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V

Chronique de JK :

– MA VIE DE CAMER – 

Saison 02 - Episodes 01 et 02

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Je me réveille le matin. Je regarde ma montre. 08h55. Je n'ai même pas trop dormi. J'avais faim. Mon ventre gazouillait. Je regarde Irène, elle était endormie et toute nue. Pas la peine de déranger. Je suis descendu lentement du lit pour ne pas la réveiller. J’ai enfilé un caleçon et je sorti de ma chambre pour me diriger à la cuisine. Il y'avait encore le reste d'œufs que j’avais acheté hier. Mais bon!! Faut que j'augmente la quantité. Je retourne dans ma chambre où je porte une culotte et un démembré. 


Je fouille les poches de mon pantalon porté hier soir. Je prends 10000 FCFA sur les 20000 FCFA que ma grande sœur m’avait donnés hier comme avance pour le travail que je dois faire chez son amie. Je sors e chez moi et me dirige chez une maman qui vendait un peu de tous. J'achetais un demi alvéole d'œufs, le régime de plantain mur de 1500 FCFA, une boite de sardine, une boite de lait Broli, et quelques sachets d'Ovaltine ainsi que de l'huile, oignon, cube Maggi, tomate. Avec 6500 FCFA qui me reste en main, j'acheté chez le boutiquier un jus de fruit planète géant 1,25 litre à 500 FCFA.


Il me reste 6000 FCFA. Je n’achète rien de plus, je dois faire attention à mes dépenses car je n’ai qu’un peu d’argent. Je rentre à la maison. Je fais cuire mes œufs, ainsi que pour Irène avec que les frites de plantain (banane mure). J'entre dans la chambre, Irène était encore endormie. Je reviens au salon pour manger tranquillement. Après mangé, je fais un petit ménage au salon. Je décide faire la lessive. Ma chemise noire que j'ai porté hier nuit était sale. Je décidais de laver ainsi que d'autres habits. A la fin de ma lessive, je m’installe au salon pour suivre la télé. Peu après, j’entends Irène derrière moi.


Irène (avec un petit sourire) : Bonjour JK !


Je tourne la tête vers et voit Irène, les pieds nus, le corps habillé avec un T-shirt à manches courtes. Je reconnais tout de suite le vêtement qui m’appartient. C’est un T-shirt tout noir sur lequel est imprimé sur par devant un dessin du logo de « Deadpool (personnage fictif et anti-héros dans l’univers Marvel) ». Mon haut est un peu ample le long du corps d’Irène tandis qu’il moulait un peu sa poitrine opulente. Le T-shirt est long et s’arrête en bas au milieu des cuisses d’Irène. Ça lui va bien malgré que soit un trop grand sur elle. Mais en même temps, ça la rend sexy. Je la détaille avant de lui parler à mon tour.


Moi (en la regardant) : Bonjour ! Bébé bien dodo ???

Elle (en me souriant) : Oui ! Mais je suis encore un peu fatigué

Moi : Recouche-toi !

Elle : Non ! Il est déjà 10h15. Et j’ai assez dormi.

Moi : OK ! 

Moi : Appelle ta grande sœur. Dit lui que tu vas bien.

Elle : Oui ! C'est vrai tu as un peu de crédit de communication ??

Moi : Oui ! Sur ma puce Orange.

Elle : Ok ! C'est bon!!

Moi : Passe-moi mon téléphone c’est en charge à la chambre. Je débloque, tu appelles.


Irène va chercher mon phone et me l’apporte. Je le débloque et lui donne. Elle retourne dans la chambre pour passer les appels. Pendant ce temps, je reste au salon pour regarder la télé. Puis à un moment, je décide d’aller prendre une douche car je commençais à sentir la mauvaise odeur de mes aisselles à force d’avoir chaud. J’entre dans ma chambre où je trouve Irène assise au bord du lit. Elle avait mo phone à l’oreille, signe qu’elle passait un appel. Je me déshabille dans la chambre et enroule ma serviette autour de mon bassin avant de partir me doucher. Je reviens et trouve Irène dans la chambre. Elle est allongée de dos sur le lit et en pleine conversation téléphonique. Je fronce un peu es sourcils en l’observant.


Moi (en la regardant) : Madame, ne finit pas mon crédit.

Elle (en souriant en me regardant) : T'inquiète pas ! 


