Camer

Camer

V

Chronique de JK :

– MA VIE DE CAMER – 

Episodes 07 et 08

______

 


Dansant dans la pénombre avec moi en mode « colle la petite », Irène bougeait le bassin. Je la tenais par les reins où sa courte robe était déjà remontée depuis un bon moment. Irène frottait ses fesses dénudées et mais dissimulées par la pénombre. Elle tournait les reins en frottant les fesses contre mon bassin. En même temps, elle bougeait le bassin de façon à frotter son entrejambe sur ma queue tendue et dure logée entre ses cuisses légèrement ouvertes. J’étais aux anges en sentant les frottements de mon bangala sur les grandes lèvres de la fente de ma cavalière de danse coquine. 


J’avais le sentiment que son string était rentré dans sa fente par derrière où je sentais nettement ses grandes lèvres humides. Je bougeais le bassin vers l’avant et l’arrière, puis inversement, pour frotter ma queue le long de sa fente. Irène semble très excitée si j’en juge la moiteur de son sexe qu’elle me fait sentir autant que ses fesses nues. Je l’attrapais par la taille alors qu’elle tournait les reins pour nous chauffer. Elle dansait « Work » de Rihanna avec moi. Irène twerke, avec les fesses collées et serrée contre mon bassin. Le temps semblait figé pendant qu’elle danse ainsi, tout en serrant et desserrant ses cuisses autour de ma queue collée sur son entrejambe. J’ai grave envie de la ntouma. Mais ce n’est ni le moment et le lieu idéal.


Irène (penchée en avant en me tournant le dos) : Recule un peu.

Moi (un peu surpris) : Humm !


Je ne sais pas trop pourquoi elle m'a dit de reculer alors qu’on est bien là. Mais bon ! Je m’exécute en me décollant d’elle. Je m’éloigne de sa croupe en retirant ma queue entre ses cuisses. 


Irène (après 2 secondes) : Revient !


A peine je reviens me coller à elle, elle attrape ma queue avec une poignée de main ferme. Je me fige sous la surprise. Je comprends vite qu’elle a envoyé sa main entre ses cuisses pour m’attraper, en passant donc son bras sous son ventre. Et ce, alors qu’elle est légèrement penchée en avant en me tournant le dos. Irène me tire vers elle en me tenant par la queue. Je me laisse tirer. Irène dirige mon gland sous ses fesses, entre ses cuisses ouvertes. Je sens mon gland toucher son entrejambe et tâtonner sur l’entrée de la fente où je ne sens pas du tout la présence du fond de son string sensé y être, normalement. 


Je réalise qu'elle a écarté l'arrière de son string pour le caler sur un côté de son postérieur. Eeeh haaa ! A peine mon cerveau enregistre cette information, Irène est déjà en train de frotter le bout de ma queue entre les lèvres de sa fente juteuse. Elle s’attarde en frottant mon gland sur l’entrée de sa chatte. N’y tenant plus, je pousse le bassin vers l'avant et je la pénètre en donnant un coup de rein. La pénétration est fluide à cause de la mouille qui lubrifiait le tunnel. La sensation de mon queue dans chatte est plaisante. Je la sens ouverte et très réceptive par rapport à mon long et gros sexe qui s’est logé aisément dans son ventre jusqu’à la garde.


Irène (ronronnant) : Hmmmmmmmm !


Irène se redresse brusquement une fois qu’elle a reçu mon coup de rein, envoyant mon bangala au fond jusqu’à la garde. Je la sens frémir et serrer les cuisses. Elle colle son dos contre mon torse tout en me gardant en elle. Je l’attrape par les hanches quand je fais des lents mouvements circulaires dans elle. J’avance et recule lentement le bassin pour me mouvoir en elle. Les va-et-vient se faisaient lentement et la sensation est plaisante quand je sens mon gros bangala frotter à l’intérieur de sa chatte peu étroite. Irène toujours debout et droite tournait ses reins quand je bougeais lentement en elle. 


Irène (en murmurant près de mon oreille) : J'aime... Hmmmm... Vas-y, un peu vite STP !


Aussitôt elle le dit, aussitôt je le fais ! Je l’entends émettre des « Hmmmm » suggestifs à mon oreille chaque fois que je pousse mon bassin vers elle pour enfoncer ma grosse queue dans sa chatte jusqu’à la garde. J’entoure sa taille avec mes bras pour la serrer, en croisant mes mains sur son ventre. Je fais des va-et-vient rapidement pour la limer sans toutefois faire des mouvements amples de mon bassin. Ma queue se retire que partiellement avant de renter d’un coup sec pour se planter entièrement dans le trou. En faisant ainsi, je défonce la foufoune d’Irène. 


