Camer

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V

Chronique de JK :

– MA VIE DE CAMER – 

Episode 02

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Ashley entre dans mon salon. Elle s’arrête pour regarder autour d’elle. Il n’y a pas grand-chose au salon. J’avais 2 fauteuils fauteuil d’une place + 1 fauteuil long (canapé) de 3 places. Mes fauteuils sont en bois avec des coussins emballant de l’éponge. J’ai une table basse en bois au milieu des fauteuils. Un petit meuble télé était dans un coin du salon et sur lequel se trouvait ma petite télé écran plat 32 pouces. J’ai une table haute avec 4 chaises, le tout est bois. Bref, je vis avec le strict minimum. Je suis un gars qui a grandi dans la pauvreté et qui se contente du peu qu’il a.  


Ashley (en me regardant) : Donne-moi mon argent !


Je poussais un soupir de dépit avant de lui dire pour la énième fois que je ne lui donnais rien car je n’avais rien à lui donner en ce moment. Je lui priais de patienter jusqu’à lundi. Mais elle ne l’entendait pas de cette oreille. Elle me parlait fort et tous genres d'insultes passaient. Je restais calme et l’écoutait parler avant d’intervenir : 


Moi (intervenant) : Arrête de me dire ça. STP !

Ashley : Non ! Tu n'es rien ! Vaurien ! Pédé ! Escroc !


Je me suis directement placé face à elle. Je fronce les sourcils et la regarde durement.


Ashley (en me dévisageant) : Tu vas me faire quoi hein ? 


Et PAF !!! Sa main s’abattait sur ma joue droite. Puis, PAF !!! Je reçu une deuxième gifle sur la joue gauche. Je n’étais pas du genre à lever la main sur une femme sinon j’aillais déjà la frapper.  


Moi (en fronçant les sourcils) : Arrête ! Pourquoi tu me frappes ?

Ashley : Parce que tu es un sale type ! Tu n’es pas un homme. Sale pédé ! Faible ! Impuissant !


Ces paroles m’offensaient et m’énervaient franchement. Je l'attrapais et la bousculais en le retournant d’un geste vif. Elle poussa un cri de surprise. Elle se débattait en vain me criait de la lâcher. Collé étroitement contre son dos, je sentais son odeur féminine… un parfum qui m'emporta hors de moi. Je n'ai jamais humé une telle odeur, une flagrance de fleurs et de fruits. Ashley sentait vraiment bon. Cela m’émoustillait. Je la pousse à se coller contre le bord de ma table haute. D’une pression brusque de mes mains sur son dos suffit à faire se pencher en avant jusqu’à coller sa poitrine sur ma table. 


Je soulevais sa jupe d’un geste Ashley vif et la remontait sur ses fesses. Ashley luttait et tenta d’abaissait sa jupe sur ses fesses. Mais je l’en empêchais en attrapant ses mains. Je croisais ensuite ses bras dans son dos et je les tenais fermement par une poignée ma main gauche. Ashley se débattait et tentait de se redresser, mais sans succès. Je le la tenais bien et l’appuyait contre la table avec une seule main (celle qui bloquait ses bras croisés dans son dos). Elle ne faisait le poids face à moi. 


Le rapport de force entre elle et moi dans la situation actuelle était en ma faveur. Je la tenais à ma merci. J’ai une certaine corpulence qui favorise ma force physique. Je suis ni mince, ni gros. J’ai deux gros bras assez fort que j’utilise souvent pour le travail manuel que je fais comme boulot. En plus je fais de la musculation de temps en temps pour être au top physiquement. Coté physique, je suis baraqué (costaud/musclé) comme l’acteur afro Michael B. Jordan, mais sans les tablettes de chocolat sur le ventre, lol. Sinon j’ai un ventre plat et un peu balonné.