Je m’habille et vais apprêter le déjeuner d'Irène que je lui sers par un plateau sur lequel est posé un plat d’omellete-sardine, à coté de frites de plantain, et une tasse de lait. J'entre avec dans la chambre avec le plateau en main. Je m’assois eu bord du lit et regarde Irène qui s’est redresser pour me regarder avec le plateau en main. Je me penche pour lui parler à l’oreille.


Moi (à Irène) : C'est pour toi ! Faut que tu manges un bout.

Irène (en parlant au téléphone) : Ma co'o (copine) j'arrive. Tu vas tout me raconter nor ? Ok ! On fait comme on a dit. A toute à l’heure. 

 

Et elle raccroche enfin ! Elle me remercie et me sourit en me rendant mon phone.


Moi (en la regardant en souriant) : Hummm ! Tu as duré au phone.

Elle : Désolé ! Je parlais avec ma copine chez qui je devais dormir hier soir à Ngodi.

Moi : Ah ! Et vous avez inventés quel plan ???

Irène (en mangeant) : LOL ! Rien!! 

Moi : Humm ! Et vous parlez de quoi au phone longtemps comme ça ??

Elle : Elle me racontait sa soirée. Hier nuit, elle-même n'était pas chez elle à Ngodi.

Elle : Et elle me disait que j'ai bien fait de ne pas être arrivé là-bas car elle avait dit à ses proches qu’elle était avec moi et dormirait chez moi.

Moi : Hummm ! Vous les filles d’aujourd’hui vous êtes terrible !

Elle : LOL !


Irène mangeait avec appétit. Et je profitais pour savoir qui elle faisait dans la vie. Elle avait 20ans, étudiante, faisait de la coiffure, manucure, pédicure. Elle était esthéticienne dans un salon de beauté pour ne pas avoir les poches vides, et vivait en famille. Je ne dis plus rien et regarde Irène manger jusqu’à ce qu’elle finisse.


Irène (en souriant) : Merci pour le déjeuner. C’était bon ! 

Moi (en souriant) : De rien ! C'est ce que je pouvais t'offrir même si ce n’est pas mieux.

Irène : T'inquiète ! C'est beaucoup déjà.


Elle me fait un bisou sur la bouche et se lève avec le plateau. Je la suis lorsqu’elle avec de la chambre pour aller de déposer à la cuisine où je lui indique. Elle se tourne vers moi pour me regarder.


Irène : Ta maison de l'extérieur, ça laisse à désirer. Mais de l'intérieur, c'est joli et chic.

Moi : Exactement ! L’extérieur est pour décourager les bandits et les voleurs.

Irène : Ah, je vois.

Moi : Certains ici savent que je fais juste le gardiennage. Pourtant je suis chez moi

Irène : Explique-moi un peu plus !


Je racontais à Irène ma vie, de mon travail jusqu'à la perte de mon boulot. Et ce que j'avais pu faire acheter ce terrain. Puis construire ma maison en planche pour vivre, car je ne pouvais plus supporter la location avec mon manque d’argent. Irène m’écoutait attentivement jusqu’à ce que je dise tout.


Moi (après mon récit) : Voilà tu sais tout !

Irène (en regardant) : Wow ! Tu me plais encore plus.

Moi : Ah bon ?

Irène : Oui ! J'aime les hommes comme toi qui réaliste et qui ne font pas rêver.

Moi : Merci ! Donc tu as plusieurs hommes dans ta vie ?!

Irène : LOL !


On change aussitôt de conversation quand Irène me dit qu’elle veut prendre une douche. Je lui indique la douche où elle trouva le nécessaire pour se laver. Elle revient dans la chambre où je l’attendais. Elle quitte ma serviette propre que je lui ai prêtée et s'étale toute nue sur le lit.


Irène (en se couchant sur le lit) : Humm ! Ça fait du bien une bonne douche. 


Je la regarde en souriant. Nos regards se croisent.


Irène (en me regardant) : Merci pour ton hospitalité !


Je souris et me couche près d'elle. On se regarda face à face puis je caressais ces joues. Elle est belle cette petite. Nos lèvres se touchaient puis se transforma en baiser. J'embrasse Irène au cou, sur les lobes de l'oreille, puis je suçais ses seins. Je dirigeais ma main entre ses cuisses qui s’ouvrent pour me laisser toucher l’entrejambe. Je caressais au passage son clito. Je m’arrête pour reprendre mon souffle. 


Moi (en la regardant en face) : Il est 11h15, tu sais.

Irène (en me regardant) : Tu attends de la visite ???

Moi : Non !

Irène : Tu dois aller quelque part ???