Elle se retenait de gémir. Mais j’entendais nettement bien sa respiration devenue bruyante. Elle émettait de plus en plus des « hmmmm » près de mon oreille, à chaque coup de butoir qu’elle recevait de ma part. La musique en fond sonore étouffait ses petits sons qui s’échappaient de sa bouche. Si on l’entendait, on devinerait éventuellement ce qu’elle est en train faire dans l’ombre. Et ça m’excitait et m’encourageait à ntouma (baiser) cette zaza que je connais à peine après l’avoir rencontré ce soir. 


Je la culbutais debout, en cognant chaque fois un peu plus fort mon bassin contre son postérieur pour enfoncer ma queue le plus loin possible dans le trou. Irène geint de plus en plus, mais faiblement. J'avais peur que les gens qui ne dansaient pas loin de nous l’entendent. Je craignais qu’on nous surprenne en train de mbinda. Mais c’est cette crainte qui me poussait aussi à continuer et à en faire plus pour le fun. Cela rendait la situation encore plus excitante que stressante. Je n’ai jamais vécu auparavant une telle impression. Je baisais Irène débout et rapidement comme un voleur, tout en l'embrassant dans le cou et en empoignant ses seins.


Irène (en gémissant faiblement à mon oreille) : Aaassheuh... Hmmm ! C'est bon.... Hmmmmm !


Le DJ change soudain de chanson et met « Sean Paul : Get busy ». Cela m’alerte et me rassure pas du tout. Instinctivement, j’arrête tout. Je me détache d’Irène et me retire précipitamment de sa chatte. Je m’empresse remettre rapidement mon sexe dans mon pantalon. Irène s’aperçoit de ce que je faisais.

 

Irène (surprise) : Mais tu fais quoi comme ça???

Moi : Ils vont remettre la lumière !

Irène : Hein ?


A peine sa phrase se termine qu’on rallume les lumières pour éclairer la piste. Irène a eu le réflexe de tirer vite le bas de sa courte robe pour la faire descendre d’un geste vif et rapide sous ses fesses. Je regarde le couple de jeune comme nous et à un deux de nous. Je les sonde pour voir s’ils sont au courant de ce que je faisais à Irène. Mais je vois plutôt que la fille du couple rangeait vite son soutien. J’en déduis que ses seins étaient en dehors pour raison que je devine en voyant également son T-shirt soulevé devant jusqu’au-dessus de la poitrine. Je m’avance vers elle et lui tourne le dos de façon à barrer la vue sur elle pour la cacher un peu. Irène compris et se rapprocha aussi en se mettant de profil. La fille a pu ainsi ranger hâtivement sans attirer l’attention des autres personnes sur la piste de danse.

 

Son mec (en nous regardant) : Merci à vous deux !

Irène (en le regardant en souriant) : De rien ! 

Le mec (en souriant à Irène) : On s’était emportés par l’ambiance.

Moi (en regardant le mec) : Vous n'étiez pas les seuls emportés.

Le mec (agréablement surpris en me regardant) : Ah ! Je vois ça.


Le mec parle en regardant mon pantalon déformé encore par son érection. Irène suit son regard et s’empresse de fermer vite fait ma braguette qui était ouverte. Je ris tout bas pour masquer mon trouble. Je me penche vers Irène et lui parle à l’oreille pour la remettre de son geste. Elle sourit et dit :


Irène (en parlant à mon oreille) : C’était moins une, hein !?

Moi (en la regardant en souriant) : En effet ! 

Elle (à mon oreille) : Mais comment tu as su quand on allait rallumer la lumière ???

Moi: Le changement de musique. 

Elle : Humm ! T’es pas bête, toi !

Moi : LOL !


On se sourit et on danse un peu avant de se sépare du couple quand je tire Irène pour quitter la piste avec elle afin de rejoindre nos places. Je pousse un long soupir en m’asseyant. Je regarde sur ma montre. Il est 2h30 du matin. Il faut que je rentre. J’attends que ma grande sœur, Christiane, revienne de la piste pour s’assoir à notre table. Je lui fais part de mon intention de rentrer chez moi vu l’heure.


Moi (à l’oreille de Christiane) : Je vais te laisser car je dois rentrer !

Elle : Ah, déjà ? Reste encore un peu pour djonker (danser et s’amuser).

Moi : il est 3h du matin. Tu connais mon programme de demain. 

Elle : Hum !

Moi : il faut que je sois en forme pour travailler demain chez ton amie.

Elle : Ok ! Moi je suis encore là !

