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V

Chronique de JK :

– MA VIE DE CAMER – 

Saison 03 – Episodes 01 & 02

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Je me lève et quittais derrière Irène à quatre pattes et haletante. Je l’avais bien secoué en la prenant à cheval (levrette) comme elle le désirait. En tout cas je l’ai bien baisé sur mon canapé jusqu’à ce que la jouissance m’emporte. Une fois levé, je me penche pour donner une claque sur ses fesses rondes. Ce qui l’a fait sursauter. Elle se tourne vers moi et me regarde avec un large sourire. Son regard va de ma queue à mon visage. Je vois qu’elle est contente. Sinon comment expliquer son sourire béat à mon égard. Je vais aux toilettes me débarrasser du préso contenant ma semence. 


Je me nettoie la queue à l’aide d’un bout du rouleau de papier Q posés à côté. En revenant au salon, je ne vois pas Irène. Je la trouve dans ma chambre, toujours habillée, mais déchaussée. Elle était sagement assise sur le bord de mon lit. Elle me regarda entrer dans ma chambre. Elle me sourit lorsque nos regards se croisaient. C’est à croire qu’elle m’attendait pour autre quelque chose. J’enlève mon short et je suis tout nu. Je vais m’assoir à côté d’Irène. Je pose ma main droite sur ses cuisses en m’asseyant. Elle me sourit pendant que je la fixais en silence en caressant ses cuisses.


Irène (en me regardant en souriant) : A quoi tu penses ??

Moi (en la fixant) : A ce que je vais faire de toi.


Irène sourit de plus belle sans me quitter des yeux.


Irène : Tu peux de moi ce que tu veux, tu sais.


En même temps qu’elle parlait, Irène prenait ma main droite. Elle la glissa sous sa robe courte et à l’intérieur de ses cuisses. Elle serre ensuite les cuisses en remontant un peu ma main vers son entrejambe mais aller plus loin. Je sens la chaleur qui se dégage entre ses cuisses et à quelques centimètres de son entrejambe. Je regarde Irène qui me regarde dans les yeux avec un sourire espiègle.


Moi : Dans ce cas, je ferais de toi ma salope, ma pute à moi, ma petite chienne soumise. 


Elle me regarde avec effarement. Mais son petit sourire en coin me dit qu’elle est loin d’être offusquée.


Moi (sur ton de plaisanterie) : Je ferais de ton trou le garage de ma bite.


Irène éclate de rire. Elle me tape sur l’épaule en riant tout bas.


Irène (en me regardant en souriant) : Tu es fou !!

Moi (en souriant) : Fou de toi !

Irène : Humm !


Je souris et la regarde dans les yeux pendant qu’elle en fait autant. J’avance lentement ma main à l’intérieur de ses cuisses. Irène pince doucement ses lèvres lorsque je bouge mes doigts en faisant de petites caresses jusqu’à atteindre son entrejambe. Je suis ému par la chaleur et la moiteur tout près, cachées là, que je sens avec mes doigts qui touchent la fente à travers le tissu du string. Par des petites pressions de mes doigts, je caresse sa fente par devant. Elle me regardait en serrant et desserrant les cuisses. Elle souffle doucement en pinçant les lèvres de la bouche au fur et mesure que je continue.  

 

Sa poitrine se soulève un peu plus rapidement, me donnant une vision de choix sur ses mamelons qui ont l’air durcis à la manière dont ils pointent arrogamment sous le tissu fin de sa robe. Sa respiration devient plus rapide et saccadée au fil des secondes qui passaient. Je ne lui suis pas insensible. Je la sens frissonnée et excitée. Mais elle essaie de cacher son trouble en soutenant son regard face au mien souriant grandement. De mes doigts, je frottais de plus en plus le tissu de son string pour frotter sa chair chaude. Je l’entends émettre un faible gémissement et un raclement de gorge. 


Moi (en la regardant) : J'ai envie de toi.

Irène (en souriant) : Alors fait de moi ce que tu veux !


Je la couche sur le lit. Je monte sur elle. Nous nous embrassons avec fougue. Je tourne Irène d'un geste vif. Je descends le zip de la fermeture éclair de sa robe le long de son dos. Irène se redresse et se met à genoux sur le lit pendant qu’elle enlève sa robe qu’elle laisse tombé à terre. Elle se penche avant et se met directement à sur le lit. Elle tire l’arrière du string qu’elle cale (écarte) sur le côté de son postérieur. Elle ondule le bassin et remue ses fesses rondes ornée par son string calé. L’effet est immédiat ! Je bande ! Voyant qu’elle m’allumait, je lui donne claque aux fesses.


