? Peut-être qu’il faut l’exclure de l’angle de la photo, ou le re
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