Maitrisant Ashley, avec ma main gauche attrapant ses bras croisés de force dans son dos, je me décalais sur le côté gauche de son corps plaqué sur la table. Je me retrouvais face au côté gauche de son postérieur tendu en arrière dans le vide. Sans lâcher ses bras croisés et appuyés de force dans son dos, je fais descendre la jupe collante d’Ashley sous ses fesses avec ma main droite libre. Je laissais sa jupe descendue jusqu’aux chevilles. Ashley se mit crier fort pour appeler les gens à l’aide. J’attrapais vite la télécommande de ma télé pour augmenter le volume e la musique qui passait en fond sonore. Elle pouvait crier, personne ne l’entendra.


Je regardais les globes de ses fesses un peu charnues orné au-dessus par l’arrière d’un string jaune ficelle. Je sens ma bite devenir dur. Je suis vraiment excité à cet instant et j’ai envie de mbinda (baiser). L’occasion était trop belle pour ne pas satisfaire ma libido. Mes occasions de mbinda se font rares depuis que je suis au chômage. Je comptais ntouma (baiser) la fille-ci pour lui prouver que je ne suis ni impuissant et ni pédé (homosexuel). Bref je vais lui montrer que je suis un VRAI garçon, capable de lui faire des choses qu’elle n’imaginait même pas. Mais d’abord, je dois lui donner une bonne correction. 


Je levais ma main droite et la projetais pour frapper sur les fesses d’Ashley. Elle poussait un cri de douleur lorsque ma main s’abattait sur ses fesses. J’ai eu un choc émotionnel au contact de la paume de ma main sur ses fesses. Héeee ! Seigneur la peau de ses fesses est douce. Eeeh haaa ! On dirait de la soie. C’est même trop doux. En plus c’est mou. Massa ! Je laissais ma main appuyée sur fesses deux secondes, le temps de les caresser et d’en apprécier la douceur. Je lui assenais ensuite d’autres claques punitives aux fesses. Je frappais fort, sans pitié et sans répit. 


Avec certaines femmes, il faut parfois se montrer méchant. Sinon elles nous prennent pour des cons (idiots).Je m’appliquais à lui donner une fessée digne ce nom pour l’apprendre à me respecter. Jusqu’ici j’étais trop gentil avec elle. Ashley criait de douleur en poussant des « Aaash ! », « Ouuch ! », « Aïe ! », quand ma main frappait durement sur ses fesses nues. Elle remuait un peu les fesses en se tordant et gémissant de douleur, ce qui m’excitait et m’encourageait à continuer la fessée. En plus, ça m’amusait de la corriger de la sorte comme une gamine alors qu’elle est de 2 ans mon ainée. 


A un moment elle me demandait pardon en sanglotant doucement. Mais je ne m’arrêtais pas. Je ne montrais aucune pitié. Qu’elle me pardonne ou non après, je m’en fous. Après l’avoir frappé aux fesses sévèrement pendant une bonne minute, j’arrêtais enfin. Ashley commençait à pleurer sérieusement. Je caressais ses fesses et descendais ma main à l’intérieur de ses cuisses. Je remontais la main vers son entrejambe. Mes doigts touchant son sexe à travers le fond du string. Celui-ci était humide. Je repoussais sur le côté le fin fil cotonneux de l’arrière de son string ficelle. 


Ashley (en pleurant) : JK… Non ! Arrête ça ! Sniiif ! 


Sa voix m’agace si bien que je décide sous une impulsion de colère d’arracher son string en le tirant rageusement. Si elle pense me toucher avec ses paroles, elle se trompe lourdement. Le string craque avant de déchirer. Je le jette à terre et j’écarte sa jambe gauche. Je soulève sa jambe gauche par la cuisse que je pose ensuite sur le bord de ma table en bois. Ashley n’y oppose aucune résistance et ne descend pas sa jambe de la table. Je me penche en avant vers sa croupe découverte que je regarde avec envie de la culbuter sur le champ comme une chienne.


En contemplant de plus son derrière, je vois la jolie raie entre ses fesses entrouvertes. En dessous je découvre avec émoi son entrejambe. Celui-ci est recouverte une fine toison coupée très court autour de l’entrée de la grotte du plaisir. Quel bonheur de voir sa fente sombre ouverte et dévoiler le trou bien rose ! J’envoie ma main droite libre sur la fente. Je touche les lèvres intimes que je sens mouillées. Je remarque une petite bosse en contrebas, le clito, qui attire mon attention. De plat de quatre doigts de ma main, je masse doucement la chair tendre du sexe humide d’Ashley. Elle est bien mouillée.


