Camer

Camer

V

Chronique de JK :

– MA VIE DE CAMER – 

Episodes 03 et 04

______


Je finis de verser dans la chatte d’Ashley. Je soupire de bonheur car ça fait du bien. Je reste planté en elle quelques secondes, le temps souffler et me remettre de mes émotions. Hum, ça fait du bien de mbinda (baiser) après des mois sans faire. A cette pensée, je souris. Sourire béat, je me retire d’elle et lâche Ashley. Elle resta immobile, penchée et couchée sur la table, avec les jambes écartées et les pieds au sol. Elle haletait, et je sentais qu’elle était épuisée après l’encaissement de mon bangala et les coups de reins hostiles qu’elle a subit. Je vais dans ma chambre où je trouve de quoi nettoyer mon bazouzou, vite fait, bien fait. 


Je range ma queue dans sa cachette en remettant mon boxer et mon pantalon. Je reviens m’assoir sur un de mes fauteuils. J’avais un peu mal au dos et j’étais épuisé après avoir déchainé la fureur de mes reins. Ashley n’avait pas bougée de la table. Finalement, elle s’est redressée et s’est tournée vers moi. Ce qui me frappe tout de suite est ses yeux rouges avec lesquels elle me regarde. Ses joues sont marquées par des traces de larmes qui ont coulées de ses yeux. Ça se voyait qu’elle avait pleuré. J’ai soudain un pincement au cœur et voyant sa mine malheureuse. 


Elle faisait pitié à voir. J’ai un pincement au cœur à cet instant en me sentant coupable. Je regrettais l’acte que je venais de poser. Mais c’était sous l’effet de la colère face à ses injures. Je fuis son regard. J’évite son regard qui me faisait de la peine et me rappelait que j’étais allé trop car je réalisais que je l’avais violé après l’avoir un peu battu en quelques sorte. Au bout de 2 minutes passée à me regarder sans rien dire, Ashley brisa ce silence pesant et gênant pour moi. 


Ashley (en me regardant) : JK… Tu sais ce que tu viens de faire ? 

Moi (en évitant de la regarder) : Ashley je…

Ashley (en me coupant la parole) : Tu es content après m’avoir violé ?

Moi : Désolé pour ce que j’ai fait. Ce n’est pas bien, je le reconnais. 

Ashley : Ce n’est pas bien, mais tu l’as quand même fait.

Moi : Je l’ai fait parce que tu m'as poussé à bout, en me traitant de pédé et de tout.

Ashley : Je t’ai traité de la sorte parce que tu m’énerves.

Moi : Comment ça je t’énerve ?

Ashley : Tu ne veux pas me donner mon argent.

Moi : Ce n’est pas « je ne veux pas ». Mais plutôt « je ne peux pas » en ce moment. 

Ashley : C’est ça !

Moi : Toi tu m’insultes pour 5000 FCFA que je te dois encore.

Ashley (en toisant) : En tout cas, je vais te porter plainte pour viol.

Moi : Ok ! Tu es libre de me porter plainte. 

Ashley : Je le ferais.

Moi : Fait-le ! Je vais répondre de mon acte. 

Ashley : Ok ! Où sont les toilettes ? Je veux uriner.


Je lui indiquais la porte à côté. Ashley entre et s’enferme pour faire son besoin. Je restais à cogiter. Je cherchais un moyen de convaincre de ne pas me porter plainte. Je n’ai pas envie d’aller en prison. Car là-bas on va me violer et me casser le cul en me sodomisant. Quelques minutes après, Ashley revient au salon. Elle avant remit de l’ordre sur sa tenue. Elle ramasse son string déchiré qui gisait au sol. Je lui barre le chemin lorsqu’elle se dirige vers la porte de sortie. Elle me regarde avec étonnement avant de froncer les sourcils en soutenant son regard face au mien.


Ashley (avec la mine renfrognée) : Pourquoi tu me barres la route ?

Moi : Euh… Tu peux rester un peu ? J’aimerais qu’on cause.


