Friend

DE BEST FRIEND A SEXFRIEND...

D’après une histoire vraie

Chap. 2

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En fin de journée nous avons quitté l'île sarpant pour rentrer à Dakar. Je suis allé directement chez moi. Arrivée chez moi, j'ai pris une bonne douche chaude et me suis lavée les cheveux. À ma sortie de la douche, je jette un œil sur mon phone. Je vois un SMS d'Aly qui me demande si je veux manger avec lui ce soir. Je lui dis que j'aimerais bien mais je suis un peu crevée. Il me répond qu'il veut juste que je lui tienne compagnie car il s'est encore chamaillé avec Fanta. Et qu'il a vraiment besoin de se divertir. Je lui dis Ok. Mais à condition qu'il vienne me chercher. Il ne se fit pas prier et se gare 1h plus tard devant chez moi.

J'étais habillée d'une courte robe stretch qui me moulait parfaitement bien et m'arrivait juste sous les fesses et au-dessus des cuisses. Je ne portais ni slip, ni soutien-gorge. C’est une habitude chez moi (sans arrière-pensées). A mes pieds, je porte des sandales Kényanes. Et en bandoulière une petite sacoche. Cheveux brossés et lâchés, je sors de chez moi toute parfumée. Je monte dans la voiture d’Aly et lui fait la bise. Son parfum d’homme qui sent fort et très bon effleure les narines. Ce qui m'émoustille un peu. Il me salue à nouveau puis dit en souriant que je sens bon comme d'habitude. Je lui retourne le compliment en lui souriant. 

Puis, je lui demande où on va. Il me dit qu'on va manger dans son studio car il avait déjà pris en chemin de l'attiéké au poulet braisé et de l'aloco, plus de la glace. J’ai la confirmation de la bouffe quand il me montre des sachets de la nourriture posés sur le siège de banquette arrière. Ce qui me satisfait et me ravit pleinement. J’accepte vite son idée car j’ai hâte qu’on arrive pour manger (j’aime manger et suis gourmande). Sur ce, il démarre. Il me dit d’attacher ma ceinture de sécurité. Ce que je fais avant de constater que la ceinture pensant sur ma poitrine fait ressortir mes seins moulé par le tissu de ma robe près du corps. Nous roulons sur la route et parle un peu...

Arrivés chez lui, nous dressons la table ensemble et commençons à manger. On parle de tout et de rien, en se souriant vice-versa et en riant de bon cœur comme des bons amis qui rigolent. Nous avons rapidement fini de manger. Apres avoir débarrassé la table ensemble et la vaisselle fait ensemble, nous allons nous assoir sur le canapé. On s’installe l'un à côté de l'autre. En m’asseyant, j’ai senti le fond du fauteuil en cuir s’enfoncer sous le poids de mon corps. En même temps, le bas de ma courte robe stretch est remonté sur le devant au-dessus de mes cuisses et par derrière au ras de mes fesses. 

J’ai simplement croisé les jambes sans penser de tirer ma robe sur mes cuisses qui apparaissent presque entièrement nues. Avant de s'assoir, Aly avait éteint les lumières. Seule la télé nous éclaire et illumine le salon de manière tamisée. Aly nous met la chaine Trace TV pour qu'on ait un peu de bonne musique. Il met le son en sourdine avant de se tourner vers moi. Aly s'adossa contre le coussin sur le bras du canapé. Puis il m'attira vers lui. J'étais un peu surprise mais je laissais tirer vers lui. Je me retrouvais couché de dos contre son torse. Mon cœur battait la chamade. 

Je m’adossais contre son torse et relevait les jambes que je décroise en les pliant et en collant mes cuisses largement dénudées. Mon cœur battait plus fort, très fort quand Aly m’élance amoureusement... Petit à petit, ma respiration se calmait. Nos doigts étaient élancés et ce contact me détendait de mieux en mieux. Nous restons comme ça, tranquillement. Je me sentais bien collé à lui.

Aly : Tu sais que j'ai envie de toi.

Je souris et ne suis pas très surprise par cet aveu. Je m’y attendais un peu mais pas si tôt.

Moi : Ah bon ! Hum, c’est depuis quand ? 

