Pog

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V

STORY D’UNE PETITE DE POG - Saison 4 Finale

******** Episode 13 ********


POG (Port-Gentil), Gabon.


Dans la tête Jessica Kassa Mabika…


Cela quelques jours que je couche avec Patrick, le voisin. Presque toutes nuits, je faisais le mur entre 23h et minuit pour sortir de chez moi en douce. Je montais directement à l’étage pour rejoindre l’appartement de Patrick. On parlait et faisait des cochonneries jusqu’à 2-3h du matin. Ensuite je revenais toute seule en douce chez moi joyeusement comme si rien n’était. Je lui avais formellement interdit de me suivre chez moi. Sinon ce sera finit entre nous. Il a accepté cette condition. Et notre relation intime s’est poursuivie tranquillement. 


Un matin, Patrick m’envoie un texto vers 10h pour me dire qu’il n’est pas aller au boulot et qu’il est chez lui. Il me demande de passer le voir dès que possible. Je lui réponds « Ok ». Je me prépare en conséquence pour aller le voir. Je préviens ma mère en lui disant que j’allais chez le boutiquier d’à côté devant la cathédrale de l’église Saint Louis. La vieille n’y trouvait pas d’inconvénients. Je comptais revenir à la maison à 12h. Si jamais la vieille me pose des questions à mon retour pour savoir où j’étais depuis là, et pourquoi j’ai mis du temps dehors, je lui dirais que j’ai croisé une copine avec qui j’ai marchée et bavardée au bord de mer qui n’est pas loin de chez moi de mon quartier, le centre-ville. 


J’enfilais mes babouches aux pieds en terminant de m’habiller. Je sors de la chambre et traverse le salon sous la pointe des pieds. Je profitais que la vieille soit occupée dans la cuisine pour partir sans qu’elle ne me voit mon habillement. Sinon elle pourrait m’empêcher de sortir de chez moi en voyant mon look. J’ai mis une robe droite démembrée bleu qui m’arrive en bas sous les genoux. La robe est simple mais pas assez décente pour dehors. Vu comment elle est fendue sur les côtés, le long de mes jambes, jusqu’en haut en faisant largement apparaitre le coté de mes cuisses découvertes et une petite partie du coté de mes fesses nues. En plus je ne portais de sous vêtement en dessous. Les pointes de mes seins se voyaient à travers le tissu de la robe. 


Je jubile en sortant de chez moi. Quand je monte les marches de l’escaliers jusqu’à l’appart de Patrick, la fente sur le côté de ma robe s’ouvre à chacun de mes pas, dévoilant un peu plus le côté dénudé de mes jambes nues sous la robe. Quand j’arrive devant la porte d’entrée de chez Patrick, je ne prends pas la peine de toquer. J’appuie sur la manche de la serrure pour ouvrir la porte lentement. Les bruits de musiques et des paroles qui proviennent de la télé me rassurent sur la présence de Patrick. Je le vois de profil et de dos, quand j’entre immédiatement dans son salon. Torse nu et assis sur son canapé, Patrick se tourne vers moi et me regarde. 


Moi (en entrant) : Coucou

Patrick (en me regardant) : Salut


On se sourit en se regardant. En m’approchant de lui, je remarque qu’il porte juste un slip noir. Ce dernier est bien gonflé devant par le gros paquet de son service 3 pièces. 


Moi : C’est façon de s’habiller là ?


Patrick se regarde et sourit en levant les yeux vers moi.


Patrick (en souriant) : Je me mets à l’aise chez moi. 

Moi (en souriant) : Hum

Patrick (en souriant) : J’espère que je ne dérange pas. 


Il secoue négativement la tête, en souriant. Je m’installe à côté de lui. Il a des cernes, et une trace qu’a laissé par son drap sur un coin de son visage. Je me penche vers lui et dépose un baiser sur les lèvres de sa bouche. Celles-ci sont sèches comme d’habitude, mais j’aime les sentir comme ça sur les lèvres. Patrick éloigne sa bouche de la mienne que j’hasarde à l’embrasser. Il reporte son attention sur la télé. Je dévore son buste dénudé du regard. Je regarde lentement vers le bas de ce corps appétissant et quasiment nu. J’aime ce que je vois car Patrick à un corps attrayant, agréable à regarder. C’est évident, sinon je ne serais pas là.


En regardant son bassin, j’aperçois le côté de ses gros testicules qui sortent un peu du côté du slip au milieu de ses cuisses ouvertes nonchalamment. Hum ! Je pince doucement mes lèvres en voyant ce que je vois. C’est trop tentant et excitant. Je me mords ma lèvre inférieure et détourne mon regard du bassin de Patrick. Mais je le regarde de nouveau pour voir comment son gros paquet de couilles tient dans le slip. J’envoie une main pour toucher et caresser la peau de sa cuisse qui est près de moi. Patrick attrape et arrête ma main qui se balade sur sa cuisse. Je souris timidement. Il repousse ma main de sa cuisse. Je reviens aussitôt à la charge avec ma main baladeuse pour caresser la peau de cuisse.


