It’s official, Outlast is available for Mac and Linux. The game was released on March 31, 2015 and joins Shadow Warrior as the Mac’s biggest releases this week. The news come directly from developer Red Barrels, who made the announcement via Twitter last Friday. Outlast is a first-person survival horror game that was first released for Windows on September 2013. And ever since, many see it as one of the scariest games ever! The game puts you in the role of a freelance journalist who decides to investigate a psychiatric hospital lost in the mountains of Salt Lake County, Colorado. That was obviously a bad idea, as hell breaks loose and you find yourself alone in a nut house full of homicidal patients. To make matters worse, you are completely incapable of combat. With no weapons at your disposal, you will have to be quick on your feet and smart to stay alive. Want to see Outlast in action? Check our OS X gameplay video below: Red Barrel is also bringing the game’s first (and only) DLC, Whistleblower.
Outlast: Whistleblower serves as a prequel and shows you events from before and after the main plot. Overall, most reviewers really enjoyed the PC version of the game, with IGN concluding in their review that: Outlast can stand proudly as a unique and terrifying survival horror game. Unlike many modern horror games, it remembers that the most frightening monsters are those that you can’t kill, but have to flee from, and it creates an outstandingly creepy atmosphere that rendered me defenseless against its many well-paced jump scares. Needless to say, Oulast is a must if you enjoy horror games. I can’t say I’m a big fan of the genre, but you can expect a gameplay video very soon. In any case, the tension in this game seems so high, Outlast should conquer my yearly Mac’s scariest games round-up with little effort!Oh, and we actually got to play it on a retina MacBook Pro and recorded it for you.Predictably, after the Lego version of the Lord of the Rings movies a couple of years ago, comes Traveller’s Tales Lego take on The Hobbit.
Available on all major consoles new and old, The Hobbit stays true to the Lego formula and offers plenty of fan service for those who loved the films. Lego The Hobbit spans the events of the first two Hobbit films An Unexpected Journey and The Desolation of Smaug that have already been released in theatres. It has been revealed that a DLC pack for the game will be released alongside the release of the third and final Hobbit film There and Back Again. Admittedly, I’m more of a Harry Potter guy than a LOTR fan. I’m sure some of the quirky humour Lego games are known is lost on me because I’m not all that familiar with the source material. However, this does not make the game any less enjoyable. Not being a fan of the films makes it perhaps a bit more difficult to follow but I certainly enjoyed playing this game. The standard Lego formula applies. You’ll collect studs, solve relatively simple puzzles and engage in somewhat forgiving combat. This time it just happens to be in the universe of the two Hobbit films.
Playing alone or with a friend you guide Bilbo and his many dwarf colleagues though the events of the films. Simplicity can most certainly be expected since this is obviously a game targeted towards the younger demographic. If you’re already not invested in the story this simplicity may make things tedious (such as the exercise of collecting studs which I got bored of quickly). The similarity of the various dwarf characters can prove to be a challenge. The sheer number of dwarves in Thoromir’s party and their similarities in Lego form makes finding the right character with the right ability for any particular task more difficult than it probably should be. I do not discount my unfamiliarity with the movies being a contributing factor here but in the other Lego games I’ve played, character designs are varied enough for this not to be an issue. There’s really only so much detail you can put on a Lego character yet there’s no mistaking R2D2 with an Ewok, is there? Presentation-wise The Hobbit stands tall.
The source material may not lend itself as well to the Lego formula as the bright colours and unique characters of the Marvel universe for example but The Hobbit still looks sharp. Environments, especially outdoors, look great and there’s plenty of inspiring visual moments. There are some occasional moments where items suddenly pop into view no matter if they are far away or right nearby that I found weird. Taken straight from the films The Hobbit’s soundtrack is epic and fantastic to go along with the ample voice acting from the actors themselves. The voice acting is used smartly during key segments that help to further the narrative. This allows Lego’s trademark dialect to stay intact elsewhere. It isn’t as serviceable to the Lego formula as the games before it, nor is it perfect, but The Hobbit is still worth a play through both for fans of the films or simply the Lego games in general.Aller à : , Lego City Undercover est un jeu vidéo d'action-aventure en monde ouvert, développé par Traveller's Tales et édité par Nintendo.