Je lui propose de rester. C’était la seule solution que j’avais trouvé pour tenter de négocier avec elle pour qu’elle ne porte pas plainte contre moi pour viol. On se jauge du regard. Du haut de ses 1m75, Ashley soutient son regard face au mien. Je lui domine la taille en m’imposant grâce à mes 1m88. 


Ashley (sur un calme mais ferme) : Non ! Je dois partir.


J’avais peur qu’elle parte comme ça. Je crains qu’elle aille porter plainte et revient ici avec la police.


Moi (en la suppliant): Ashley STP je...


Sans même laisser finir ma phrase, elle me coupe la parole en me grondant.


Ashley (en haussant le ton) : JK laisse-moi partir ! Sinon tu vas le regretter. 


Elle m’a lancé un regard noir, hum ! Un regard qui veut dire « tente moi et tu verras la folie ». Ce qui m’a dissuadé de discuter avec elle. C’est la première fois que je la vois me regarder ainsi. Je sentais que si je la retenais chez moi, je risquais d’aggraver mon cas. Je craignais qu’elle fasse un scandale. Je me suis écarté et Ashley est sorti parti sans me regarder et dire un mot. Je regarde partir jusqu’à ce qu’elle disparaisse de mon champs de vue. Je vais m’assoir sur mon canapé et me tient la tête en poussant un soupir de dépit. 


Je réalise que c’était une grosse erreur de la violer. Bon, c’est vrai qu’elle a prit son pied. Mais c’était sous la contrainte d’un rapport qu’elle n’a pas consenti. Ça reste quand même un viol si elle-même le dit à la police. J’aurais dû me limiter à la fessée pour la punir de sa sauvagerie. Je laisse échapper un autre soupire de dépit et je me couche le long de mon canapé. Je fixais le plafond, essayant de penser à autre chose. Bizarrement j'étais calme et tranquille. Sans m’en rendre compte, je m’assoupis. Je me suis réveillé peu après par la faim. J'avais vraiment faim.


Mon estomac gargouillait. Mince ! Je n’avais rien mangé depuis hier soir. Je n’avais rien à me mettre sur la dent. J’ai juste 500 FCFA que je tentais d’économiser pour un usage ultime. Je dois retrouver Christiane, ma grande sœur, chez elle à 21h. En attendant, je dois manger. Je me suis mis à réfléchir: le transport de chez moi pour me rendre chez ma grande sœur c'est 400 FCFA en taxi. Il me reste 100FCFA. Je vais réduire la distance en marchant un peu avant de prendre le taxi pour 300 FCFA. Avec les 200 FCFA que je retire donc, je vais m'acheter un pain de 125 FCFA, un morceau de beurre de 25 FCFA, un chocolat Mambo de 50 FCFA. 


Comme chargement après mangé, je vais boire beaucoup d'eau pour gonfler l’estomac. C’est sur cette résolution que je me suis levé du canapé pour aller prendre mon capital-intérêt (ce qui me reste comme argent). Je sors de chez moi après avoir fermé la porte à clé. Je me dirigeais chez chez le boutiquier lorsque je croise en chemin Éric, un grand du quartier avec qui je fais souvent du busness.


Moi (en l’abordant) : Grand Eric bonjour ! 

Eric (en me regardant) : Bonjour mon petit JK ! 

Moi : Tu m'as mis au petit vélo (tu m’as donné un faux rdv) ?

Eric : Le business n'a pas encore été payé. Voilà pourquoi je ne t’ai pas fait signe.

Moi (déçu) : OK ! Juste que je compte sur ça ! Je suis bien foiré.

Eric : Hum !

Moi : Voilà mon capital intérêt… 500 FCFA.


Sur ce, il me dit plus rien et moi aussi. Je passe ma commande et le boutiquier me sert. Lorsque je quitte la boutique je tombe sur Eric qui m’accoste sur place. 


Eric : Mon petit, bon prend même les 2000 FCFA en attendant si tu arrêtes ta poche.

Moi (souriant et prenant l’argent) : Merci beaucoup, grand ! 


