Friend

DE BEST FRIEND A SEXFRIEND...

D’après une histoire vraie

Chap. 9

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Moi : Allons vite dans ta voiture !

Aly me regarde et me sourit. Vu son sourire, je crois qu’il a bien compris où je veux en venir. Nous marchons d'un pas rapide pour éviter de nous faire voir par quelqu'un de notre groupe d’ami. Nous sommes enfin arrivés à sa voiture qu'il avait garée un peu loin, faute de place de parking devant la boite de nuit où nous étions avec nos amis. Aly déverrouille la voiture et nous montons précipitamment à l’arrière. Je prends place la première sur la banquette arrière où je m'allonge en m’adossant sur la portière de mon côté.

Je m’allonge en écartant les jambes que je tends tout en élevant mon tanga. J’accroche l'une de mes jambes sur le dossier du siège arrière et l'autre jambe sur le dossier du siège conducteur. Aly est monté après moi et ferme la portière derrière lui. Il plonge aussitôt la tête vers ma chatte que je lui présente. Il se met à la dévorer comme un affamé. Je souffle fort et me tortille dans tous les sens en appuyant ma main sur sa nuque pour mieux le sentir lécher et enfoncer sa langue dans ma fente...

Avec une main il m'écarte davantage les jambes qui forment alors un grand "V". Aly suce mon clito, il l'aspire fort. Ce qui me fait tellement frémir et gémir. Je tremble de plaisir. Soudain il enfonce en moi brusquement deux doigts, son majeur et l’annulaire (que je déduis par la longue des doigts). Ce qui me fait sursauter de plaisir. Je me cogne légèrement la nuque contre la vitre de la portière dans mon dos, en sursautant, lol. S’en suit d’un doigtage à fond. Ce qui est sûr, ça va baiser ce soir.

Aly me doigte fort et vite. Je me tortille en gémissant à cet effet. Ma respiration monte d’un cran. Nos respirations sont audibles (surtout la mienne) tellement nous avons faim l'un de l'autre. Je gémis fort, j'inspire et expire bruyamment en restant sagement allongée de dos sur la banquette arrière et avec ma tête contre une des portières arrière de la voiture d’Aly. Il fait de plus en plus chaud à l’intérieur de cette voiture. Bien placé entre mes jambes tendues et écartées, Aly me lime le vagin avec ses doigts et me broute le clito comme si sa vie en dépendait.

Je tressaillis sous l’effet du plaisir qu’il me procure. Le gout de ça est tel que je me retrouve bien rapidement à bouger du bassin et à aller à la rencontre de ces doigts qui me font agréablement du bien. Ils s’activent de plus en plus en moi, caressant plaisamment les parois de mon vagin. La langue d’Aly ne cesse d’agacer mon clito enflé, titillant les nerfs de ce petit bouton si sensible. Je vais de frisson en frisson, de gémissement en gémissement, incapable de me retenir. La sensation est trop intense.

Je gémis en me tortillant. Aly aspire et suce goulûment mon bouton en tournant ses doigts dans ma chatte. Mon corps est secoué par ce trop-plein de plaisir qui m’assaillit sous l’effet du travail de la langue et de la bouche. Ma jouissance brusquement vient de loin. Je la ressens d’abord dans mon bas ventre qui vibre, mes orteils que je plie et serre fort, puis mes pieds que je tends, et ma tête qui tourne. Elle se propage partout et me fait crier bruyamment. Je vois des petites étincelles alors que j’ai fermé les yeux en jouissant en hurlant comme une folle.

Je garde les yeux clos en reprenant mes esprits et de retrouver mes sens. Je sens les doigts se retirer de ma fente et une main se poser sur mon pubis. J’ouvre grandement les yeux que j’avais refermés sous la pression du plaisir. Aly me regarde et me sourit. Ses doigts replongent dans ma fente. Elle est déjà tout suintante de tout le plaisir que j’ai eu. La mouille dedans rend fluide le mouvement des doigts qui s’activent. J’entends aussi bien que je sens ces doigts dans mon sexe bien soumis.

Je me fais doigter et limer d’un geste rapide. Le gout de ça monte et grandit en moi. Mes hanches bougent instinctivement et vont à l’encontre de ces doigts. Je frémis de plaisir, les secondes passant. Mon ventre se contracte et je jouis de nouveau. J'en peux plus des doigts d’Aly. Il faut qu'il me prenne avec sa grosse queue. J'ai besoin de le sentir me remplir et aller au plus profond de moi. Je le tire par le col de son t-shirt et l'attire vers moi. Il remonte sa tête jusqu’en face de la mienne en se plaçant sur moi. Je prends sa tête et plonge ma langue dans sa bouche.

