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Lego The Hobbit White Bricks

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There are literally thousands of films out there that were made using LEGOs, often termed “brickfilms,” and that number is only sure to grow following the release of The LEGO Movie. A simple Google search or a few clicks around YouTube can yield hours of results, created by amateurs as well as exclusively brick-filmmaking studios. Here are a few of our favorites: 1. Fell In Love With A Girl Who can forget Michel Gondry’s groundbreaking White Stripes’ music video for “Fell in Love With a Girl?” Even more than 10 years later, this short film is still a stunning piece of brick art, and unique in that it uses the actual bricks themselves as the characters bodies, rather than using the more common method of filming the LEGO figures themselves. 2. Monty Python and the Holy Grail in LEGO Many of the most timeless cult classic films have been covered in LEGO, but few done so well as this scene from Monty Python by Spite Your Face Productions. This short was included on the Monty Python and the Holy Grail Deluxe Edition DVD.




3. Henri & Edmond – Le Nouveau Voisin (Henri & Edmond – The New Neighbor) The Henri & Edmond short films, by French director Maxime Marion, are arguably the most cinematic LEGO movies out there, while still maintaining a distinctly French feel. The shots, fades, lighting and effects are clean and professional, while the score and quirky dialogue keep the plot moving. In a perfect world, there would be an entire series of Henri & Edmond shorts or even a feature film from these filmmakers. The Dandelion is a funny little short from Daniel Utecht and Plastic Planet Productions. It is a great example of how simple stories done well can outshine projects with more manpower, or in this case, LEGO power, behind them. 5. En rejse til manen (Journey to the Moon) The first known “brickfilm” ever made, En rejse til manen (Journey to the Moon) was created in 1973 by Danish filmmakers Lars C. Hassing and Henrik Hassing. The silent short was filmed on Super 8 film and was only released to the public in 2013 on YouTube.




This short is innovative for its day and fun to watch, particularly when considering the primitive LEGOs with which the creators had to work. Lego Shopping was one of the most innovative brickfilms of those listed in terms of utilizing the actual bricks for the effects. The story was laugh-out-loud funny as well, which kept this short a head above many, many others out there. Here is a music video for The Who’s classic “My Generation” that uses the actual LEGO figures, and not much else. However, the editing and continuity are good and the stop-motion very smooth, which really holds the film together. More than that, the mini plastic band vents their frustrations at the end, making for an especially good chuckle. Who knew these little smiling gents could be so badass? 8. Lego Who Would Win in a Fight? While the sound and dialogue in this LEGO short are not the best, the actual stop-motion and the premise of the film are spot on. Add to that this is merely one of over a dozen Hobbit/Lord of the Rings shorts (second favorite being “The Hobbit Shake” a Harlem Shake Video) created by talented 13 year-old Gabriel Clifft.




9. Lego Operating Room: Special Delivery Sometimes corny is the best kind of humor and using Legos as the medium of choice just seems to fit the bill. 10. LEGO Ninjago Green Ninja Ice Cream Filmmaker “Monsieur Caron” seems to be one of the more prolific brickfilm-makers in a growing industry. The action sequence in this simple short film is exemplary of the medium’s versatility and fun. Michał Kaźmierczak is the Lego super-builder responsible for the massive gates of Erebor build from The Hobbit. Well, he’s now added an insanely-large Lego interior to the build. And it’s incredibly cool. In total 120,000 bricks were used to build the 7-foot tall, 5.5-foot deep, 6-foot wide behemoth. And itweighs as much as two dwarves (286 pounds)! Kaźmierczak now wants to find a professional camera man who will use his creation to make a movie. Here’s the Elven visit at the Throne Hall at Erebor: Here’s the Erebor treasury: The barricaded entrance: “Rock full of veins of gold:” And now the front of the massive build: [via the Brothers-Brick] This article originally appeared on Leg Godt, a Gizmodo blog on the wonder of bricks, bricks and more bricks




Le moment est venu de reparler rapidement d'un set qui a fait sensation lors de son annonce : La référence 71040 The Disney Castle. D'un côté une création originale de 4080 pièces et ses 5 minifigs qui sentent bon la nostalgie et l'escapade à Disneyland, de l'autre, un prix public fixé à 349.99 € qui en décourage plus d'un. Les avis sur cette boite sont forcément très partagés. Lors de son annonce, tout le monde ou presque criait au génie et hurlait son envie de vouloir acheter ce set : "Day one pour moi !... Mon porte-monnaie va encore subir d'atroces souffrances !... Take my money !...". Depuis, beaucoup de ces enthousiastes de la première heure semblent s'être ravisés car un de mes contacts chez LEGO m'indique que si ce produit d'exception a rencontré un joli succès d'estime, le volume de ventes n'est pas exceptionnel malgré les multiples récompenses obtenues par cette boite. Mais ce n'est a priori pas si grave : "...le coup de pub a été réussi et le bénéfice en terme d'image pour la marque est énorme...".