Ouf ! Dieu est grand ! Quel soulagement ! Je retourne directement chez le boutiquier. Rapidement, je pense faire un Orange Money 2000 FCFA à Ashley pour lui faire une avance sur son remboursement. Ça pourrait adoucir son cœur pour éviter qu’elle me porte plainte. Mais façon j’ai faim, on dirait qu’il y a coup d’état dans mon estomac, je pense qu’il est préférable que je mange pour prendre assez de force. Donc au lieu de faire l’Orange Money, j'achète un demi-parquet d'œufs. C’est 900 FCFA. 


J’ajoute une boite de sardine tomate de 400 FCFA, un cube Maggi poulet et autres. Je go (je vais) buy (acheter) un bobolo (un bâton de manioc) de 300 FCFA chez la vendeuse de bobolo qui se tient non loin. Je rentre chez moi tout content. Je mangeais mon pain dans la bonne humeur. Je bois mon eau. Puis, j'allume ma télé écran plat 32 pouces. Je branchais ma clé USB et j’accédais à contenu depuis l’écran de ma télé. Je sélectionnais une série : The walking dead saison 10. 


Je visionnais tranquillement le premier épisode en mangeant mon chocolat Mambo. Au bout du deuxième épisode, j'ai encore faim. Je souriais vu que j'avais encore de quoi mangé maintenant. Lorsque je me lève en songeant couper le bobolo pour manger ça avec la boite de sardine, on cogne sur ma porte que j’avais fermée. Je n’attends personne. Je vais me placer derrière la porte et je parle :


Moi : C’est qui ? SVP !

La voix derrière la barrière : JK ouvre. C'est moi.

Moi (en reconnaissant la voix) : Hein ? Ashley c’est toi ???

Elle : Oui c'est moi ! Ouvre !


Ashley comment ? Elle est seule ? Ou bien elle est venue avec la police ? Je pesais plus à la dernière hypothèse. Eeeh haaa, maman sarah ! Je suis foutu. Je ne voulais pas ouvrir la porte pour me livrer. Mais cela ne servirait à rien puisque la police pouvait défoncer la porte pour venir me prendre de force. Ce qui devait arriver est arrivé. J'ai pris une profonde respiration pour me calmer mais je transpire tellement j’ai peur de me faire arrêter par la police. Mais bon, j'étais calme. J'ouvre la porte doucement. Je vois Ashley. Je remarque qu’elle est seule. 


Et sans même attendre mon autorisation, Ashley fonce vers moi et me dépasse en me bousculant un peu. Je l’ai laissé entrer. Elle est allée s’assoir directement sur un de mes fauteuils. En s’asseyant elle croise sa jambe gauche au-dessus de celle de droite. Je placement de ses jambes met en évidence sa cuisse gauche largement découverte sous sa jupe courte qu’elle porte et qu’elle portait également en partant de chez moi. D’ailleurs elle n’a pas changé d’habits depuis son départ il y une heure. 


Je me demande où elle était et d’où elle vient. Je ne pouvais que suivre Ashley. Je dirige vers elle en lançant un regard sur sa cuisse gauche croisée en haut de la cuisse droite. Je mate un peu ses jambes que je vois un peu de face et de profil. Je viens me placer devant Ashley. Mes yeux ne rate pas l’occasion de montrer une vue sous la cuisse gauche relevées bien haut et fermée stratégiquement de façon à dissimuler l’entrejambe sous la jupe courte arrivant en bas au-dessus des cuisses. Je me racle la gorge en regardant son visage alors qu’elle a les yeux rivés sur l’écran de ma télé.

 

Moi (la voix tremblante) : Ashley…


Elle tourne la tête vers moi. Son visage est sans expression. Ça m’inquiète. 


Moi (intrigué) : Pourquoi tu es venu ?

Elle : tu as dit que tu devais répondre à la police

Moi: Euh… oui !

Elle: Et tu ne regrettes pas ce que tu m’as fait ???

Moi (prenant un air fier) : Même si je regrette, ce qui est fait est fait. 

Elle : Tu sais que tu as jouis en moi, nor ?

Moi : Euh… Oui ! Mais pourquoi tu me parles de ça ?

Elle : Parce que « bébé JK » tu vas être en téléchargement dans mon ventre.


Là je réalise qu’elle parle de la grossesse. Je n’avais pas pensé à ça. Maintenant qu’elle en parle j’ai peur de l’avoir mbélé (engrosser) en abusant d’elle. Je commençais à transpirer.