Je l’embrasse et lui roule une pelle d'enfer. Il me rend mon baiser avec fougue. Au bout de quelques secondes j’envoie ma main droite entre nos corps et j’attends sa braguette. Je déboutonne maladroitement son pantalon. Il se redresse puis il m'aide à faire descendre son pantalon et son caleçon au niveau de ses genoux. Sa grosse queue apparait toute raide et tendue. Il s'allonge difficilement sur moi entre mes jambes écartées car la voiture est un peu étroite.

Placé face à mes cuisses écartées, il les surélève l’une après l’autre et les rabat autour de ma poitrine. Je me retrouve avec les pieds en l’air vers le plafond du la voiture. Aly se penche et m'embrasse de nouveau avant de sortir mon sein gauche de mon bustier. Il le pétrit puis se baisse pour le sucer, puis en fait de même avec l'autre sein qu’il fait sortir. Je ne veux plus attendre. Je prends sa tête dans mes mains, je l'embrasse sur la bouche et suce sa langue et mordille la lèvre inférieure. Puis je bouge le bassin en le frottant contre le sien et lui. En même temps, sa queue se frotte contre mon entrejambe

Avec ma main gauche, je cherche à atteindre son pipi. Aly le sent et se lève. J’en profite pour attraper sa queue et la branle un peu. Puis, je la dirige vers ma fente et je frotte le gland à l'entrée de mon trou gluant de mouille. Sans préavis, Aly pousse son bassin et enfonce sa queue d'un coup en moi jusqu’à la garde. Je me crispe, j'inspire fort et bloque ma respiration pour encaisser son gros matos qui me remplit et m’élargit. J'écarte davantage les cuisses pour bien recevoir. Je pose les paumes de mes mains sur ses reins et j’appuie dessus pour lui donner feu vert.

Ayant compris le signal, Aly se retire lentement puis s’enfonce brutalement dans mon vagin. Il commence à baiser et je le sens frotter partout en moi. Je gémis fort en criant de joie car sa bite m'avait tant manqué. Il me lime et défonce juste comme j'aime. Il me fait de petits smacks de temps en temps, ou mordille mon cou. Il me rend gaga. Je suis aux anges et je monte lentement mais surement vers le 7ème ciel. Aly cogne fort au fond de ma cave, fait des rotations qui stimulent mon point G. Aïe ! Il est trop fort !

Progressivement je sens une vague de chaleur envahir mon intimité, puis mon corps. Mon vagin se contracte et mes cuisses tremblent. Dans ma tête c'est l'explosion. Je serre mes cuisses tremblent très fortes autour de mon amant qui s’active toujours. Je tire sa tête et plonge ma langue dans sa bouche. Je l’embrasse en jouissant. La jouissance m'emporte et je vibre de partout, je crie le nom d'Aly qui pile encore plus vite dans mon mortier. Oh mais quel pilon !! Je gémis en subissant un pilonnage.

Il continue sa besogne, en me pilonnant en quelques minutes. Tandis que je n'arrive même plus à gémir tellement toute mon énergie s'est envolée dans le dernier souffle de mon orgasme précèdent. Je respire juste fort, en l'embrassant de temps à autre. Soudain il s'enfonce davantage en moi au point d'atteindre mon col de l’utérus et il bute dessus, ce qui me fait grimacer de plaisir douloureux.

Aly accélère la cadence et finit par jouir en moi quand la jouissance nous emporte. Je sens son lait chaud et abondant gicler et se rependre en moi. C'est une sensation indescriptible que j'adore. Il crache en moi jusqu'à la dernière goutte puis s'écroule sur moi tout essoufflé. Nous sommes en sueur. Sa tête est enfouie dans mon cou où je reçois l'air chaud de sa respiration bruyante. Sa bite est toujours en moi et je la sens se ramollir au fil des secondes passant après ce qu’on vient de vivre.

J'aime la chaleur de son corps contre le mien. J’aime comment son corps chaud est collé au mien. J'aime comment sa grosse bite est callée en moi malgré son état molle. J'aime tout chez ce mec. J'aime ce mec. Je me l'avoue, mais je ne peux espérer aller plus loin avec lui pour des raisons que vous connaissez déjà. Comme s'il lisait encore une fois dans mes pensées, Aly se redresse et me regarde :

Aly : Je t'aime ma Néné !

Je souris, émue par cette déclaration subite d’amour.

A suivre !

Auteur : Une lectrice

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