 

Elle sort 2000 FCFA et me donne pour mon transport du retour. Je la remercie et lui dit au revoir, y ainsi qu’à tout le monde à notre table. Je signale à Irène mon départ. Elle me fait une bise sur la joue et on se quitte ainsi. Je lui promets l’appeler d’ici là pour qu’on se revoit. Elle acquiesce. Je me lève et sors du snack-bar LE DREAM’S. A peine sorti du snack, mon téléphone sonne. Je regarde l’écran et vois l'appelant. C’est Christiane. Je ne décroche pas. Je fais juste demi-tour et je rentre dans le snack.


Moi (en revenant la voir à notre table) : Tu m’as appelé ?

Christiane : Oui ! On a besoin de toi.

Moi: pour ???

La fiancée et grande d’Irène : STP dépose ma petite sœur a Ngodi (quartier de Douala).

Moi : Pourquoi là-bas ??

La fiancée : Sa copine va organiser son anniversaire et elle doit l'aider.

Moi : Humm !

La fiancée : Je profite pour te le demander comme c'est sur ta route.

Moi : OK ! Pas de souci !

La fiancée : Merci !


Irène ne parlait pas. Elle me regardait seulement. Sa grande sœur sort 1000 FCFA et la donne à Irène qui s’est levé pour me suivre. Nous sortons du snack en marchant côte à côte. Je lui tenais par la main. J’arrête un taxi qui passe et donne nos destinations dont le premier le point d'arrêt est à Ngodi. On conclut le transport pour 1200 FCFA. Irène monta après moi. Nous sommes installés sur la banquette arrière du taxi. La rue était déserte à cette heure-ci. Irène et moi ne parlons pas depuis que l taxi à démarrer. Elle était collée à moi et posait ta tête sur mon épaule droite. Elle semblait fatiguée.


A un moment du trajet, je profitais de la pénombre à l’arrière du taxi pour plonger directement ma main gauche dans le décolleté XXL de sa robe. Je me saisis de son mamelon droit que je pétris doucement. Irène lève la tête de mon épaule et me regarde. Je soutiens mon regard face au sien, tout en caressant son sein. Je le sors et titille le bout. Irène lance un regard vers le chauffeur. Celui-ci est concentré à conduire sur la route. Je lâche le sein d’Irène et j’envoie ma main entre les cuisses. 


Irène serre les cuisses et me regarde quand ma main s’insinue sous sa courte robe. Elle me sourit et me fixe en secouant doucement la tête comme pour me signaler son refus. Je ne prends pas son refus pour un refus en voyant son petit sourire en coin qui en dit long. Je connais assez les filles pour savoir qu’elles disent souvent le contraire de ce qu’elles pensent vraiment dans ce genre situation. Surtout quand elles sont face un partenaire de mbinda (baise) ou un gars avec qui elles se font plaisir pour le fun. Mais je me demande si Irène ne fait pas exception. 


Pendant je réfléchis, je sentais la chaleur qui se dégage de son sous-vêtement à quelques centimètres de mes doigts en dessous de sa courte robe qui lui arrive sur le haut des cuisses. Je me dis, intérieurement : « Et si j’osais malgré son refus ? ». J’avance doucement mes doigts à l’intérieur ses cuisses en faisant de petites caresses. Irène me regarde en face et pince doucement ses lèvres, tout en resserrant lentement ses cuisses. Mais le resserrement de ses cuisses n’empêche pas mes doigts d’arriver jusqu’à son entrejambe.


Du bout des doigts, je touche son sexe à travers son string, dernière barrière et dernier rempart pour atteindre mon but. Je suis heureux à cet instant quand je ressens la chaleur et la moiteur de la chate tout près, et cachée là. Je sens un choc dans ses reins lorsque j’appuie du doigt le clito d’Irène par-dessus le tissu du string. Elle resserre d’un coup les cuisses en se mordant la lèvre inférieure de sa bouche alors qu’elle ne me quittait des yeux. Je ne la suis pas insensible excitée et plein d’envie.


J’agite mon doigt dans l’étau de cuisses serrées, dont le but de titiller son clito. Irène se crispe. Elle inspire et expire l’air bruyamment. Sa poitrine se soulève plus rapidement à cet effet, en me donnant une belle vue sur ses seins moyennement gros qui sont largement exposés dans le décolleté XXL ouvrant sa robe sur la poitrine opulente. Sa respiration est plus rapide et saccadée au fur et mesure que je m’évertue à frotter progressivement mon doigt au niveau de son clito pour le stimuler à travers le fin tissu en dentelle de son string. 