Ce n'est pas moi qui le dit. Comme d'habitude, je ne vais pas vous refaire ici ce que LEGO fait mieux que moi : Si vous voulez découvrir le set sous toutes les coutures, il y a une galerie de visuels officiels sur la fiche du produit et une vidéo de promotion/présentation  de ce château par son créateur, Marcos Bessa : La plupart des "reviews" que j'ai pu lire jusqu'ici sont globalement toutes à la gloire de cette boite et de son designer. Peu nombreux sont ceux qui ont vraiment insisté sur les quelques gros défauts de ce set, préférant les occulter pour rallier l'engouement général et se contenter du fait que LEGO sorte enfin un château Disney de plus de 4000 pièces. Vous me direz que c'est toujours plus facile d'arriver après la bataille. Mais ça permet aussi de regarder les choses avec un peu plus de recul. Ceci étant dit, je pense moi aussi que ce set est une réussite sur le plan visuel, aucun doute là-dessus. C'est un château Disney intelligemment passé à la moulinette LEGO et que tout le monde ou presque identifiera au premier coup d'œil.




C'est aussi et surtout un superbe produit d'exposition (si vous avez la place) et dire le contraire serait mentir. Quelques remarques cependant concernant les choix esthétiques qui ont été faits par LEGO pour tenter de reproduire le château de Cendrillon situé dans le parc Walt Disney World en Floride : Il y a à mon goût trop de méta-pièces pour la muraille extérieure et le rendu de cette dernière est quand même très approximatif si on compare la version LEGO avec le château dont elle s'inspire. Je ne retrouve pas non plus sur le château du parc ce "gonflement" des murs des tourelles présent sur la version LEGO via les méta-pièces utilisées. Que viennent faire ces Wedge 16 x 4 Triple Curved ici ? Les tours de l'enceinte du château sont droites et elles ne s'élargissent qu'au niveau des douves, non représentées dans ce set. Même approximation concernant la texture des murs extérieurs : Ce ne sont pas les quelques stickers fournis qui suffisent à créer l'illusion, alors que les murs du château du parc sont constitué de nombreuses briques aux teintes différentes.




Quand on est un fabricant de briques en plastique, remplacer un mur qui donne l'illusion de "vraies" briques par quelques grosses pièces lisses sur lesquelles il faut coller des stickers au design grossier, c'est pour le moins décevant, surtout dans une boite vendue 350 €. Et même en se faisant une raison quant à la présence de stickers sur cette partie du set, quelques autocollants permettant de représenter les meurtrières présentes sur chacune des tours auraient été les bienvenus. Toutes les autres pièces à motifs non représentés sur la planche de stickers ci-dessus sont évidemment tampographiées. Il manque aussi quelques tours du modèle réel sur cette version LEGO (à droite et au second plan à l'arrière). En considérant que le château est "coupé en deux", la disparition de ces tours est logique, mais l'absence de celle normalement présente à droite entre la chambre de Raiponce et la petite tourelle déséquilibre un peu l'ensemble. On pourra également discuter du choix de la couleur pour les murs de la partie supérieure du château.




Le Tan était il le meilleur choix ? En ce qui me concerne, un rose pâle comme le Light Salmon de la gamme Scala aurait été de bon aloi. Mais c'était peut-être trop girly pour LEGO... C'est d'ailleurs tout le paradoxe de ce set : D'un côté, on a des étapes de construction vraiment créatives, ce qui au passage rajoute au plaisir et génère un peu de difficulté, et de l'autre on a des raccourcis hasardeux et grossiers qui défigurent un peu l'ensemble. Aussi génial soit-il, Marcos Bessa a du croiser dans les couloirs du siège de Billund un comptable qui lui a probablement demandé de calmer ses ardeurs artistiques... Du côté de l'assemblage, le plaisir est là. Marcos Bessa s'est manifestement amusé à "compliquer" volontairement le design de certains éléments. On y découvre des techniques intéressantes que la majorité des acquéreurs de cette boite ne reproduira sans doute jamais, mais c'est suffisamment original pour être divertissant. La mosaïque du rez de chaussée et l'intérieur de la partie supérieure des tours du mur d'enceinte sont de jolis casse-têtes intéressants à assembler.