Moi : Non !

Irène : Alors pourquoi tu me parles de l’heure ?

Moi : Pour savoir à quelle heure tu comptes t’en aller.

Irène : Tu veux que je parte maintenant ?

Moi : Pas avant que je finisse avec toi. 

 

Je recommence à l’embrasser sur la bouche. Je descends sur son cou où je m’attarde un peu en y déposant dessus des bisous. Irène se tortille à cet effet, tout en poussant un soupir d’aise. Je descends ensuite sur sa poitrine pour sucer ses seins. Par des petits bisous je descends sur son ventre où je tourne ma langue sur son nombril. Je poursuis ma descente avec ma bouche jusqu’à son bas ventre où je déposais des petits bisous. Le visage fa ce à sa chatte, je suce son clito. Irène se tortille en gémissant.


Irène : Hmmm… Ne me fais pas ça, STP !


Je continuais de lécher son clito. Irène se tordait et son bassin s’agitait. Je tournais ma langue autour du clito. Irène gémissait faiblement en repoussant ma tête que je maintenant face à son entrejambe. J’introduis un puis deux doigts dans sa fente. J’agite mes doigts en elle, en faisant des va-et-vient. En même temps, je léchais son clito. Irène se tordait et cambrait en respirant bruyamment. En levant les yeux sur son ventre, je vois ses mains empoigner et pétrir ses seins alors qu’elle gémissait. 

 

Irène (en gémissant) : Bébé arrête... Wooo… Hmmm ! C'est bon... Ouiii... Ouiiiiiii !!


Je pénètre la fente d’Irène avec la langue. Je fais des va-et-vient ensuite. Je me remets à brouter sa chatte. Puis, je pénètre Irène avec trois doigts tout en léchant et suçant son clito gonflé et tendu. 


Irène (en hurlant) : Mince! Haaa ! Aaashhh !... Oooouuuhhh.... Haa ! Aaaaaaahhh !


Irène hurla et repousse d'un coup ma tête loin de son entrejambe. Elle ferme les cuisses et tourne pour se mettre de profil sur le côté gauche du corps. Elle haletait en gardant les yeux clos. Je me couche derrière elle et me blottit contre son corps. Je la regardais reprendre son souffle en lui caressant le corps. Elle se tourne vers moi et colle ses lèvres sur les miennes pour m’embrasser. Elle glisse une main dans mon caleçon pour se saisir de ma queue déjà en érection. Elle abaisse mon caleçon en sortant mon membre de là, tout en continuant de m’embrasser. Elle me branlait doucement pendant que j’accentuais notre baiser. Elle décolle sa bouche de la mienne pour se pencher sur ma bite bien dure qu’elle met rapidement dans sa bouche. Elle me taille une bonne pipe comme elle savait le faire. Je ronronne doucement en appréciant la fellation.


Moi (en ronronnant de plaisir) : Hummm bébé.....

Elle (en me regardant sans lâcher ma queue) : Je continue ?


Irène me posait la question en me regardant avec un sourire espiègle. 


Moi (en soutenant mon regard face au sien) : Vas-y !


Elle continuait et s'activait à bien sucer ma queue. Elle l’engloutissait et envoyait mon membre le plus loin dans sa bouche. Mais elle ne gardait pas englouti longtemps dans sa bouche à cause de la longueur. Mais j'apprécie ses efforts pour me faire une fellation digne ce nom avec des gorgées profondes.


Irène (en léchant ma queue) : j'aime ta bite.

Irène (en lechant mon gland) : Et sa tête rose. 

Moi (ému) : Ah bon ?

Irène (en me souriant) : Oui ! C'est mon bonbon !


Elle faisait passer sa langue dessus partout et suce lentement mon gland. Elle se positionne à quatre pattes sur moi de telle manière qu’elle suce mon membre tandis qu’elle avait les fesses tournées vers ma tête. Je me retrouve couché de dos, avec son entrejambe devant ma bouche. Je suce son clito, elle pompait ma queue. Je le doigtais en limant sa fente, elle tournait sa langue autour de mon gland. Je lèche sa fente et la pénétrais avec la 'langue, pendant qu’elle suçait mon gland en me branlant la verge. 


Moi (entre deux coups de langue sur sa fente) : Elle bonne ta chatte !

Irène (léchant mon gland) : Ta queue aussi !

Moi : Je veux que tu me chevauches.

Irène : Avec plaisir !