Moi : Euh… Tu veux dire que tu es enceinte ?

Elle : C’est fort possible ! Si c’est confirmé, tu feras quoi ?

Moi : Hum… Je vais juste assumé.

Elle (étonnée) : Tu n'as même pas l'argent pour me rembourser 5000 FCFA dans les meilleures délais.

Elle : Et tu dis que tu vas assumer une grossesse qui coute plus de 5000 FCFA. Mais comment ??

Moi (perdu) : Hum, je ne sais pas trop. 

Elle : Humm !

Moi : Mais chaque problème à une opération puis la solution

Elle : OK c’est ça !

Moi : Tu as portez plainte ?

Elle : Pas encore ! Mais c’est prévu.


Je poussais un soupir de soulagement à l’écoute de sa réponse. Au même instant, elle ouvre un petit sachet de pharmacie qu’elle avait apporté et que je ne remarque que maintenant. Elle en sort une boite de médicament. Elle l’ouvre et extrait la plaquette qui ne contient qu’un seul comprimé à mon grand étonnement. Je prends la boite du médicament qu’elle a posé sur ma table basse. C’est marqué Norvelo. Je ne connais pas ce médicament. Pendant ce temps, Ashley avale le comprimé et boit une gorgée de mon bocal d’eau posé sur ma table basse. 


Moi (étonné) : C’est quoi ce médicament-là ?

Elle : La pilule. 

Moi (perdu) : Pourquoi tu bois ça ?

Elle : Pour m’éviter d’être enceinte d’un pauvre type, voyou, pédé, violeur.


Je souris en écoutant sa réplique. Je pousse un ouf de soulagement en comprenant tout.


Moi (changeant de sujet) : Bon, j'ai vraiment faim. 

Elle : C’est ça !


Je laisse et commence à me préparer à manger sous le regard d’Ashley. Je prends un bol, je coupe mes oignons dedans. J'écrase mon cube Maggi. Je casse mes 6 œufs dans le bol où j’ajoute les 2 morceaux de poisson de la boite de sardines que j’ai ouvert. Je remue le tout avec la fourchette pour le mélange avant de passer à la cuisson dans poêle. Ashley vient compter les coquilles des œufs cassés.


Ashley (étonné) : Massa !!! 6 œufs pour un homme !! Yeuch !

Moi (souriant) : Ouais !

Elle : Eeeh haaa ! 

Moi : Je te fais aussi pour toi !

Elle (un peu surprise) : Euh… Pourquoi pas !


Je fais mon omelette à 6 œufs. Puis une autre omelette de 3 œufs pour Ashley avec le denier morceau de poisson restant de la boite de sardine. Je posais les plats sur la table, face à elle. Je vais détacher mon bâton de manioc que je coupe en morceau que je tranche en deux sur le côté. Je mets les tranches de morceau de manioc dans une autre assiette que je viens poser à coté de nos plats encore fumants. Je lui tends une fourchette qu’elle prend. Je prends mon plat et la regarde en souriant.


Moi (en souriant) : Bon appétit !


Je mange aussitôt mon plat. Ashley me regardait avec stupeur. Je ne la gère pas. 


Moi (en mangeant) : Mange stp ! Je n'ai pas fait ça pour que tu ne manges pas.

Elle (en picotant dans son plat) : Humm ! 

Moi : Je n’ai pas autre chose d'extra à t'offrir à manger.

Elle : Pourquoi tu te prends trop la tête ?? Je sais que tu n'as rien ! 

Moi : Lorsque je te parle tu réponds en te mettant sur la défensive. Tu me parle comme si tu me méprises. Tu fais ça pourquoi ??

Elle (en souriant en coin) : Parce que tu es trop.

Moi (stupéfait et confus) : Hein ? Comment ça je suis trop ??

Elle : Tu aimes te vanter. Comme lorsque tu disais pouvoir « assumer » alors tu ne peux pas.


Je pose mon assiette sur ma table et la regarde. 


Moi (en la regardant) : Ecoute Ashley ! Je ne me vantais pas quand je disais que je vais assumer. 