Je ne lâchais Irène du regard. Elle pinçait désormais ses lèvres pendant qu’elle essaie de cacher son trouble en serrant fermement sur ma main. Elle me regardait avec un petit air de défi. Je la regardais en souriant grandement. J’aime ce moment complicité et de petit jeu avec elle. J’attendais le moment où elle va fondre ou craquer. C’est toujours un plaisir de voir une femme cédée à mes avances juste après qu’elle a joué la dure par orgueil ou la prude par pudeur. Je me demande quelle expression Irène a quand elle jouit. En tout cas, je prends un malin plaisir à jouer avec elle. 


Du bout mes doigts en contact avec son entrejambe, je frotte de force pour caresser sa chair que ej sens chaude et humide à travers le tissu de son dessous. J’entends émettre un faible gémissement quand j’appuie fort au niveau de son clito. En même temps, elle sursaute se crispe en resserrant les cuisses. Je refais mon geste, et là je le sens reculer son bassin. Son ventre et son bas ventre sont secoués par un brusque tremblement. Irène souffle bruyamment. Je la vois et l’entends se racler de gorge en avalant d’un coup sa salive. 


Elle est troublée mais elle sourit lentement passe la langue sur ses lèvres. Je lui souris et j’appuie mes doigts que j’enfonce dans sa fente avec son string. Irène pousse un petit cri surprise. Et je sens en même temps une nouvelle crispation de son corps un choc au niveau de ses reins. Je me penche vers son oreille droite où je le dis à voix basse d’ouvrir la porte pour que j’entre sinon je défonce la porte. En même temps, je bouge doucement mes doigts sur sa chatte pour bien lui faire passer le message


Je la regarde ensuite dans les yeux en attendant sa réponse. Irène me regarde dans les yeux et lance un coup d’œil vers le chauffeur de taxi puis son regard vient sur mon visage. Je compris qu’elle se retient à cause du taximan. Je parle de nouveau à l’oreille pour la rassurer en lui disant de ne pas faire à attention à lui, qu’il regarde devant lui et non derrière lui sur nous. Je colle ensuite mes lèvres son cou en dessous de son oreille. Je la sens frissonner lorsque je l’embrasse dans le cou. Elle se crispe et se tortille sans repousser mes avances. 


Pendant que je l’embrassais j’écartais doucement sa jambe droite avec ma gauche libre. Irène se laissa faire, tout en subissant mes attaques sur son cou. Je regarde et regarde ma main droite déjà enfouie entre ses cuisses ouvertes mais dissimilées dans la pénombre. Je me penche à nouveau pour lui susurrer des mots doucement à l’oreille.


Moi (à son oreille) : Voyons donc ce qui se cache derrière ce tissu. 


Su ces mots, je repousse sur le côté le tissu de son string barrant sa fente par devant. Irène garde les cuisses ouvertes pendant je caresse et masse tout doucement sa chatte par de petites pressions de du plat de mes doigts. En même temps je recommence à l’embrasser dans le cou. Je sais que nous ne sommes pas seuls dans le véhicule qui nous conduit à notre destination. La présence du chauffeur ne me gêne pas du tout. Je sais qu’il ne fera rien par solidarité masculine même s’il remarque ce qui se passe sur sa banquette arrière. Mais bon, on verra ce qu’il fera quand il nous voit par le rétroviseur.

 

Irène : Hmmmmm !


Irène laisse échapper un faiblement gémissement quand avec un doigt je touche son clito que je caresse intensément. Irène se glisse doucement sur le siège arrière vers le sol et écarte les cuisses. J’introduis deux doigts dans sa fente. Irène gémit faiblement à cet effet. Elle se met à bouger légèrement les hanches quand les doigts introduits encore plus loin s’activent pour fouiller dans le tunnel humide. C’est si bon apparemment pour elle, puisqu’elle gémit à nouveau mais bruyamment. 


Je la doigte alors habilement et rapidement pour la faire jouir mais surtout pour la voir jouir. En la lime sa fente vigoureusement avec mes doigts, je sens les phalanges de mes doigts se mouillent de plus en plus en plongeant dans la fente mouillée. Irène se tortille et me regarde avec la bouche entrouverte qui lâche de son souffle chaud. Sa poitrine se soulève alors qu’elle respire vite et profondément. Je tourne rapidement mes doigts en elle lorsque je sens qu’elle va bientôt exploser. 