Irène se retourne et se redresse. Elle se met à califourchon face à moi puis se penche avant pour se retrouver à quatre patte avec sa tête face à la mienne. Elle se met à m’embrasser. Sa bouche avec le gout de ma bite, ce qui n’est pas pour me déplaire. On s'embrasait un peu avant qu’elle arrête. Penchée en avant et placée à quatre pattes au-dessus de moi telle qu’elle était, elle glisse une main sous son corps. Elle attrape ainsi mon membre entre ses jambes et dirige le bout face à l'entrée de sa fente. 


Je l’attrape par les hanches quand elle se redresse et tient à genoux avec ma bite entre ses jambes. Je m’agrippe aux sièges avant. Je sens mon gland qu’elle frotte contre les lèvres de sa fente et masse le clito. Tout en me regardant avec le sourire aux lèvres, Irène abaisse son bassin. En même temps et dans le même mouvement qu’elle fait, elle s’introduit mon gland dans sa chatte. La pénétration est douce et exquise avecc toute la mouille qui y est. Ma grosse queue s’enfonce en elle au trois quart en moi. Je la pousse plus loin et soulevant le bassin. Je la sens toucher la chair rose à l’intérieur de la foufoune. Cela donne un grand plaisir à Irène qui soupire d’aise. 


Moi (en la regardant avec un sourire) : Montre-moi comment tu sais tourner les reins.


Irène se penche vers moi et se couche sur mon buste. 


Irène (en me parlant à l’oreille) : Je vais bien te baiser.

Moi (en souriant) : Merci d’avance pour ce plaisir !

Moi : Humm ! 


Elle se redresse et me met ses seins devant la figure. J’attrape un sein et met le bout dans ma bouche. Je suce le sein sous le regard attendri d’Irène. Je commence bouger lentement mon bassin pour faire des légers mouvements de va-et-vient dans sa chatte. Elle s’assoit lourdement sur moi pour m’arrêter.


Irène (en me regardant en souriant) : Laisse-moi faire ! Et laisse toi faire !! Ok ?


J’acquiesce par un hochement de la tête. Toute souriante et sans me quitter des yeux, Irène commence des montées et descentes sur moi. Ce qui provoque simultanément de va-et-vient de ma queue qui bougeait et coulissait dans sa chatte. Elle continuait de monter et descendre sur moi à un rythme lent, tout en s’empalant lentement sur ma queue. Je la tenais par les fesses tout en regardant entre nos deux pour voir comment ma queue rentrait entièrement et disparaissait dans son ventre. Ses seins lourds et moyennement gros se balançaient face à mon visage. 


Irène qui se dandine en sautillant sur mon bassin tandis que j’étais allongé sur le dos. Elle s’assoit sur moi en gardant mon membre logé en elle. Elle commence une danse sensuelle sur moi… Elle tourne les reins dans tous les sens, tout cela avec ma queue bien qu’elle faisait bouger en elle. Puis elle recule et avance le bassin en frottant son pubis sur le mien. Elle me donne ainsi des coups de reins rapides en me regardant avec un sourire aux lèvres, tandis qu'elle pliait le dos pour se cambrer en me chevauchant avec souplesse. Je la regardais faire en gardant mes mains posées sur ses hanches en mouvement.  


Moi (tout heureux) : C’est bien, ma belle ! Vas-y à fond !

Irène (en me chevauchant) : bébé ce n’est pas facile... Hummm !

Moi : Pourquoi ?

Irène : C'est trop long ton bangala... Hmmmmm ! 


Irène émet des sons suggestifs, entrecoupés de bruits de sa respiration devenue bruyante et profonde mais aussi saccadée alors qu’elle s’active à me chevaucher. J’en profitais pour lui donner des claques aux fesses pour l’intimer l’ordre d’y aller vite pour me chevaucher à fond. PAF !! CLAP !!! BAM !!!!


Irène : Aïe ! Ooouuuccchhh ! Aaaïïïïe ! Ça fait mal... Hmmmm ! Haaannn ! Haaann !


Irène me chevauchait toujours lentement. Ce qui n’était pas à mon gout. Je prends alors le relais en bougeant mon bassin pour lui donner des coups de reins rapides et vifs, arrachant un cri de stupeur et de douleur à Irène lorsque je montais et descendais le bassin pour faire ainsi des va-et-vient rapides.


Irène : Ooohhh... Bébé humm… Doucement... Mon vagin oooohhhh ! Aaaïïïïïïe ! Ooouuucchhh !