Elle (en me regardant avec un air peu convaincu) : Humm ! 

Moi : Je suis franc et simple. 

Elle : C’est ça !

Moi : A cause d’une petite dette que j’ai envers toi tu en fais tout un problème jusqu’à sauvager. 

Elle : Lep (laisse ça) ! Façon tu étais bien habillé le soir de notre rencontre au snack tu donnais l’impression d’avoir l’argent. 

Moi : J’avais 2000 FCFA sur moi.

Elle (surprise) : Tu ne peux pas venir bien habiller au snack alors que tu n'as que 2000FCFA. Et tu bois juste 02 bières lorsqu'on t'offre même.  

Moi: Ashley mon corps ne supporte pas la bière. A plus de 2 bières, je suis déjà saoule. Donc au snack je ne voulais pas boire. J'ai juste pris le jus naturel. 

Elle (amusée) : Vrai ça ?? 

Moi : Vrai ! Demande à Fabien (un ami en commun), il te dira. 


Je reprends mon plat que je mange en remplissant ma bouche.


Elle: Mais comment tu fais pour vivre ici ? ?? Alors que tu manques d’argent. 

Moi : Je me débrouille avec ce que je trouve et je fais avec. J'évite les dépenses inutiles.

Elle : Ok ! Pour un pauvre tu sais bien t’habiller.

Moi : Ma chemise blanche de ce soir-là au snack, je l'ai acheté à Ndokoti (quartier de Douala). C’était à 500 FCFA. J’ai vu ça avec un vendeur que j’ai vite stoppé pour acheter alors que j’étais dans le taxi avec ma grande sœur dans un embouteillage. Puis j'ai cintré la chemise à 200FCFA.

Elle (étonné) : Yeuch ! 

Moi : Mon pantalon que je portais au snack c’est celui de mon beau-frère. 

Elle : Eeeh haaa ! T’es sérieux là ?

Moi (la bouche pleine) : Très !

Elle : Humm !

Moi : J'ai juste remis le pantalon là à ma taille chez le couturier pour 300FCFA. Et j'avais juste 2000FCFA que ma grande sœur m'a donné. 

Elle: Ah ça !

 

On mangeait et je répondais calmement à ses questions. Après ça, je parle Ashley de mon programme du soir avec ma grande sœur. Elle me dit OK. Elle change de sujet en revenant sur son argent.


Ashley : Il faut me remettre mon argent lundi quand je t'apporte ma plainte.

Moi : OK


Elle ne dit plus rien et moi aussi. Elle se lève et prends nos assiettes sur la table basse. Elle se retourne et marche en remuant les fesses dans sa jupe courte. Je la regarde aller déposer nos assiettes à la cuisine. Je la regarde et je me dis « Wahou ! Cette fille est bonne » malgré son caractère sauvage. Aje la revenir vers moi. Je lance un coup d’œil sur ses seins bien dodu et comprimés dans son petit haut décolleté fermé par un bouton sous les seins. J’imaginais Ashley nue dans mon lit en train de gémir. Je souris à cette pensée. Je sens mon bangala durcir et se tendre dans mon pantalon. Sous une impulsion, je me lève et j’attrape Ashley par derrière lorsqu’elle repartait vers la cuisine avec nos verres. Je la tiens directement par la poitrine et je pétris ses seins avec vigueur.


Ashley (en criant) : Eh ! JK tu fais quoi ?? Laisse-moi !

Moi: (murmurant à son oreille) : Même si tu cris, personne va venir.


Et je collais mon bassin contre ses fesses pour lui faire sentir mon érection.

 

Elle : Tu veux encore me violer ?


Je ne lui réponds pas. Je retourne Ashley pour qu’elle soit face à moi. Elle pousse un petit de surprise en se retrouvant brusquement retournée. Elle manqua de lâcher les verres qu’elle avait en main. Ashley se tient debout, immobile. La bouche ouverte, elle est étonnée par ce qui se passe à l’instant. Je déboutonne son T-shirt en geste rapide. Elle ne pouvait rien faire, à part un mouvement de recul. 


