cougar

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3 histoires de femmes cougars 

« Décidément, Mme Mercier a une sacrée paire de seins », se dit Julien.

 

Et elle cuisinait merveilleusement bien. Le poulet Marengo qu’elle lui avait servi dans la salle à manger en attendant l’arrivée de Lisa était vraiment délicieux.

 

Julien baissa les yeux avant que la mère de sa petite amie ne le surprenne en train de mater son décolleté plongeant. La robe noire qu'elle portait moulait son corps pulpeux, et ses jambes fuselées étaient mises en valeur par des chaussures à talons aiguilles.

 

- Est-ce que mon poulet te plaît ? demanda-t-elle.

 

- C’est très bon, Mme Mercier.

 

- Je suis contente de te voir te régaler ainsi.

 

Il n'y avait pas que son poulet, qui lui plaisait...

 

Le jeune homme de 25 ans sentit son sexe durcir dans son pantalon. D'habitude, il se sentait sûr de lui avec les filles, car il était beau garçon, et c'était le capitaine de son équipe de foot à la fac. Mais cette femme mûre le mettait dans tous ses états. Et puis, c'était la mère de Lisa, sa petite amie. Il savait qu'il n'avait pas le droit de la désirer; pourtant, il ne pouvait pas s'empêcher de fantasmer sur elle. A 42 ans, elle était le stéréotype parfait de la cougar, et Julien s’était souvent masturbé en pensant à ses longs cheveux blonds et ondulés, à sa bouche pulpeuse, à ses seins merveilleux et à son cul rebondi. Il adorait le fait qu’elle avait 17 ans de plus que lui ; il l'imaginait s'occuper de lui en tant qu'« initiatrice ».

 

- Est-ce que ça va, Julien ? lui demanda-t-elle. Tu sembles perdu dans tes pensées.

 

- Oui, oui, Mme Mercier, tout va bien. Je… Je… Je me demandais juste quand l’avion de Lisa allait atterrir.

 

Lisa n'était pas responsable du retard de son avion, mais Julien se dit tout de même que sa copine trouvait toujours le moyen de le faire poireauter. La situation était d'autant plus inconfortable qu'il se trouvait seul avec la mère de Lisa, son mari étant en voyage d'affaires.

 

- Normalement, Lisa devrait arriver dans deux heures. J’espère que tu ne t’ennuies pas trop ?

 

En disant cela, il vit la peau de sa poitrine pulpeuse frémir légèrement. Il avait une envie féroce de lécher ses gros seins. Mais c'était interdit, bien entendu.

 

- Non, non, je ne m’ennuie pas du tout, au contraire ! répondit-il.

 

Elle le regarda manger son poulet sans rien dire, affichant un sourire ultra sensuel.

 

Julien n’en pouvait plus…

 

Lorsqu’il finit son dessert, des fraises à la chantilly, il proposa à Mme Mercier de faire la vaisselle.

 

- Ne t’inquiète pas, je m’en occuperai tout à l’heure. Installe-toi sur le canapé, et buvons un verre de Bordeaux devant la télévision en attendant Lisa.

 

Julien s'assit sur le sofa gris foncé tandis que son hôte ramenait les plats dans la cuisine. Peu après, elle revint avec une bouteille de vin et lui en servit un verre. Il but une gorgée du délicieux nectar, puis il frémit lorsqu'elle s'installa juste à côté de lui. Il ne pouvait s’empêcher de mater ses jambes bronzées sous sa robe noire, ce qu'elle ne manqua pas de remarquer. Elle avait toujours trouvé le copain de sa fille très mignon. Il avait un corps d'athlète, et elle adorait son look de jeune premier, avec ses cheveux blond foncé coupés à la brosse, ses yeux vert émeraude et son air sûr de lui.

 

- Trinquons à l’amour ! lança-t-elle avec un rire cristallin.

 

- D'accord, santé, répondit-il nerveusement.

 

Elle alluma la télévision tout en lui parlant.

 

- Tu sais, Julien, mon mari et moi sommes ravis que Lisa ait rencontré un garçon comme toi. Et je la sens très heureuse de t'avoir dans sa vie.

 

- C’est vrai ? Vous allez me faire rougir…

 

- Non, vraiment Julien. Tu es un garçon intelligent, talentueux, et particulièrement séduisant.