J'étais excité par ses cris de douleur. J'y allais alors plus vite. Ce qui faisait couiner Irène. Je me redresse et serre Irène contre moi avant de la faire basculer sur le côté pour inverser notre position. Une fois couché sur elle allongée sur le dos, je l’embrassais. Irène profita que je suis installé entre ses cuisses pour fermer ses jambes autour de ma taille. Elle croise ses pieds dans mon dos. Elle commence alors à tourner avec ses reins en bougeant son bassin sous moi. J’étais pile et bien placé sur elle en missionnaire. J’écarte ses cuisses et ses pieds se décroisent dans mon dos. Et j’ai commencé à faire des va-et-vient rapides pour la pilonner. Elle gémit en se cambrant lorsqu’elle me reçoit en elle.


Irène : Bébé Haaa.... vas-y doucement... Haaa ! J'ai mal... Aaaassshhhheuh... Ooouuullllllllle ! Ooooohhhh ! Aaaïïïïe ! Oooohhhh ! Onong ! Qui m'a même envoyé... Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! 


 


Je m'activais en elle. J’étais à fond. Les plaintes d’Irène se transformaient en véritable gémissements.


Irène (en gémissant) : Ouiiiii bébé ! Vas-y, défonce-moi le trou ! C'est pour toi... Haaa ! Ouuiii ! Aïïïe... Doucement… Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Onong ! Ça vient ! Ouiii ! Continue ooohhhh ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! JK… Putain ! Aaaaaahhhhh !

 

Après son orgasme, je quitte sur Irène. Je descends du lit et lui dit me venir m'embrasser. Elle ne se fit pas prier. Elle descend du lit et vient se coller à moi pour m’embrasser. J’en profitais pour soulever sa jambe gauche que j’accroche sur ma hanche droite en la tenant bien avec main derrière le genou. Je soulevais l’autre jambe que j’accroche sur mon autre hanche. Irène se retrouve accrochée sur moi avec les bras passé derrière mon coup. Elle serrait ses jambes fermées autour de ma taille pendant qu’on s’embrassait longuement et langoureusement. 


Portant Irène durant notre baiser langoureux qui se poursuivait, je soulève son corps d’un coup, brusquement plus haut. Irène croise ses pieds derrière moi alors qu’elle serre ses jambes autour de ma taille et ses bras autour de mon cou. Je la retiens immobile à cette hauteur. S’accrochant fermement sur moi, Irène me regarde en souriant alors que sa tête dépassait désormais un peu la mienne. Elle reste ainsi accrochée sur moi à l’aide de la force de mes bras qui la portait vers le haut. 


Je lâche son corps du coté de ma main droite, le temps d’attraper ma queue avec la dite main pour diriger mon gland vers le haut. Je réussis à pénétrer dans la chatte d’Irène par derrière, l’arrachant un soupir d’aise. J’attrape Irène en plaçant mes mains de sorte que je la tiens par le globe de ses fesses charnues que j’empoigne bien au passage. Je lui dis de desserrer un peu ses bras et ses jambes pour qu’elle descende un peu sur moi. Ce qu’elle fait aussitôt. Ce qui permit à ma queue à moitié rentrée en elle de rentrer entièrement dans sa chatte jusqu’à la garde. Sa fente était placée à même hauteur de mon bas ventre. Aussitôt je la soulève un peu par les fesses et la fais sautiller sur moi. Elle montait et descendait en s’empalant quelque peu sur ma bite. Pendant ce temps, je bougeais aussi le bassin en lui donnant des coups de reins pour faire des va-et-vient dans ma queue dans sa fente par derrière.  


Irène : Yes... Ouiii c’est bon dans cette position... Vas-y, plus vite… Hummm !


Allez plus vite ne serait pas chose aisée. Irène pesait et je devais bien la tenir. Je donnais des coups de reins rapides mais modérés. Il s’en suit alors d’une chevauchée verticale et debout, en mode position du « poisson volant ». Comprendra qui pourra !! Irène s’accrochait à moi en s’en subissant mes coups de reins qui la font un peu sursauter. Elle s’appuyait aussi sur moi et profitait de sa position accrochée pour sautiller légèrement, ce qui amplifiait les va-et-vient de ma queue en elle. 


