I am preparing for a ten day's art class in Umbria, Italy this fall. (More on that when we return). Here is another place - Albergo Diffuso in Sextantio S. Stefano, I've been contemplating for another art course in Italy. It's VERY rustic, and reading the visitors comments on TripAdvisor, many of the beautiful rooms have very small windows and are poorly lit, so they may very well be too dark to work in, should the weather be bad. What do you think? Would you stay in a quaint Italian village & hotel like this? Above, a the Ninna armchair in wood and leather, by Italian designer Carlo Contin for Adentro. Below a clever seat by Japanese designer Yukari Hotta Above: Swedish designer Mattias Stenberg's Carry on seat from Studio Vision for Offect. Below the clever Fibonacci cabinet in bamboo by Chinese designer Wang Peng, Utad Studio . In their own words: The design idea comes from the traditional Chinese medicine storage units, where all the drawers are the same size.
In order to satisfy the multi- functional requirement, we apply the principles of the Fibonacci sequence to rearrange every size of these units in series, which could be used separately, combines the freedom to incorporate the modular series into different interior spaces or scenarios. If you are new to the Fibonacci sequence, I've blogged about it before, here. Today I found this image in my inbox - a beautiful photo of a new set of glass bowls from Kosta Boda. Tradition and trend in a nice mix, designed by Anna Ehrner. Instant love on my part! I'll have the green ones, thank you very much. What color is your fav?På grund av återbud, finns det nu 2 lediga kursplatser till den distansutbildning i inredning - homestaging - styling, som har sin första gemensamma kurshelg 31augusti och 1 september 2013. Först till kvarn gäller. Mer information om utbildningen hittar du här nedanför. (Sorry - this info about one of my upcoming design courses is in Swedish only). SÅ ANMÄLER DU DIG:
När vi tagit emot din anmälan, får du en kursbekräftelse samt faktura på hela kursavgiften. När avgiften är betald, översändes de första hemuppgifterna, och därmed har du påbörjat distansutbildningen. Förutom eget arbete före och mellan de obligatoriska kursträffarna, ingår tre gemensamma kurshelger, med en rad föreläsningar och praktiska övningar. EGET ARBETE INFÖR 1:A KURSHELGEN EGET ARBETE INFÖR 2:A KURSHELGEN EGET ARBETE INFÖR 3:E KURSHELGEN stilhistoria: arkitektur- och inredning analys av hus- och lägenhetsplaner - övning färgförståelse och färgsättning - övningar dagsljus, ljussättning och belysning aktuella inrednings- och färgtrender analys av olika köpgrupper - övning homestaging i praktiken - projekt gröna rum: balkong och trädgård Vad tidigare kursdeltagare tycker All images from Stadshem Mando DiaoStrövtåg i Hembygden. Lyrics by one of my fav. 19 centrury Swedish poets Gustaf Fröding.
He is generally held to be one of the greatest poets of verse that Sweden has ever produced, on par with Carl Michael Bellman. His poetry combines formal virtuosity with a sympathy for the ordinary, the neglected and the down-trodden. It is highly musical and lends itself to musical setting; as songs it has developed in to the much wider world of popular music and frequently been re-recorded by Swedish singers like Olle Adolphson and Monica Zetterlund. He wrote openly about his personal problems with alcohol and women and had to face a trial for obscenity for that cause. Remember the beautiful photo above? I posted it here, some months ago, because I loved the stunning composition, the soft shades of grey and the simple complexity of form. The person behind the lens is the Paris based photographer Julian Escardo, and since my previous post, we've become Instagram friends. Below are a few of my favorite photos from his vast body of work - sophisticated and elegant, sometimes mysterious, sometimes humorous.