Le jeu est sorti le 19 mars 2013 en Amérique du Nord et le 28 mars 2013 en Europe. Le jeu est basé sur la gamme de Lego City[4]. En novembre 2016, un portage sur Windows, Xbox One, PlayStation 4 et Nintendo Switch est annoncé[5]. Rex Fury, le dangereux criminel, s'est évadé de la prison d'Albatross et sévit à nouveau à Lego City. Chase McCain, l'officier de police qui l'avait arrêté jadis, reprend du service afin de l'empêcher de nuire et de s'en prendre à la femme qu'il aime. McCain devra dès lors s'infiltrer dans diverses associations criminelles et enfiler divers déguisements aux capacités variées – comme celui d'un voleur, d'un mineur ou encore d'un astronaute – afin de remonter la piste menant à Fury. Mais, peut-être que Rex Fury n'est qu'un pion, agissant pour quelqu'un de plus puissant caché dans l'ombre… Lego City Undercover est un jeu d'action-aventure en trois dimensions, en monde ouvert, dans lequel le joueur dirige un personnage en vue objective.
Le but du jeu – la quête principale – est de résoudre une affaire criminelle, en remplissant une série d'objectifs et en bouclant une série de missions spéciales. De nombreuses quêtes annexes aussi diverses que variées viennent se greffer à la quête principale, comme des courses avec points de passage, des bandes de voyous à défaire, des feux de barbecue à éteindre, des chats à secourir… Ces quêtes annexes sont généralement récompensées par l'obtention de briques dorées ou de jetons déguisements, la collection de ces jetons et de ces briques constituant en outre une quête annexe en eux-mêmes. Le système de jeu s'inspire beaucoup de la série des Grand Theft Auto, la violence verbale et physique en moins. Mais contrairement à ces derniers où le protagoniste principal est un criminel agissant par vengeance ou par appât du gain, le joueur incarne ici un policier chargé de faire régner l'ordre et d'arrêter les criminels et malfrats en tous genres[6],[7].
Le Wii U GamePad possède de multiples utilisations dans Lego City Undercover. L'utilisation par défaut est l'affichage de la carte de Lego City, avec la possibilité d'effectuer certaines actions grâce à l'écran tactile, comme se rendre à divers endroits en utilisant les gares dispersées dans la ville, zoomer/dézoomer sur une zone particulière, avoir un compte-rendu de l'ensemble des collectibles déjà acquis ou à acquérir pour une zone donnée ou pour l'ensemble de la ville. Un autre usage important du gamepad est son mode « scanner ». Celui-ci peut être utilisé selon les cas comme scanner audio afin d'écouter des conversations (principalement pour les missions annexes) à des endroits donnés mais également pour trouver certains malfaiteurs. De plus, il lui est également possible, si ces options sont activées dans le Menu « Extras », de détecter les divers collectibles présents aux alentours (jetons, briques Lego, etc.). En outre, il est possible de recevoir des appels téléphoniques vidéos de certains personnages du jeu (comme Ellie Phillips) et de prendre des captures d'écran.
Enfin, le gamepad sert de dispositif de sélection de déguisements ou de véhicules, ainsi que pour l'achat de ceux-ci au commissariat. Au cours de son enquête, Chase McCain aura l'opportunité d'enfiler divers déguisements ; chacun, de par ses propriétés intrinsèques, lui permet d'effectuer des actions spécifiques et de résoudre certaines énigmes. Ces déguisements sont les suivants : À noter que chaque incarnation de Chase McCain peut être remplacée par un autre déguisement du même type, déguisements obtenus an collectant les jetons déguisements. Par exemple, Chase McCain voleur pourra être remplacé par Rex Fury, une fois le jeton de ce dernier débloqué. À noter également que les poignées orange ne peuvent être tirées que par Rex Fury, déblocable à la fin du jeu. La ville de Lego City est découpée en une série de quartiers, aux spécificités aussi diverses que variées. On retrouve par exemple le centre-ville avec ses buildings, un parc national en milieu forestier, une ferme, un aéroport…
Ces différents quartiers sont les suivants : Une série de collectibles sont dispersés de part et d'autre de Lego City, certains en nombres limités (briques rouges et dorées, jetons), d'autres en nombres illimités (pièces et briques Lego). Les collectibles disponibles dans le jeu sont les suivants : Une série de clins d'œils faisant référence à l'univers de Nintendo sont distillés ci et là dans le jeu : Outre les références à l'univers de Nintendo, Lego City Undecover multiplie les références à d'autres univers et plus généralement à l'univers du cinéma et de la littérature. Official Nintendo Magazine (GB) Les critiques ont globalement bien reçu le jeu, comme en atteste le score actuel (en date du 10 avril 2013) de 80/100 sur Metacritic. Son humour et ses qualités de design ont été appréciés mais la plupart des critiques regrettent la durée trop longue des temps de chargement du jeu et la fréquence de ceux-ci lorsque le joueur accède à des cinématiques ou à des missions spéciales[10],[11].