En même temps, je la soulevais un peu par son corps grâce à la force de mes bras placés sous ses cuisses. Elle se hissait ainsi plus haut tandis que j’en profitais pour lui assener des coups de butoirs qui s’enchainaient à la va vite. Mes mouvements du bassin par rapport à ceux du corps d’Irène un peu plus amples et réguliers. La pénétration de ma queue dans sa fente était en peu plus profonde chaque fois. A un moment, je limais sa fente de plus de plus vite et fort, arrachant à Irène des petits cris et des soupirs qu’elle lâchait entre deux respirations bruyantes. 


Je la baisais debout en essayant de lui défoncer la foufoune. Peu après, je la lâchais brusquement sous la pression du poids de son corps que je n’arrivais plus soulever car mes mains étaient fatiguées de la porter. Du coup, ma queue sortie de fente que je limais. Je penche en avant en aidant Irène à reposer les pieds à terre alors qu’elle avait les bras croisés autour de mon cou. Elle me regarde dans les yeux et m'embrasse sur la bouche avant d’arrêter pour me sourire sans me quitter des yeux.


Irène (en me regardant en souriant) : Allons au salon !!


Aussitôt dit, aussitôt fait. Elle m’attrapait par la queue en m'emmenant au salon. Arrivée là-bas, Elle se s’accroupi face à mes jambes. Elle prend ma queue en main et la suce goulument en me lançant des regards coquins. Après quelques coups de succions et de pompages, elle se lève et tire une chaise de la table. Elle retourne la chaise et la colle de dos contre le bord de la table. Elle se tient face à la chaise sur laquelle elle pose un genou puis l’autre. Elle s’agenouille légèrement en pliant un peu les jambes. Elle se retrouve ainsi avec les fesses tournées vers moi. 


Sur ce, elle m’invite à venir la prendre. Je viens me placer derrière elle tandis qu’elle est agenouillée sur la chaise, en me tournant le dos. Je dirige ma queue qui est à une bonne hauteur face à la fente d’Irène. J’entre dans sa fente et la pénètre lentement par derrière jusqu’à la garde. Irène soupire d’aise et se cambre en me recevant elle. J’entame des mouvements du bassin. Je fais va-et-vient rapide et vifs pour prendre Irène à cheval la chaise. Elle geint doucement en s’accrochant sur le dossier de la chaise. Puis, elle tourne la tête vers moi. 


Irène : Hmmm… Bébé vas-y doucement !


Je m’arrête et recommence à faire des va-et-vient mais cette fois-ci lentement. Irène resta positionner tel qu’elle était sur la chaise, tout en me regardant par derrière. On se jugeait du regard. Puis je lui donne un coup de rein brutal car j’avais envie de la prendre sauvagement. Je n’aime pas baiser doucement. Ça m’ennuie ! Irène pousse un cri de surprise et de douleur en encaissant le coup.


Irène (en crient) : Aaassshhh !


A ce moment, je lui donne un deuxième de rein aussi brutal que le premier coup.


Irène (en criant) : Ooouuucchhh !!


Elle se cambre en me recevant le second coup qui poussa ma queue à s’enfoncer en elle d’un trait, jusqu’à la garde. Et là je recommençais des va-et-vient rapides et vifs, en claquant ses fesses entre deux coups reins. Je frappe fort mon bas ventre contre son postérieur rebondi. Je me mets ensuite à la culbuter. Irène pousse des soupirs en restant immobile, et subissant ma fougue.

 

Irène (en gémissant) : Bébé… Ooouuuccchhh ! J'ai mal... Hmmmm... Haaa ! Haaa ! Ouiiiii ! Défonce-moi ! Fini moi oooohhhh ! Haaa ! Haaa ! 


Je baisais Irène sur la chaise pendant quelques minutes avant qu’elle descend de la chaise.


Irène (en se tournant vers moi) : Bébé ! J’ai déjà jouit. Laisse-moi te baiser aussi !

Moi (en la regardant) : Humm !

Irène (en me poussant doucement) : Assied toi sur le canapé ! 


Je m’exécute. Elle m’enjambe et s'empale dans moi en me tournant le dos. Elle s’adosse contre mon torse et mon visage. Puis, elle lève ses jambes et pose le plat de ses pieds sur mes cuisses ouvertes et au niveau de mes genoux. Elle se retrouve aussi assis et qu’accroupit. Elle pose ses mains à plat sur mon torse avant prendre appui sur moi avec ses mains et ses pieds posées sur posés sur mes cuisses pour soulever et baisser son bassin lentement. Elle répète lentement ce mouvement du bassin pour rentrer et sortir ma queue de chatte. Je pose mes mains sur ses hanches pendant qu’elle fait ainsi des va-et-vient. Elle souffle et pousse des soupirs en s’empale le long de mon membre. Celui-ci rentre et sort de sa chatte suinte, mais trop lentement à mon gout.