 

Julien sentit son pénis cogner tellement fort contre la braguette de son pantalon, qu'il en avait mal. Il la désirait de toutes ses forces. Il avait une envie folle de lui faire l’amour.

 

Il regarda attentivement Mme Mercier. Elle continuait à zapper de chaîne en chaîne, et sa poitrine opulente se soulevait au rythme de sa respiration. Et puis soudain, elle lui jeta un coup d’œil coquin.

 

- Si j’avais encore l’âge de Lisa, et que j’allais à ta fac, j'aurais sûrement craqué pour toi, moi aussi.

 

- Je… Je suis très flatté, Madame.

 

Elle lui sourit, puis changea de chaîne une nouvelle fois...

 

... et atterrit sur une chaîne du câble diffusant un film X.

 

Surprise, elle plaça sa main devant sa bouche en pouffant.

 

- Holala, regarde ça, Julien !

 

Il ne savait plus où se mettre…

 

Elle se tut un instant, puis le regarda d'un air complice.

 

- Il m’arrive parfois de regarder ce genre de film… Et toi ?

 

Julien n’en croyait pas ses oreilles. Il faillit se pincer pour être sûr de l’avoir bien entendue.

 

- Eh bien… Je…

 

- Allez, pas de chichis entre nous… Tu peux me dire la vérité.

 

Il hésita un instant, puis parvint à ouvrir la bouche.

 

- Euh… Oui, ça m’est déjà arrivé.

 

- Est-ce que tu en as déjà regardé avec Lisa, sous la couette ? demanda-t-elle en lui faisant un nouveau clin d’œil.

 

Il remarqua que son décolleté avait légèrement rosi, et que sa respiration se faisait de plus en plus haletante.

 

- Oui, ça nous est déjà arrivé.

 

Sans le quitter des yeux, Mme Mercier déposa son verre de vin sur la table basse et se rapprocha de lui.

 

- Ne te sens pas gêné avec moi.

 

Elle jeta un coup d’œil à sa braguette.

 

- On dirait que je te fais de l'effet ?

 

- Quoi ? Je…

 

- Ne t’inquiète pas. Je ne le répéterai pas à Lisa.

 

Julien sentit son délicieux parfum de rose lorsqu'elle se pencha pour l'embrasser. Il lui rendit son baiser, dardant sa langue dans la bouche de Mme Mercier. Puis soudain, elle recula un peu et ouvrit sa braguette pour empoigner son pénis.

 

- Ton sexe est vraiment gros et dur, Julien. Laisse-moi m’en occuper.

 

Lorsqu’elle se mit à le masturber, il crût défaillir.

 

- Et Lisa ? Et votre mari ? souffla-t-il.

 

- Je te l’ai dit… Ils n’en sauront rien.

 

Elle le masturbait de plus en plus vite, sa main expérimentée formant un fourreau merveilleux autour du pénis de Julien. Puis elle s’arrêta juste avant qu’il n’explose.

 

Elle se pencha alors vers son sexe turgescent et se mit à le sucer. Julien ne put s’empêcher de gémir en voyant ses lèvres de cougar autour de son gland. Cerise sur le gâteau, il avait une vue imprenable sur son décolleté si excitant.

 

- Est-ce que Lisa te fait ça ?

 

- Non… Non, Mme Mercier.

 

- Oh, la vilaine, dit-elle tout en donnant des petits coups de langue sur son pénis. Il faudra qu’elle apprenne à te sucer, un jour.

 

Elle continua à lui donner du plaisir avec sa bouche. Puis elle dégrafa sa robe noire pour libérer sa forte poitrine et se mit à le branler entre ses seins. Julien se demandait s’il rêvait. Si c'était le cas, c’était le plus beau rêve qu’il ait jamais fait. Ses seins juteux glissaient délicieusement autour de lui, l'amenant au bord de l'orgasme.

 

Soudain, elle s’arrêta pour enlever sa robe.

 

- Je veux que tu te déshabilles toi aussi, dit-elle.

 

Il hésita un instant.

 

- Allez ! ordonna-t-elle.

 

Il s’exécuta, puis elle le tira vers elle par le sexe.

 

- Embrasse-moi.