Avec deux doigts, je pince son clito. Ashley sursaute et laisse échapper un cri qui m’excite. Je donne une claque aux fesses et lui ordonne de se taire. Elle pousse un petit cri de douleur se tait aussitôt. Je masse soigneusement sa fente. Le plat des quatre doigts est utilisé pour stimuler cet amas de chair. Le clito est touché et pincé de temps à autre, ce qui ne laisse pas Ashley insensible car elle souffle bruyamment et ronronne. Je plie les deux doigts, l’index et le majeur de ma main, et je caresse avec l’entrée de son sexe qui est grand ouvert et bien offert.


J’introduis doucement mes doigts entre les grandes lèvres de sa fente. Mes doigts glissent en elle, se frayant un chemin dans le tunnel. Ils se mouillent au fur et mesure qu’ils s’enfoncent dans la cavité vaginale suintante que je sens un peu étroite. Ashley se crispe en lâchant un soupir alors qu’elle reçoit mon doigt en elle. Je retourne la main en gardant mes doigts plongés dans son sexe que je lime ensuite en faisant des va-et-vient. Petit à petit, je la baise avec mes doigts en surveillant ses réactions. 


Ashley souffle et grogne en se laissant doigter. Ma main gauche tient toujours es bras croisé dans son dos et l’appuie sur la table pour la maintenir dessus. Je sens mon sexe qui est bien tendu et bien trop serré dans mon short. Il va être gâté très bientôt. En attendant, il serait plus sage que je teste le milieu où il va entrer d’ici peu. Je retourne de nouveau ma main droite alors que j’enfonce mes doigts bien loin dans la chatte d’Ashley. Cette dernière me semble plutôt bien réceptive vu la manière dont mes doigts coulisse dedans avec une facilité qui m’émoustille. 


Mes doigts dans sa fente humide telle qu’elle est, je m’active facilement à frotter les parois internes notamment la paroi supérieur face au clito. Cette paroi est recouverte de plis que je frotter vigoureusement pour stimuler cette zone que je sais très sensible et érogène à cause du point G se trouvant non loin. Ashley pousse un petit cri et un faible gémissement. Puis, elle se racle la gorge en soufflant et ronronnant doucement. Je la sens excitée vu les sons qu’elle émet. 


Je pousse le vice jusqu’à introduire au troisième doigt. J’enfonce et bouge mes doigts en elle en accélérant la cadence de mes doigts pour bien limer sa fente. Elle gémit doucement, apparemment incapable de se retenir. Ashley pousse un petit cri de plaisir et je pense qu’elle a jouit aussitôt. Je bouge rapidement, sans m’inquiéter du corps d’Ashley qui se tortille. Elle doit bien s’ouvrir et jouir pour pouvoir en elle recevoir mon gros bangala noir déjà bien dure. Je retire ma main droite de sa fente pour m’en servir en abaissant mon short. 


Mon sexe moyennement long de plus de 20 cm mais bien gros se dresse presque à l’horizontal une fois que mon short et le boxer sont suffisamment baisser sur mes cuisses. Sans lâcher les bras croisés de force avec ma main gauche sur le dos d’Ashley, je me place derrière elle avec ma grosse queue face à sa croupe. J’attrape mon sexe avec main droite libre pour le diriger sous les fesses. Je présente le gland devant la fente. Je tâtonnais sur l’entrée de sa fente que je cherchais à pénétrer d’un coup sec. Pendant ce temps, Ashley ne se débattait pas. Elle restait immobile, les jambes écartées. 