Elle recula lorsque j’ai ouvert son T-shirt d’un coup en faisant sauter le bouton sous les seins bien dodus. Ces derniers se dévoilent une fois libérés. Je fonce vers elle et me jette sur sa poitrine. J’attrape chaque sein que je presse par les contours. Je suce ses seins par le bout que je mordillais un peu aussi. Ashley se débattait mais j'étais plus fort. Je soulève sa jupe d’un coup pour empoigner ses fesses. Elle était nue sous la jupe et n’avait pas de culotte. J’avais déchiré son string. Je caressais, pétrissais et massais ces fesses en l'embrassant sur son cou. Elle se laissait un peu faire mais se ressaisissait aussitôt.


Ashley (en se débatant) : Laisse-moi ! Haaa… Haaaa !


Je pétrissais ses fesses durement. Puis, je mordais son cou, l’arrachant un petit cri de douleur. Je descendais sucer ses seins avidement. D'un coup brusque je soulevais du sol et la pose assise sur le bord de ma table. Je recule et j’abaissais mon pantalon après l’avoir ouvert rapidement devant les yeux d’Ashley. Elle ouvre la bouche et écarquille les yeux lorsqu’elle voit mon troisième pied, mon sexe moyennement long mais gros. J’étais tendu et dur, bien excité. Je m’approche d’elle et elle tend les mains devant en guise de défense. 


Elle (en me repoussant avec ses mains) : Nooonnnn !! Je ne veux pas ! Haaaaa !


Elle pousse un cri en terminant sa phrase juste au moment où j’écarte ses cuisses de force. Je vois son entrejambe nu. Je le la tire d’un coup vers moi par ses cuisses que je place au niveau de mes reins. Bien placé dans le compas de ses jambes qui s’agitait quand elle se débattait. Je force la pénétration malgré les coups qu’Ashley me donnait en me frappant avec ses mains. Je reste concentré sur objectif. Je la pénètre et m’insinue en elle d’un coup jusqu’à la garde. Ashley crie et se cambre en me recevant elle.


Elle (en criant) : Haaaaaaa !!! Pourquoi ??? Pourquoi moi??? Haaa ! Haaa ! Haaa ! 


Je commençais des mouvements de va-et-vient rapide, l’arrachant des cris. Sa chatte n’était plus trop étroite. Je la baisais avec rage, cognant mon pubis contre son pubis. La pénétration était profonde et devenait plus facile avec la mouille qui lubrifiait l’intérieur de sa chatte. J'allais de plus en plus vite avant de ralentir et m’arrêter. Je me suis retiré d’elle. Ashley me regarde en face. Je lis sur son visage la stupeur, l’inquiétude et le questionnement. Elle baisse les yeux et regarde ma bite, toute luisante de son jus et bien dressée. 


Je la fais descendre de la table. Je la tire de force pour l’entrainer dans la chambre. Arrivé avec elle dans ma chambre, je réussis a enlevé la jupe d’Ashley sans qu’elle me repousse ou s’y oppose. Elle semblait désormais résignée à se laisser faire jusqu’au bout. Je jubile intérieurement. Il ne lui restait juste son T-shirt ouvert sur la poitrine, exposant une paire de seins aux bouts dressés. Je tends mes mains, tout droit vers ses seins. Ils sont tellement beaux avec les aréoles sombres et les tétons dressés. 


Ashley me regarde durant ma contemplation de ses seins. Je vois son inquiétude et son attente de la suite. J’attrape doucement un de ses tétons et je le pince doucement avec deux doigts. Il est déjà bien dur. Tout comme l’autre. Je pince les bouts de ses seins. Ashley frissonne sensiblement en s’appuyant plus fortement sur moi. Elle pousse des petits gémissements suggestifs au fur et mesure que je triture ses seins avec mes mains. Je lâche ses seins et la repousse doucement pour la regarde haleter. Je vois Sa poitrine se soulève dans toute sa splendeur au rythme de sa respiration bruyante.


Moi (en la regardant) : Tes seins sont durs et ils sont beaux. Ils ne demandent qu’à être chouchouter par un homme comme moi.

Ashley : Tsuiiiips !