Quelques étapes un peu répétitives au niveau des différentes tours, c'est logique, mais l'émerveillement de voir ce château LEGO s'élever progressivement pour atteindre sa hauteur finale prend le dessus. La partie supérieure du château est très réussie. On y retrouve tout la finesse et l'élégance des tours supérieures du château du parc d'Orlando. Si vous avez des enfants et qu'ils ont le droit de toucher à VOS LEGO, c'est l'occasion de partager avec eux un bon moment et de leur faire découvrir au passage quelques techniques de construction qui nécessitent concentration et attention. En retournant la construction pour accéder à ce qui se passe derrière, on comprend vite que c'est conçu sur le principe d'une maison de poupée, avec des espaces bien distincts, des meubles et des accessoires pour habiller chaque pièce. Seul détail qui gâche un peu le rendu visuel de l'intérieur du château : Les quelques pins Technic bleus visibles ça et là.




Si le hall d'entrée et le rez-de-chaussée sont spacieux, les différentes pièces sont logiquement de plus en plus exiguës lorsqu'on monte dans les étages. Pour une fois, le principe de la demi-construction que je trouve souvent mesquin chez LEGO se justifie presque dans ce cas précis : On exposera ce château au choix d'un côté ou de l'autre en fonction de ses goûts et de son humeur du moment. Le fan service est en effet efficacement assuré par de multiples références plus ou moins évidentes aux différents univers Disney connus de presque tous : Aladdin avec son tapis et la lampe du génie, Rebelle et son stand de tir à l'arc, La Belle et la Bête avec la rose enchantée sous cloche et le chandelier Lumière, La Belle au Bois Dormant avec le rouet, Fantasia avec un balai et le chapeau de l'apprenti sorcier, La Princesse et la Grenouille avec deux grenouilles et une couronne au pied des murs extérieurs, etc... C'est parfois minimaliste, mais la plupart des références font le job (Les fans de Raiponce seront un peu déçus par la couleur de la mèche de cheveux...).




Si vous n'avez pas trouvé toutes les références, ne vous inquiétez pas, le livret d'instructions les détaille sur deux pages. Si l'envie vous prend de laisser vos enfants s'amuser avec votre château fraîchement assemblé, attendez-vous à devoir passer quelque heures à reconstruire ce qui ne manquera pas de s'écrouler, s'effondrer, tomber ou se décrocher. Ce n'est pas vraiment un playset. La base du château est par contre relativement résistante aux manipulations et aux déplacements, grâce notamment à un socle bien conçu à base de pièces Technic, mais bouger cette construction de 75 cm de haut lorsque la partie supérieure est en place est beaucoup plus risqué : ça tangue, ça bouge, ça tombe parfois. Du coté des minifigs, faites vous une raison : Ce set n'est pas une boite avec une grosse poignée de minifigs enrobées de quelques pièces pour faire passer la pilule. Et ça fait du bien de temps en temps. J'aurais presque préféré avoir de vrais murs extérieurs à base de briques et pas de représentation des employés du parc en costume du tout...




Malgré les défauts de l'ensemble, ce n'est pourtant franchement pas la peine d'argumenter sur le prix demandé par LEGO. 349.99 €, 299.99 €, 259.99 € : Il y aura toujours quelqu'un qui, à l'aune de ses finances personnelles et de ce qu'il est prêt à dépenser pour une boite de LEGO, estimera que le prix public de cette boite aurait peu être plus contenu. Le reste n'est qu'une pirouette pour se trouver de bonnes raisons de ne pas dépenser les 349.99 € demandés : Pas assez de minifigs, manque de fidélité au modèle de référence sur certains points, fragilité manifeste (et logique) de certaines parties du bâtiment, etc... Toutes les excuses sont bonnes à prendre mais ce set est de toute façon la seule représentation (et sans doute pour longtemps) d'un château Disney dans une version suffisamment étoffée pour être crédible. Vous l'aurez compris, le but de tout ceci est aussi de vous offrir l'exemplaire de ce set que LEGO m'a envoyé. Pour participer et avoir une chance de recevoir cette boite, il vous faut intervenir dans les commentaires.

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