You can buy his prints from here. If you want to see more images like these, head over to Julian's beautiful Facebook page. Or go here or to his blog. If you'd like to know more about the philosophy behind his work, check out this interview,. And if you want to know more about the man behind the Nikon, here is a new interview. If you might want to join me and follow Julian on Instagram. Julian Escardoit is my hope to stir emotion when people view what I do. I thrive to take a relatively static subject such as architecture and show flow, harmony and movement. Like it is alive... Last spring I showed you some photos from Swedish glass designer Ingegerd Råman's summer home in the south of Sweden. Now there are some new great images of the same house in the design mag Sköna Hem, showing us the latest changes. SaarinenAlvar AltoArne JacobsenMarcel Breuer. another of my newly found friends on Instagram: christinebauerphoto. The beautiful pics below are from her website.
by checking in via your computer. See you all there! Now - let's enter Christine's worldIl fallait tenir le rythme. Trois jours d'expositions, trois jours de ventes au Grand Palais. Les enchères de la collection Yves Saint Laurent / Pierre Bergé ont fait vibré Paris pendant près d'une semaine... Si l'exposition a provoqué un rush visiteurs monumental (il était d'ailleurs assez difficile de circuler dans les salles) , les ventes étaient nettement plus calmes (comprenez 5 min d'attente côte Press/VIP et 15 min côté Public - avec nos amis les chinois).La collection, on s'en doutait déjà à la lecture des catalogues, s'est révélée à l'image du maître et son compagnon. Eclectique mais cohérente, riche sans opulence. La vente Arts Décoratifs du XXe était à ce titre inoubliable, rendant justice à Eileen Gray, Lalanne, Frank... Sous la coupole, suspens et tension accompagnèrent l'adjudication du de l'irlandaise... 21 905 000 euros. Les catalogues sont des bons lots de consolation...
Sous le coup de la fatigue, sélection express, d'une très infime partie mes grands favoris. (Certaines images sont issues du catalogue) Lovée dans le passage de l'Ancre (n°3), derrière la rue de Turbigo, la galerie Revolt's (01 42 71 77 38), à peine ouverte depuis un mois, offre ce qu'il manquait en France : Ineke Hans, Joost Van Bleiswijk, Christien Meindertsma... ils sont tous là : la crème du . Un design direct, avant-garde mais fonctionnel, subtil et intemporel.L'ambiance de la galerie est détendue mais pointue. Ce qui saute aux yeux, c'est l'accessibilité des meubles d'architectes et designers présentés : une chaise à moins de 500 euros, un buffet avoisinant les 3000 euros... des prix accessibles qui permettent au collectionneurs de suivre le travail d'un designer. Ce sont des séries limitées ou des pièces uniques sur commande. De l'astucieux bureau du belge Bram Boo aux étonnants poofs en laine de l'hollandaise Christien Meindertsma faits main avec des aiguilles d'1m80 de long (!), les pièces ont tous un point commun : un savoir faire certain, auquel s'ajoute une volonté propre au design hollandais : la réduction des coûts et le respect de l'environnement.
D'ailleurs, la plupart des designers utilisent des matériaux bruts, voir pauvres, avec une véritable sensibilité dans la fabrication...Le rendez-vous est pris à 17 heures avec le directeur de la galerie Revolt's. au pieds, Alexandre Popoff défend ses choix...Défenseur d'un design , Alexandre Popoff a failli ouvrir à Istanbul, heureusement pour nous il a choisit Paris...Quels rapports avez-vous avec les designers que vous présentez?Comment vous situez vous par rapport à Kreo et Tools notamment, eux qui tendent leur contenu vers le design-art?odernes. Revolt's est plus dans l'idée d'En Attendant les Barbares Je connais Kreo et Tools puisque Kiki Van Eijk a participé récemment à un projet de tapis pour eux. Mais je m'insurgeais notamment, alors que je viens de ce milieu, de ce design qui flirte de plus en plus avec l'art contemporain, qui promeut la pièce unique, atteignant des prix faramineux pour produire au final un fauteuil sur lequel on peut ne pas s'asseoir... C'est la raison e tenais à ce que cela ne soit pas le cas avec Revolt's.
C'est "Revolt's... c'est votre rebellion?Impossible donc de proposer de l'art contemporain?..Il me montre l'étonnante construction de la table, des chaises et du buffet de Joost Van Bleiswijk, où la fixation se résume à des planches de contreplaqué imbriquées les unes dans les autres.Et la crise, on s'en fout? "Quels sont vos clients? un showroom privé, mais je souhaitait qu'il y ait une démarche pédagogique, accessible, derrière Revolt's. D'où l'ouverture de la galerie au public.A part le design, vos derniers coups de coeur?Musée de la ChasseInstitut Néerlandais Au début des seventies, à l'heure du tout venant et de la consommation de masse aux États Unis, l'architecte et designer brésilien Sergio Rodrigues a eu le bon goût de réinvestir la production de son pays... alors qu'on meublait étrangement les édifices révolutionnaire d'Oscar Niemeyer avec des meubles de style colonial. Durant presque cinquante ans, il conçoit du mobilier avant tout confortable, sans négliger l'esthétique.