Patrick : Jessica, je suis fatigué.

Moi (amusée) : LOL ! Ah bon ?

Patrick : Oui. C’est pourquoi je ne suis pas aller bosser ce matin.

Moi (en souriant) : Hum ! Qu’est ce qui t’a mis dans cet état ?

Patrick : Tu le sais.

Moi (amusée) : LOL ! Je ne sais pas.


Il me fixe sans rien dire. Je le regarde en face en faisant celle qui ne sait pas de quoi il parle


Patrick : En tout cas, je suis fatigué.


Et il repousse ma main de sa cuisse. Je le regarde en souriant lorsqu’il ferme les yeux en baillant.


Moi : Comment peux-tu être fatigué ?


Je lui pose la question narquoisement en caressant de nouveau sa cuisse. Il grimace et ouvre lentement les yeux. Il tourne la tête pour regarder ma main caressant sa cuisse. Je le vois froncé les sourcils quand il lève les yeux pour regarde mon visage souriant. Il a l’air nerveux. Ce qui le rend intimidant et excitant

 

Patrick : Qu’est-ce que tu ne comprends pas dans « je suis fatigué » ? 

Moi : Hihihi !

Patrick : Peux-tu, s’il te plait, ôter ta main et me laisser tranquille ?


Il prend bien le temps d’articuler les derniers mots en me fixant avec les sourcils froncés. Je sens qu’il est très sérieux. Son regard plongé dans le mien m’intimide. Je mords ma lèvre inférieure en le fixant avant d’ôter lentement ma main de sa cuisse, sans le quitter des yeux. On se jauge du regard. Je m’approche de lui et m’hasarde à l’embrasser. Il détourne sa tête pour éviter le contact de ma bouche sur la sienne. Ce qui me surprend et me vexe un peu. Je fixe Patrick et je sens qu’il n’est pas d’humeur à faire l’amour. Je n’aime pas ça du tout. Je n’aime pas le voir rejeter mes avances. C’est la première fois que le type me repousse depuis qu’on baise ensemble.


Moi (en souriant) : Tu as quel souci avec moi ?

Patrick : …


Il ne dit rien et détourne juste ses yeux de moi pour regarder la télé. Je me lève et grimpe partiellement sur son corps pour l’enjamber afin de m’assoir sur lui à la califourchon. Mais il m’attrape et me repousse pour me faire assoir où j’étais. Je me reproche de lui pour toucher sa poitrine. Je la caresse avec des gestes lents. J’aime bien le fin duvet qui se trouve au milieu de son torse un peu musclé.  


Moi : Bébé, tu sais que tu es mon nounours.


Je lui parle en caressant doucement son torse. Il me regarde en tirant la bouche. Il lève les yeux en secouant la tête négativement. Je vois qu’il boude et ça m’amuse. J’ai envie de rire mais je pince les lèvres de la bouche pour me retenir. Je le regarde avec des yeux de biche et lui parle pour l’attendrir.


Moi : Quand je te touche comme en ce moment, je suis heureuse. 

Patrick : …

Moi : J’ai juste envie de plus te toucher en ce moment.

Patrick : …

Moi : J’ai envie de toi comme...

Patrick : C’est ça que je n’aime pas avec toi. 

Moi : Hein ?!


Je le regarde avec étonnement, sans comprendre.


Patrick : Tu as toujours envie. Et tous les jours.

Moi : Oh

Patrick : J’ai beau te baiser franchement, tu en redemandes. Et ça m’épuises à la longue !


A le voir et l’entendre parler comme ça sur un ton de reproche, je sens qu’il est sérieux. 


Moi : Mais…

Patrick : Non ! Ecoute-moi ! Laisse-moi souffler. Faisons une pause ! 

Moi : Un break !? T’es sérieux là ?

Patrick : Très !

Moi : Hum ! Ça ne me plait pas !


Patrick me regarde et hausse les épaules. 


Moi : Et on baisera quand à nouveau ?

Patrick : Le weekend.

Moi : Aka ! C’est loin !


Nous sommes un mardi et le weekend me semble trop loin. Et pour cause : J’ai envie de lui. Tout de suite ! Maintenant ! Impossible de faire autrement en le voyant habillé juste d’un slip qui cache mal son gros parquet de couilles. Le type est juste à croquer. En plus sa grosse queue semble grossir à vue d’œil. Je vois qu’il bande et son gros bangala en érection gonfle bien du slip qu’il porte.


A SUIVRE !

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Cette histoire est une fiction. Toute ressemble avec des lieux, des personnes et des situations mentionnées dans le récit est purement fortuite.

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