Irène ferme les jambes mais sans compter ma main libre lui écarte une jambe pour ouvrir ses cuisses. Mon autre main ne quitta pas mon entrejambe tandis que j’accélère les mouvements circulaires de mes doigts. Je fais ensuite des va-et-vient en frottant fortement le plat de mes doigts sur la paroi supérieure du trou. Je fais un mouvement circulaire du bout de mes deux doigts sur un point de cette paroi. Irène respire fort en se mordant les lèvres. L’expression de son visage change quand elle serre les jambes d’un coup sec. Son bassin tremble brusquement. Elle ferme les yeux et ouvre la bouche en poussant un long soupir. 


Irène : Haaaa ! Hmmmmm…


Je souris en la voyant jouir. Elle jouit en tendant ses jambes et en resserrant ses cuisses que je sen tremblent autour de ma main droite coincée à l’intérieur. J’en profite pour jeter un coup d’œil vers le chauffeur du taxi. Je vois son regard rivé sur nous à travers le rétroviseur au plafond derrière le parebrise l’avant. Il ne dit rien et reporte tout de suite ses yeux sur la route lorsque nos regards se croisent. Je regarde Irène en retirant lentement sa main de ses cuisses. Irène halète et reprend son souffle. Je la regarde tendrement en caressant ses cuisses. Je me penche vers son oreille pour lui parler.


Moi (à son oreille) : Tu as aimé ?

Irène (en me regardant) : Je vais te répondre... mais pas avec des mots.

Moi (surpris et perdu) : Euh… Comment ??

Irène (en ajoutant) : Plutôt avec des gestes.


Profitant que je sois assis sur le siège arrière avec elle, Irène m’enjambe et monte sur moi. Elle écarta légèrement jambes et s'assoit sur mon bassin à califourchon en se tenant face à moi. J'étais étonné qu’elle prenne cette initiative étant donné que nous sommes dans un taxi en circulation. Et en même temps j'étais excité de voir Irène qui agissait de la sorte. Elle prend ma tête entre ses mains et se penche en avant pour m'embrasser. Je réponds tendrement à ses baisers. C’était comme dans un rêve les plus fous pour moi. En même temps, je ne voulais plus que cet instant s'arrête. 


Irène m’embrassai divinement bien comme une déesse. Et moi comme un gamin, je me laissais guider dans ce jeu de bouche à bouche. Puis vient le moment où elle colle son bassin contre le mien et commence à me chevaucher délicatement tout en souplesse. Nous avions toujours nos vêtements respectifs sur nous. On dirait qu’elle dansait sur moi. Je ne comprenais plus rien tellement j’étais emporté dans le feu de l’action. En même temps je kiffais grave sa façon de tourner ses reins et de chevaucher sur moi. 


Et moi j'avais les mains bien agrippé sur ses fesses charnues dénudées quasiment sous la courte robe remonté dans la foulée jusqu’à ses reins. La pénombre à l’arrière du taxi dissimulait la croupe d’Irène. Je voyais le chauffeur du taxi lancer plusieurs coups d’œil dans son rétroviseur pour nous épiez. Il ne roulait pas vite non plus et la route était dégagée. Je tapotais des mains pour ordonner à Irène d’aller vite. Elle se déhanchait et accélérait le rythme de la chevauchée comme si elle s’empalait vraiment sur ma queue. Je bandais déjà dur dans mon pantalon. J’étais bien excité.


Mon bangala était dur et bien tendu mais à l’étroit dans mon caleçon. Façon j'étais grave excité en ce moment, je n'avais qu'une seule envie déchirer sa robe et la pénétrer pour la baiser avec fougue. Irène continuait son déhanché collant sa poitrine généreuse sur mon visage et tout en gémissant dans mon oreille comme si elle prenait du plaisir. Elle était sacrément bonne. Elle m'allumait comme aucune fille ne l’avait fait. Mais soudain elle s'arrête de me chevaucher. Elle revient s’assoir à sa place et tire le bas de sa courte robe sur ses cuisses.


Moi (surpris) : Mais pourquoi tu t'arrêtes ?

Irène (en parlant sensuellement près de mon oreille) : Parce que j’ai finis.

Moi (perdu) : Euh… finis quoi ?

Elle (en me parlant à l'oreille) : De te répondre… avec des gestes.

Moi : Mais pourquoi tu as fait ça ?  

Elle ; Pour le fun ! En tout cas, j’ai aimé. 

Moi : Tu es une sorcière !

Elle : LOL ! Tu as aimé, nor ?

Moi : Bien sûr ! 

Elle : Voilà ! Comme ça tu n’oublieras aussitôt.

Moi : Tu es une sacrée allumeuse (provocatrice), toi.

Elle : LOL ! Tu pensais t’amuser avec moi en étant le seul maitre de jeu, hein ?

Moi : J’avoue, oui !

Elle : Hihihi ! Mais c’était mal me connaitre, JK.