 

Ils échangèrent un baiser passionné. La cougar suça sa langue et mordilla ses lèvres, tout en enflammant ses sens.

 

- Tu embrasses bien, lui dit-elle. Maintenant, je dois savoir si tu es un bon amant, pour le bien de Lisa.

 

Elle l’amena vers la table de la salle à manger, sur laquelle se trouvaient encore leurs verres et leurs assiettes.

 

- Saute-moi sur la table, comme une chienne.

 

Elle s’allongea dessus, totalement nue à part ses talons aiguilles, et Julien s’approcha d’elle avec un sourire en coin.

 

- Je veux d’abord vous déguster comme le meilleur des desserts, fit-il.

 

Il saisit la bombe de chantilly sur le coin de la table et fit jaillir la crème sucrée sur la toison de la cougar. Puis il s’agenouilla et se mit à lécher la chantilly, faisant glisser sa langue habile dans les moindres recoins de son sexe brûlant de désir.

 

Elle roula des yeux en gémissant.

 

- Owww, Julien, tu me lèches si bien !

 

Elle malaxait ses seins appétissants tandis que le jeune homme continuait de lécher la chantilly sur son sexe humide. Il suçota son clitoris, puis enfonça sa langue dans son vagin.

 

- J’ai toujours voulu vous lécher la chatte, dit-il de sa voix grave. Vous êtes vraiment délicieuse, Madame.

 

Elle poussa un cri de jouissance, puis se redressa.

 

- Maintenant, baise-moi !

 

Elle écarta ses jambes fuselées pour mieux offrir son sexe en pâture à Julien.

 

- Ca sera notre petit secret, lui dit-elle.

 

Il s’enfonça en elle, sans autre préliminaire, puis la baisa violemment, comme pour se vider de la tension sexuelle qu’il avait accumulée depuis des mois. Ce qu’ils faisaient était d’autant plus excitant que c’était interdit.

 

- Oui, baise-moi, comme ça ! cria-t-elle en montrant le blanc de ses yeux.

 

Il écarta les cuisses de la cougar pour la pénétrer plus profondément. Son vagin trempé et brûlant lui procurait un intense plaisir. Quant à Mme Mercier, elle adorait sentir le pénis de ce jeune homme de 25 ans la remplir de la sorte. Ses bras musclés serraient son cul et agrippaient ses seins comme si elle était sa chose. Son mari ne lui procurait jamais un tel plaisir.

 

- Est-ce que je baise mieux que Lisa ? souffla-t-elle.

 

- Vous êtes... un bien meilleur coup qu’elle... haleta-t-il.

 

Il se pencha sur elle, et Mme Mercier sentit quelques gouttes de transpiration du jeune homme lui tomber dessus. Il se mit à sucer ses gros seins comme une bête affamée, puis l’embrassa sauvagement, léchant sa langue, mordant ses lèvres. Leurs corps en sueur glissaient l’un contre l’autre au milieu des assiettes. Ils semblaient ne faire plus qu’un dans leur étreinte passionnée.

 

Ils jouirent en même temps, comme si un tsunami venait de les submerger, comme si le monde était en train de s’écrouler sous leurs pieds. Rien d’autre que le sexe ne comptait pour eux à ce moment là.

 

Julien l'embrassa tendrement, puis il se releva.

 

- C'était délicieux, dit-il avec un grand sourire.

 

- Moi aussi, j'ai adoré, lui répondit la cougar.

 

Ils jetèrent un coup d'oeil au plancher recouvert d'assiettes brisées, puis éclatèrent de rire.

 

- Nous avons laissé des traces, dit-elle en lui faisant un clin d'oeil.

 

- En effet! Il va falloir que nous rangions tout ça avant que Lisa n'arrive.

 

- Ne t'inquiète pas. Lisa n'arrive que demain.

 

- Comment? Mais je croyais que...

 

- Je t'ai fait croire ça pour que tu viennes me rendre visite. Je voulais dîner en tête à tête avec toi...

 

Il lui adressa un sourire carnassier.

 

- Eh bien... pour une surprise, c'est une belle surprise.

 

- Nous avons l'appartement pour nous ce soir. Ca te dirait de regarder un film avec moi ? Nous pourrions ensuite rejouer les scènes 00000

fin



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