Fondateur du fourre-tout en 1956 (manufacture/studio/galerie d'art/showroom/cabinet d'architecte...), il fait produire ses meubles au Brésil, utilisant des matériaux locaux en privilégiant avant tout le bois. Du slow design en somme.Le hic, c'est qu'alors que ses meubles s'achetaient facilement sur le marché américain (notamment aux vente de Wright), on avait plus de mal à s'en procurer en Europe. C'est chose oubliée grâce à ClassiCon, qui réedite aujourd'hui une (petite) partie de ses nombreuses (environ 1200) réalisations : quelques chaises et fauteuils, et surtout... .Certains dirons que ce fauteuil est moche, sans doute; qu'il ressemble à son créateur, avec sa forme amplifiée et ses larges bras dodus, peut être. D'autres enfin avancerons qu'il ferait un parfait remplaçant à la d'Eames, sûrement. Mais ce qui est certains, c'est qu'en plus d'être fabriqué main avec du bois d'eucalyptus et du cuir souple et d'avoir un prix plus que raisonnable, est juste archi-confortable.
Le refuge idéal après une dure journée de travail.In the early 70's at the time of massive U.S. consumerism that over took all, the Brazilian architect and designer Sergio Rodrigues reinvested with style in local production in his country....at that period, strange colonial style furniture invaded the revolutionary buildings of Oscar Niemeyer. Rodrigues built mostly comfortable yet beautiful furniture lasting almost fifty years. He founded the "put everything in" "Oca" in 1956 in his manufacture/studio/art gallery/show room/ architect office and got his furniture made in Brazil using local materials and mostly selecting wood. Actually very "slow design". However, even though his furniture was easily purchased and available in the american market (especially at Wright's sale), it was not that easy to acquire a purchase in Europe. It is at last possible due to ClassiCon, with their re-editions of a small part of the many (about 1200) works; chairs, armchairs and especially....the "Mole".
J'avais envie de vous parler de photo. Non pas parce que Glamour (et je les en remercie, en particulier Ora-ïto) me consacre ce mois-ci une page...(si quoi que, bien que je n'approuve pas la photo choisie); mais à propos de Steve Hiett. Le photographe qui a travaillé pour les plus grands de Vogue au Times Magazine, de Paris à New York, se voit enfin consacrée une exposition monographique. C'est la galerie Maeght qui s'en charge, sans surprise, puisque Hiett avait autrefois séjourné dans la villa de la famille. On dit qu'il fut attiré par la lumière : cette même lumière électrique qui magnifie ses photographies. Des femmes toutes plus délicieuses les unes que les autres (réf. à Bourdin ou encore Newton), les cheveux au vent, dans des compositions très décentrées; d'une chromatique surprenante, souvent prononcée, qui capture l'instant tout en exprimant un vif mouvement, à la fois tendu et décomplexé. Que l'on le veuille ou non, le cubisme a changé la vision que l'homme avait de son environnement au début du XXe.
Certainement avant-garde avant l'heure, injustement limité à Braque, Picasso et co; ce courant d'art réclamant l'aboutissement de toute pulsion artistique ou fonctionnelle par l'utilisation de formes géométriques, concrètes ou abstraites fait encore effet. Prague demeure le fief du cubisme avec ses grandes maisons aux rebords de fenêtres prismatiques et ses villas aux façades implicitement austères.Quoi de plus normal donc qu'une des plus fameuses galerie de la capitale tchèque prend le nom d'un artiste du pays (Bohumil Kubišta), réédite du mobilier et des objets d'art a l'aura esthétique jusqu'alors insoupçonnée, et ceci dans la Maison à la Vierge noire. Alors on se demande pourquoi on nous en parle à Maison et Objet, comme ça, au détour du hall 7A, à côté de l'excentrique Qubus, tchèque, aussi. Et quand on voit ce que Kubista propose, on comprend soudain. La beauté formelle de la plupart de ces objets (une poignée, en fait) imaginés au début du siècle passé n'a jamais fanée.