Moi : Pendant un moment je ne te reconnaissais plus. J’étais perdu.


Irène rit tout bas et colle ses lèvres sur les mienne avant de se coller à moi et poser sa tête&é sur mon épaule. Quelques minutes après elle demande au taximan de s’arrêter. Nous étions arrivés à Ngodi, sa destination. Irène paye son trajet et me souhaite bonne nuit avant de descendre du véhicule. Je demande au taxi d’attendre un peu avant de démarrer.


Moi (au taximan) : Attendez un peu ! Je veux m’assurer qu’elle rentre bien.

Taximan : OK !


Je regardais Irène s’éloigner. Elle marchait lentement en prenant une petite entrée. Mais très vite en la voyant partir comme ça en laissant en plan, je dis au taximan sors vite du taxi en laissant la portière ouverte. Je cours vers Irène. Pas question de nous séparer comme ça alors que j’ai le pantalon déformé par une grosse érection. J’étais mal à l’aise dans cet état. J’avais grave envie de baiser et me vider les couilles. Je rattrape Irène et l’appelle. Elle se tourne vers moi et me regarde avec étonnement.


Moi (en lui parlant) : Allons chez moi ! 


Je n’ai même pas attendu sa réponse que je la tirais déjà vers le taxi qui était toujours garé. Elle n’a rien dit et m’a suivi en silence. Je crois qu’elle a compris que je voulais passer la nuit avec pour que nous puissions goûter pleinement nos corps. Nous sommes montés dans le taxi. Moi d’abord, puis elle. Je dis au taximan d’aller à ma destination et je lui propose 1500 FCFA pour le trajet. Il accepte et démarre. Pendant ce temps, j’étais assis derrière le siège du taximan. Irène était assise à mes cotés, au milieu du siège à l’arrière du taxi.  


Moi (en murmurant à l’oreille d’Irène) : J’ai un problème… Je me demande si tu peux m’aider.

Irène (en parlant à mon oreille) : Je peux aider si le problème n’est pas compliqué.


Je prends sa main proche de moi et la dirige vers mon bassin.


Moi (en murmurant à l’oreille d’Irène) : Je me sens à l’étroit… vraiment à l’étroit.


Je lui parlais à voix basse en en posant sa main en même temps sur la bosse de mon érection.


Irène (en touchant ma bosse de mon érection) : Ah, ça !?

Moi (en murmurant à son oreille) : Peux-tu m’aider face à ce problème ? 


Irène ne dit rien. Elle caresse la bosse de mon érection. Puis avec des gestes calculés, elle défait ma ceinture et déboutonne mon pantalon. Elle descend lentement le zip de la fermeture de ma braguette. Elle envoie une main qui se met à fouiller du mieux qu’elle peut dans mon caleçon. Elle empoigne ma queue qu’elle extrait de mon pantalon. Mon bangala se dresse majestueusement une fois dehors. Je souris en regardant mon bijou dans la main d’Irène. Elle avait finalement comprit mon souhait. J’aime son ouverture d’esprit et sa capacité à me faire plaisir.


Le brave soldat au garde à vous est déjà prêt pour le combat et à aller mourir en guerre. Je pousse un soupir de satisfaction quand je sens la main à la paume douce qui empoigne mon membre bien tendu. Irène entame avec sa main un lent mouvement de massage le long de ma queue. L’air de rien, Irène empoignait ma queue qu’elle massait doucement tantôt en la regardant, tantôt en me regardant dans les yeux avec un sourire en coin. Je souris de plaisir en appréciant le massage qu’elle me fait. Elle ne souciait pas du chauffeur de taxi, et moi aussi d’ailleurs. Je me penche vers elle pour lui parler à l’oreille.


Moi (en murmurant à son oreille) : Merci pour ton aide !

Irène (en continuant de me branler doucement) : De rien !

Moi : Hum… Essaie de te rapprocher un peu. Ce sera mieux.  


Sur ce, je lève le bras et pose ma main derrière le cou d’Irène où je fais une pression de la main pour la forcer à se pencher en avant. Je dirige ma tête vers son ventre. Je crois qu’elle a vite comprit car elle me donne un premier coup de langue sur le gland. Chaque coup de langue qui suit me donne un brin de plaisir. Elle me lèche délicatement. Elle lape, elle happe, et je me laisse faire. Affalé contre le siège à l’arrière du taxi, j’haletais. Je savourais ce moment de bien-être sans rechigner. C’est rare de vivre une telle expérience exotique dans un taxi. 