Trouvant l’entrée du chemin que je cherchais pour mon gland, je suis entré en elle sans hésitation. Je l’ai pénétré d'un coup sec par derrière. Je sentais sa chatte serrée autour mon sexe quand je m’enfonçais en elle jusqu’à la garde. Ashley poussait un cri de douleur durant la pénétration. J'ai commencé des rapides mouvements de va et vient dans sa chatte étroite. J'y allais pas de mains mortes, ou plutôt de reins morts. Je la culbutais tellement vite à cause du plaisir que j’éprouvais en reprenant l’activité sexuelle après des mois sans mbinda.


Subissant ma fougue et encaissant mes coups de reins rapides et vifs, Ashley criait de douleur. 


Ashley (en criant) : AÏE.... JK…. HAA ! AÏE... HAA! HAA! HAA! HAAAA!!!!! SNIIIFF !!! SNIFF... SNIFFF… HAAAA!! AU SECOUR WOO!! HAA ! JK… PARDON… HAA ! WOO ! AÏE... HAA! HAA!


Elle criait et pleurait mais ne pouvait faire d’autre. J’en avais cure de ses sanglots. Elle était à ma merci. Je me vengeais ainsi sur elle. Je savourais ma vengeance en prenant plaisir à la baiser sauvagement. Je prenais dessus sur elle. A un moment j'ai lâché ses bras que je maintenais croisé de force dans son dos. Je l’attrape sur les reins avec mes mains pour bien la cogner par derrière. Je culbutais Ashley en mode « Dog style (levrette) » debout. Je la prenais avec la rage de la faire crier de douleur et de plaisir. 


J’étais déchainé et la prenais sans pitié. Elle s’est redresser mais restait immobile à subir mes assauts. Je la baisais debout à cheval, alors qu’elle criait en pleur. Avec une main, je fermais sa bouche car elle criait un peu trop à mon gout. De mon autre main, je donne une claque sur la fesse tout en la culbutant. Elle ne cessait de geindre de douleur en encaissant mes coups de reins hostiles. J'allais de plus en plus vite, de plus en plus fort, que j'attendais des « Fop!! Fop !!! Tap !!!! Tapp!!! Foppp!!! » qui était un bruit provoqué par les vas et vient de ma grosse bite dans sa chatte. 


Le choc de nos corps, lorsque je cognais durement mon bassin contre ces fesses, faisait bouger la table. Je m’enfonçais de plus belle dans son tunnel pour aller dedans le plus loin possible. J’étais aux anges et je m’éclatais, tout en défonçant avec joie la chatte d’Ashley. Je voulais la marquer au fer rouge et laisser une trace de moi en elle pour qu’elle ne m’oublie jamais, pour qu’elle comprenne que je suis un homme, un vrai. J’enlevais ma main sur sa bouche et pressait son sein gauche fortement son T-shirt en allant vite et forte dans sa chatte. Ses plaintes de douleur se transformaient en véritables gémissements de de plaisir.


Ashley (gémissant) : HMMMMM VAS-Y JK. HAA ! OUI ! J'ADORE ! VAS-Y PLUS VITE ! PRENDS-MOI PLUS FORT ! OOOHHHH OUIIII ! J'ADORE ! HMMMMM ! OUI ! JK JE TE SENS ! C’EST BON ! ENCORE ! PLUS VITE WOOO ! JK J’AIME COMME TU ME PRENDS. HMMMMM ! OUI ! OUI ! OUI OH ! OH OUI ! J’ADORE ! OUI ÇA VIENT ! ÇA VIENT WOOOOO ! JE VAIS JOUIR ! JK JE MEURS. PUTAAIIINNN ! AAASSSHHH ! AAAARRRGGHH ! HMMMMM


Je ne sais pas si elle était consciente mais je savais qu’elle délirait. J'étais fier de moi que je la laissais crier comme elle veut. Tant pis si on vient nous surprendre et nous filmer en plein action. Il y aura témoins que je ne suis pas impuissant ni pédé. Puis d'un coup de rein plus rapide, je continuais de la culbuter. La pénétration était plaisant et surtout inteeennnse. Ashley criait, en gémissant de plaisir, alors qu’elle subissait mes assauts. Je la sentis jouir plus d’une fois. Apres quelques va-et-vient, je me vide au fond de sa chatte sans pouvoir me retenir.  


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A suivre !

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