Ashley froisse le visage et tourne la tête pour regarder ailleurs. Je la vois pincer doucement ses lèvres et sourire en coin. Je me penche vers son sein droit pour attraper un bout. Je tête et mordille un peu son sein avec envie, la main agrippée sur l’autre. J’attrape le sein par la base. Je souris en pinçant le bout entre mes lèvres. Il est petit, mais gouteux à souhait. Je le savoure, puis je passe au suivant. Je guette le sein couvert de ma salive en dévorant ce bout qui fait gémir Ashley qui essaie en vain de réprimer l’excitation qu’elle ressent. L’excitation lui fait trembler et contracter le ventre. J’entends les petits gémissements qu’elle émet doucement alors qu’elle tremble de plaisir. 


Je l’ai tiré ensuite vers mon lit où je me couché avec elle la forçant à se mettre à quatre pattes et à califourchon sur moi. J’avais ses seins devant mes yeux. Je la demande de s’empaler sur ma bite. Aussitôt dit, aussitôt fait. Et là, je me charge du reste. Je lève et abaissais mon bassin, et vice-versa, pour lui donner des coups de butoir de plus en plus fort et vite. Je la lime ainsi. Sentant mon bassin cogner forte et rapidement contre le sien, elle sursautait. Ashley partait en vrille et criait : 


Elle (en criant) : Haaa ! Nooonnn… Haaaaaa... Putain... Haaaaa ! Haaaaa ! Haaaa ! Haaaa !


J’avais fermé mes bras autour de sa taille pour l’immobiliser à quatre pattes au-dessus de moi pendant que je la prenais. J’étais heureux de l’entendre crier en lâchant des « Haaaa ! » quand je pénètre violemment en elle en soulevant et poussant fort mon bassin vers le sien. C’est si bon d'aller plus vite en limant sa chatte où je ressentais les va-et-vient de mon bangala. Puis j'ai retourné Ashley. Elle se retrouve en dessous de moi avec mon sexe toujours en elle. Je la regarde dans les yeux, elle aussi. 


J'embrasse son cou et je lui dis à l’oreille tous sorte de mots doux que les femmes aiment entendre quand on les fait l’amour au lit. Je la prenais doucement en missionnaire. Elle s’agrippait à moi et ronronnait doucement. J'allais et venais doucement en elle, en suçant ces seins. Puis, après avoir relevé ses cuisses vers ses seins, j’ai repris mes vas et vient qui se sont accélérés. J’ai commencé à la baiser rapidement. Je la pilonnais, l’arrachant des cris entre douleur et plaisir.


Ashley (en criant) : Haaaa.... Oh ouiiiiiii ! Aïe ! Haaaa ! Ouiiiiiiiii ! Tue-moi, woo ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa ! Haaa !


Plus je la baisais fort en missionnaire avec rage, plus elle criait en lâchant des « Haaa ! ». J’arrête et retourne Ashley pour la prendre à cheval. Je le culbutais tellement fort qu’à un moment elle s’effondre en jouissant dans un cri de désespoir qui résonna dans toute la chambre. Elle couche sur le lit et moi sur elle en me positionnant comme si je m’apprête à faire des pompes. Sauf que je baisse mon bassin en le projetant contre la croupe d’Ashley. Je baisais plus fort à plat ventre, en faisant des mouvements de va-et-vient et de pilonnage plus rapide.


Ashley : Continue plus fort ! Haaa ! Haaa ! Aïe ! Aïe ! Non ! JK... Arrête... Oh ! Haaa ! Ça vient ! Ouiiiiiiiii !  


Ces cris me motivaient. Je baisais encore plus fort.


Ashley (en criant) : Mince ! JK tue-moi ! Oui woooo... Ouiiiiiiiiiiiiiii ! Aaaaaaassssshhhh !


Sur ses cris, je la sens se contracter et trembler en criant. Me sentant venir, je retire et j'éjacule sur le bas de son dos et ses fesses. Je me laisse tomber sur le lit. Elle était fatiguée. Et moi encore plus. 


********

A suivre !

NB : +100 likes sur ce post = 1 suite. +200 likes = 2 suites. +300 likes = 3 suites.

Likez et commentez. Taguez un(e) ami(e). Partagez aussi !

Report Page