Moi (sous Irène) : Vas-y, bouge plus vite !

Irène (sur moi) : Ce n’est pas facile ! Ton sexe est trop long. 


C’est trop, et puis quoi encore ?? Pfff ! Je soupire d’agacement et décide de prendre le relais. Je passe mes bras sous jambes pliées, juste derrière ses genoux. Je relève ses jambes en les soulevant brusquement pour rabattre ses cuisses ouvertes sur sa poitrine. J’appuie mes doigts derrière le cou d’Irène pour agripper partiellement mes mains dessus. Irène pousse un cri de surprise car tout elle aller vite. Elle se retrouve adossée sur moi, empalée sur ma queue, le corps coincée dans une prise de catch en quelques sortes. 


Irène : Oh ! Mais bébé qu’est-ce que tu fais comme ça ?


Elle est immobilisée, avec les jambes écartées, les cuisses grandes ouvertes et rabattues sur son ventre. Ses genoux sont placé les côtés de sa poitrine. Ses pieds pendent en l’air. Par ailleurs, ma prise me permit de soulever un peu ses fesses qui se décollent de mon bassin que je bouge pour donner des coups de reins rapides et vifs. Irène sautille légèrement mais régulièrement alors qu’elle recevait mes coups de reins. Elle subit immobile mes coups de butoir, en geignant et respirant bruyamment et profondément. Elle ronronne en haletant en se faisant limer rapidement.


Irène : bébé… Hummm ! Hmmm... Hmmmmm... Oh ooouiiiiiii ! Vas-yyyy ! Haaaa ! Haaa ! Ouuiii ! 


Je faisais des va-et-vient rapide durant un moment avant de la lâcher.  


Moi : Lève-toi !


Et elle se lève en quittant sur moi.


Moi : Allez met-toi à quatre pattes le long du canapé.  

Irène (en me regardant en souriant) : Hummm !

Moi (en lui donnant une claque aux fesses) : Vas-y ! Avant que je me fâche. 

Irène (en s’exécutant) : Humm ! Ok mon bébé !

Irène (une fois à quatre pattes) : Viens bébé ! Prend moi comme tu veux !


Je me place à genoux derrière, face à son cul. Je la pénètre d'un coup sec, l’arrachant un cri. 


Irène (en criant) : Oh ouiiii ! 


Elle se redresse en pliant le dos pour se cambrer. Je pose une main sur le bas de son dos. Irène se pencha en avant en collant sa poitrine et sa tête sur le fond du fauteuil. Elle souffle et soupire en me laissant la prendre lentement en levrette. Les sons qu’elle laisse échapper m’indiquent qu’elle apprécie mon rythme lent. Mais je ne comptais pas la prendre ainsi longtemps. Alors je la rpéviens.


Moi : Soit prête ! Je vais aller très vite !

Irène : Attend un instant ! 


Elle avance et recule le bassin pour entamer des va-et-vient lentement. Elle se redresse en continuant et nous nous baisons littéralement. Je laisse faire quelques secondes avant d’attraper sa hanche gauche en débutant des va-et-vient rapides pour prendre fort. Irène pousse des gémissements entre douleur et plaisir. Elle gémissait en restant immobile à subir mes assauts. Je l’attrape par le cou avec mes deux que je serre un peu dessus pendant que je la culbute en levrette pour bien la baiser sauvagement comme j’aime le faire.


Irène (en gémissant) : Ooouuuchhh ! Hmmm… C’est bon ! Secoue-moi ! Oui... Encore plus vite !!


Elle penche en avant en geignant. Elle se couche peu en tout haletant. Elle se retrouve couchée sur le ventre avec moi sur elle en train de la pilonner. Après quelques coups de reins, je me retire et j’éjacule. Je déverse mon sperme sur ses fesses couvertes d’une fine sueur. Je me sens bien à ce moment-là. 


Moi (en éjaculant) : Hmmmm ! Hmmmm... Hmmmmmm !!!

Irène (en soufflant) : Ouf !! Hummpff !


Je me suis assis sur le tapis. J’étais en sueur, épuisé mais content d’avoir bien ntouma cette zaza. Irène resta un moment couchée sur le ventre. Elle haletait et se remettait de ses émotions. Puis, elle se lève.


Irène (en se plaçant débout devant moi) : Bon, je vais me laver et je go.