Aly : Depuis ce matin dans la mer quand ton pieds à toucher ma bite ?

Je souris en coin, en me souvenant de la scène.

Moi : Oh ! Désolé ! Je n’ai pas fait exprès.

Aly : Si tu le dis.

Moi : De toute façon tu as facilement envie de tout le monde toi.

Aly : Lol ! 

Moi : J’ai tort ? 

Aly : Tu n'as pas tort. 

Je souris ravi de sa réponse.

Aly : Mais je sais que tu as aussi envie de moi depuis un bon moment.

Moi : Hummm !

Aly : Tu sais que nos corps feraient des étincelles ensemble.

Ce qui nous fait un peu rire. Je ris tout bas, en me sentant flattée par ce qu’il vient de dire.

Moi : j'avoue que nous sommes des bombes sexuelles. 

Aly profite de ce moment de détente pour glisser sa main sur ma poitrine. Je regarde sa main baladeuse se poser sur un de mes seins. Il palpe le mamelon en le tenant par le contour et commence à me pétrir le sein sans hésitation. Ce geste suffit à faire bander le téton. Celui-ci durcit et dressé avant que je ne l’aperçois pointer à travers le tissu moulant qui enveloppe ma poitrine. Je regarde sa main qui soupèse et pétrit mon mamelon. Appréciant cet attouchement, je ferme les yeux pour me détendre et profiter de ce moment de douceur et de tripatouillage tranquille de mon sein. 

Dans le bas du dos collé contre le bassin d’Aly, je commence à sentir quelque chose de dur et gros. Je devine une bosse qui s’est formée dans le short d’Aly. Je peux sentir la chaleur qui se dégager de cette bosse. Et ce, à travers ma robe et le short d’Aly. Je sens ma chatte devenir moite et humide quand je constate qu’il bande contre moi et que j’imagine son gros bangala tendu en érection. Pendant ce temps, Aly pétrit mes seins, promenant ses doigts d'un téton à l'autre tout en pinçant ces derniers qui durcissent sous ses pincements qui m’électrisent et réveillent mes seins.

Avec ma main gauche je relève un peu robe sur mes cuisses que je caressais légèrement avant de toucher du bout de mes doigts mon pubis et ma chatte que je sens nus et bien rasés (je suis épilée du bas ventre jusqu’à l’entrejambe car je n’ai pas gardé les poils). Aly baisse un peu la tête et m'embrasse sensuellement le cou. Il me fait des suçons de plus en plus intenses dans le cou. Je frissonne légèrement et prend délicatement sa main sur ma poitrine que je dirige d’un geste lent vers mon entrejambe en ouvrant un peu mes cuisses. J’agissais instinctivement sous l’effet d’une indéniable excitation.

Sa main que j’ai dirigée répond positivement à mon invitation puisque ses doigts se faufilent aussitôt sous ma robe et remontent en caressant l’intérieur de mes cuisses que je ferme lentement sous l’effet du plaisir et surtout lorsque les doigts atteignent enfin ma chatte. Touchant mon minou et découvrant que je n'ai pas porté de petite culotte, il arrête soudain ses doigts sans les décoller de mon sexe nu.

Aly : Hummm !

Je manque de rire. Je souris en coin.

Moi : Il y a souci ? 

Aly : Non non !

Moi : Alors ??

Aly : Alors comme ça tu n'as rien dessous quoi ? 

Moi : J'aime aérer mon sexe et laisser mes seins libres le soir.

Aly : Tu es une cochonne, le sais-tu ? 

Moi : Lol !

Je ris tout bas. Je souris, amusée et flattée. En guise de réponse à sa question et de confirmation à ce qu’il pense de moi à l’instant, j'écarte mes jambes en ouvrant largement mes cuisses pour lui donner un plus grand accès à mon entrejambe où je sens ma fraise de plus en plus gluante. Ma robe s'enroule et remonte davantage sur mes cuisses avant d’atteindre à présent mon pubis rasé et découvert tout luisant d'huile d'amande douce qui lui donne une bonne odeur et la sensation d’être bien lisse au touché.

A suivre !

Auteur : Une lectrice

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