Je m’efforçais de garder les yeux ouverts pour regarder où le taxi allait. Je voulais m’abandonner et garder les yeux clos en profitant de cette caresse buccale qui me plongeait très loin dans le monde des fantasmes… des choses immorales mais si bonnes à vivre. Je regarde la tête d’Irène qui montait et descendait. Sa bouche m’engloutissait ma queue. Elle me pompait doucement. Ça ne faisait qu’augmenter le plaisir que je ressens et qu’elle me donne avec sa bouche. Elle me suçait divinement bien en serrant bien sa main sur la base de ma queue. Et sa bouche s’activait à du côté opposé. 


Irène faisait coulisser ma queue dans sa bouche, en me pompant lentement, avant de la retirer pour mon gland du bout de la langue. Puis elle m’engloutit et me suce activement et rapidement. C’est si bon d’être dans sa bouche. Je sentais qu’elle aimait ce qu’elle me faisait. Je pose ma main droite sur ma tête qui montait et descendait. Je caressais ses cheveux doucement au niveau de la nuque. Je caresse ensuite son cou. Irène lève légèrement la tête et je croise son regard dans la pénombre. 


J’appuie ma main sur son cou pour qu’elle se penche pour me sucer. Ce qu’elle fait docilement en se mettant cette fois-ci à quatre pattes sue la banquette arrière pour pouvoir me sucer avec plus d’agilité. Elle me pompe de plus en plus vite. Elle avait la croupe relevée devant la vitre montée de la portière. Quiconque dehors regarde dans le taxi, ne douterait pas de ce qui se passe sur la banquette arrière. Mais la rue était déserte à cette tardive de la nuit. Je regardais la position d’Irène avant de remarquer le regard voyeur du taximan dans le rétroviseur. Je ne suis pas surpris par son regard.


Je regarde Irène qui me suce comme si sa vie en dépendait. Je regarde sa croupe et j’envoie la main dessus pour caresser les fesses. Je tire sur le tissu de la robe pour la remonter par derrière jusqu’à ce qu’elle arrive sur les reins en exposant complètement le postérieur rebondi d’Irène. Je caresse ses fesses charnues et dénudées. Le taximan avait carrément arrêté son véhicule à un moment. Il a tourné la tête vers l’arrière pour regarder le cul d’Irène orné par son string au niveau du bas du dos. Il me regardait en ouvrant la bouche comme s’il n’en croyait pas ses yeux. Il se ressaisit et regarde la route.


Je souris et donne une claque sur les fesses charnues d’Irène. Irène grogne alors qu’elle avait ma queue dans sa bouche. Elle me chauffait déjà trop ! Si ça continue comme ça, je vais exploser dans moins d’une minute dans sa bouche. Et il n’en est pas question. Je ne veux pas qu’elle me fasse jouir dans sa bouche et refuse ensuite que je la ntouma. Or, je dois la secouer cette nuit et la dominer dans notre petit jeu pour en sortir vainqueur. Tout doucement, je relève sa tête de mon entrejambe. Nos regards se croisent. Elle sourit en essuyant les restes de salive autour de sa bouche du plat de sa main. 


Avec main empoignant ses cheveux au niveau de sa nuque, je tire la tête d’Irène en arrière pour qu’elle retire ma queue de sa bouche gourmande. Irène sort mon bangala de sa bouche et lève les yeux vers mon visage pour me regarder en face. Ses yeux brillaient d’excitation. Je voyais qu’elle avait envie autant que moi. Je l’attire à moi et je l’embrasse. Irène force l’entrée de mes lèvres avec sa langue en répondant à mon baiser. Sa bouche est chaude et humide. Son haleine est celle du goût de mon bangala qu’elle a longuement sucé. Je ne peux qu’en apprécier la saveur. 


Sa main droite est toujours très active sur ma queue. Elle continue à me branler avec lenteur. Je l’arrête et lui murmurant à l’oreille que nous sommes presque arrivé. Elle m’enjambe soudain et vient se placer au-dessus de moi. Sa robe est remontée au niveau de son ventre. Elle s’est assise sur ma queue qui se retrouve collée sur son entrejambe que je sens humide par endroit. Je sens que ça va aller très vite. À peine assise sur moi à califourchon face à moi, elle soulève les fesses, en décollant son bassin du mien. 


Me souriant et ne me quittant pas des yeux, Irène envoie sa main droite derrière elle. Avec sa main, Irène repousse l’arrière de son string avant de se saisir de mon bangala. Elle le positionne en dessous d’elle en présentant mon gland qu’elle frotte sur l’entrée de sa fente. La seconde suivante, Irène s’assoit en laissant échapper un long ronronnement de plaisir lorsqu’elle s’empale sur ma queue qui de ce fait pénètre dans sa chatte et s’enfonce à l’intérieur jusqu’à la garde. La sensation est bonne. 