Moi : Reste encore un peu ! 

Elle (en souriant) : La prochaine fois, mon cochon !

Moi (un peu triste) : OK !


Elle se lève et va se laver. Puis elle me retrouve dans la chambre où je m'habille.


Irène : STP bébé prête-moi un de tes t-shirt. 


Je la regarde avec étonnement, en fronçant un peu les sourcils. Elle me supplie du regard.


Moi (en levant les yeux) : Ok ! Fait comme chez toi !

Elle : Merci ! Tu es trop chou !


Elle choisit une chemise rose longue et cintrée qu’elle met dans son sac avec mon t-shirt Deadpool.  


Moi (très étonné) : Tu as dit un t-shirt nor ? 

Elle (en souriant) : Oui ! Mais je prends tes deux hauts. Ça me plaît trop.

Moi : Humm !

Elle : Je vais porter la chemise rose à la fête d’anniversaire de ma copine.

Moi (étonné) : Ah ! Ça ne va pas te suffit assez !

Irène (en souriant) : T'inquiète ! Ça fera l’affaire… comme une petite robe… sexy !


Sur ce, elle me fait un clin d’œil en souriant largement. Je la trouve belle, ce qui me fait sourire.


Moi (en souriant) : OK


Irène vient me faire la bise. Je lui dis d’attendre une seconde. Je lui donne 2000 FCFA. Elle refuse.


Elle : Garde l’argent ! Ça peut t’être utile. J'ai déjà un peu d'argent sur moi.


Cette phrase m'a ému. Elle me dit au revoir et avec la main. Elle tourne les talons. Elle passe devant moi. Je regarde ses fesses charnues moulées à merveille par sa robe courte moulante qui rendait sexy. Je fixe son cul rebondi qui bouge dans roulement des fesses qui attirent mon regard. En regardant son postérieur que j’ai cogné en la baisant, mon pénis s'est relevé directement. J’étais excité et dur. Je me lève et vais vite derrière Irène. Je l’attrape par surprise, ce qui la fait sursauter. Je la tire et plaque sur un mur à côté de la porte de sortie. Je soulevais sa robe courte d’un geste vif. Je découvre qu’elle ne portait pas son string. Elle était nue sous la robe. Ce qui m’excite en plus.


Irène : Mais JK tu fais quoi comme ça ?? Tu veux me baiser encore ???


Je me lève et baisse vite mon caleçon. Je le glisse ma queue tendu sous ses fesses. Irène se débats.


Irène (en se débattant) : Bébé arrête ça ! Je dois partir là.


Je ne l’écoutais pas. Je forçais et tâtonnais avant de pouvoir pénétrer dans sa fente par derrière.


Irène (en me recevant en elle) : Aaaaaaassshhhhh ! Haa... Noooooooooo


Je commençais déjà à la baiser en la culbutant sur le seuil de la porte. Je fais des va-et-vient rapide 


Irène (en subissant ma fougue) : Humm ! Bébé laisse-moi partir... Aïïïïe.... Haa ! Haa ! Haa ! Haa ! Haa ! Haa ! Ooooh ! Ouiii ! Ouuiiiii ! Bébéla woooooooo ! Oouuiiiiiiiiii ! Bébé... ouiiii ! Aïe ! Aïïïééééé !


J'allais vite pendant qu’elle gémissait. Au bout de 5 minutes passées à la culbuter sans répit avec la rage de la faire geindre, je retire de sa chatte et j'éjacule. Je lâche Irène en la laissant chancelante et haletante. Elle rabaisse sa robe sur fesses et se tourne vers moi. Elle regarde avec ma grosse queue ramollie et pendante entre mes jambes. On se jauge du regard et elle me sourit la première.


Elle (en me regardant en fronçant les sourcils) : Toi là, hummmm !

Moi (amusé) : LOL ! Quoi ?

Elle : Tu es un adzo pipi (accro au sexe) !

Moi (amusé) : LOL ! Même pas !

Elles : Moi-même je confirme. Tu aimes trop le nyass. 

Elle (en ajoutant) : On dirait même que tu es un Bonobo.

Moi (amusé) : Ahahahah ! Merci ! Je prends ça comme un compliment.

Elle : Bon, je go !

Moi (en souriant) : OK ! Prend soin de toi !

Elle (en souriant) : Merci ! Je te fais signe lorsque j'arrive.

 

Elle vient faire un bisou la bouche et part en courant un peu sur la pointe des pieds 


  


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A suivvre !

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