Irène (en ronronnant) Hmmmmmm. 

Irène (en murmurant en fermant les yeux) : Aaassshh ! C’est long et gros ! 


Les yeux fermés, Irène lève sa main gauche et celle de droite qu’elle colle contre sur le plafond avant commencer à monter et descendre lentement le long de ma queue. Je sens que ça aller très vite. Je saisis chacune de ses fesses rondes dans mes mains et je les soulève en aidant Irène à se hisser vers le haut lorsqu’elle monte tout d’abord lentement, puis de manière un peu plus rapide. Ses reins commencent instantanément à bouger dans tous les sens. Ses gémissements recommencent aussitôt. Son bassin tape contre le mien en même temps que ses fesses sur le haut de mes cuisses. 


Mon corps s’enfonçait dans la banquette arrière qui grince un peu sous la pression et le poids du corps d’Irène chaque fois qu’elle descend lourdement sur moi. Elle ronronne de plus en plus, en respirant bruyamment et profondément. Les sons qu’elle émet sont suggestifs et traduisent ce qui se passe sur la banquette arrière. Ces sons font écho à l’intérieur de du taxi. Le chauffeur roule toujours et je devine qu’il se rince l’œil en mode voyeur. Pendant ce temps, Irène me chevauche soigneusement en s’empalant sur ma queue sans trop monter. Sa tête n’était pas loi du plafond. Elle ronronnait à chaque empalement. Elle se lâche pleinement en ce moment sur moi. De mon côté, je trouvais ça trop bon, encore. Et je sentais que j’étais tombé sur une bonne partenaire de mbinda.

 

A force de voir sa poitrine lourde d’Irène bouger face à mon visage quand elle montait et descendait sur moi, j’empoigne ses seins qui m’émoustillent en bougeant lourdement. J’écarte les pans du décollette XXL de sa robe pour sortir les seins des bonnets qui les contenaient. Ses seins moyennent gros se dévoilent soudain face à mes yeux pour mon plus grand plaisir. D’un geste gourmand, j’attrape ses seins avec mes mains. Chacun des mamelons est tellement gros dans chacune de mes mains qui les soupèsent en les tenants par le contour. Je suce les tétons noirs que je sens durcis dans ma bouche. Je les lèche du bout de ma langue que je fais tournoyer ensuite dessus. 


Je mords un téton et cela provoque une crispation du corps d’Irène. Elle pousse un cri dans un gémissement de douleur et de bonheur. Je suce ses seins et mordille un peu ses tétons. Je m’occupe de ses seins pendant que nous sommes toujours soudés l’un à l’autre. Irène continuait entretemps sa chevauchée. Elle murmurait aussi des mots en haletant, pour exprimer son plaisir et dire qu’elle aimait ça. Je sentais que son plaisir ne cessait de grandir. J’en étais fier. Je la sentais se contracter de temps en temps en s’empalant lourdement sur moi. Je ne savais pas trop si elle avait déjà jouit. Mais 


A un moment, j’ai constaté que le taxi roulait à Ngangue, mon quartier. J’ai dû arrêter Irène dans sa chevauchée et la repousser doucement pour la faire descendre de mon corps. Elle s’est résignée arrêter quand je lui ai aussitôt dit où nous sommes. Elle abaisse sa courte robe sur ses cuisses pendant que je range vite mon bangala encore dur dans mon pantalon que je ferme ensuite. Je dis au taximan où il devait s’arrêter pour nous déposer. Il nous dépose devant la barrière d’une concession voisine où se trouve une entrée conduisant chez moi. 


J’ai payé le trajet qui était tranquille. J’ai même donné 2000 FCFA au lieu de 1500 FCFA au taximan. Il n’a rien dit et a prit son argent. Mais je voyais comment il regarde toujours Irène intensément. Elle était assise avec une main glissée entre ses cuisses qu’elle avait fermées. Je vois bien qu’Irène plait au taximan. Je souris et fais signe à ma belle en noir de descendre de la voiture. Ce qu’elle fait sans rechigner, un sourire aux lèvres. Je suis descendu après Irène et je ferme la portière arrière du taxi. J’attrape Irène par la main. Elle se colle a moi en serrant mon bras. Elle marche avec moi en silence pendant que nous prenons la petite entrée qui conduit jusque chez moi.


********

A suivre !

NB : +100 likes sur ce post = 1 suite. +200 likes = 2 suites. +300 likes = 3 suites.

Likez et commentez. Taguez un(e) ami(e). Partagez aussi !

Report Page