Irène (en poussant un cri) : Aaassshhh… Hmmmmm ! 


Irène se tourne vers moi, en s’asseyant sur le lit. Elle me lance un regard tout en souriant. Je vois qu’elle aime ce que je viens de lui faire. Ce n’est que le début. Je me penche vers elle pour l’embrasser. Elle se couche sur le dos en répondant à mon baiser tout en m’attirant sur elle. Je me redresse et tire sur l’élastique de son string encerclant ses hanches. Elle soulève les fesses, ce qui m’aide à lui ôter son string que je jette derrière moi. Je la retourne pour qu’elle se couche sur le ventre. Elle laisse retourner.


A peine je l’ai retourné et qu’elle s’est positionnée sur le ventre, je lui donne une claque aux fesses. Elle laisse échapper un petit cri de douleur que j’entends comme un gémissement. Elle reste couchée, les jambes tendues et entrouvertes. Je viens sur elle, me couchant légèrement sur son dos. Penchée au-dessus de son corps étendu, j’attrape ma queue avec une main. Je dirige mon gland à l’entrée de la fente que je vois par derrière entre ses cuisses. Je la pénètre d’un trait en me couchant un peu sur elle. Je redresse mon buste en tendant les bras et en prenant appui sur mes mains posées sur le matelas. Les bras tendues, je monte et descends mon bassin lentement pour commencer des légers va-et-vient de ma queue dans la chatte d’Irène. Chaque pénétration est facile et le mouvement est fluide.


Irène : Hmmm… Oh oui... Hmmm ! Ouiii... Hmmmm…


Irène ronronne de plaisir. J'arrête mes mouvements en restant planté en elle. Je me décale un peu sur la gauche avant de frapper le côté extérieur de la fesse droite d’Irène… Paf ! Paf ! Paf !... 


Irène : Oooohhh... Aaaassshhh…. Haaaa… Ouchhhh !


Après trois claques sur la fesse droite d'Irène, je reprends les va-et-vient… D’abord lentement puis de façon rapide et vive. Je me cambre bien en descendant mon bassin pour pousser ma queue le plus loin possible dans le tunnel d’Irène. Je lime sa fente, provoquant des ronronnements et des faibles gémissements qu’elle laissait échapper. J'arrête mes mouvements après l’avoir prise en mode « marteau piqueur ». 


Je me retire d’elle en me redressant pour me mettre à genoux. Je me penche pour attraper et tirer Irène par les reins. Elle se laisse tirer docilement jusqu’à se mettre à quatre pattes. C’est exactement que je voulais. Je souris en voyant qu’elle a bien compris mon désir. Pour la remercier à cet effet, je lui donne une claque sur chaque fesse. Ce qui n’est pas pour la déplaire. Je la pénètre de nouveau et d’un trait jusqu’à la garde. Irène se cambre en me recevant ma queue bien profond dans son tunnel.


Je commence des mouvements de va-et-vient. D’abord lentement puis de manière rapide et brutal pour la pilonner (cogner avec mon bas ventre). Je sais qu’elle aime ça pour sentir secouer par la force de mes coups de reins frappés contre ses fesses. Alors je n’en donne à cœur de joie pour prendre mon pied. J’attrape ses cheveux en queue de cheval au niveau de sa nuque. Je tire sa tête en arrière, en tenant fermement ses cheveux que j’attrape par la nuque. Ce qui force Irène à basculer la tête en arrière et à se cambrer, en pliant fortement son dos tout en restant à quatre pattes. De ma main libre je lui donne en gifle aux fesses, après deux ou trois coups de reins bien ferme contre son postérieur. C’est ainsi je la prends à cheval (en levrette), tout en la pilonnant pour son plus grand plaisir.

  

Irène : Aaassshhh... Haaa… Haaa… Haaa… Ouchhhh.... Haaa… Haaa… Ouiii ! Oooh ouiiii bébé !


Fop! Fap! Fop Fap !... tel était le doux bruit de mon bas qui cognait contre les fesses d’Irène.


Irène : Haaa… Haaa… Haaa… Haaa… Haaa… Aie… Doucement bébé... Haaa… Doucement… Aaassshhh ! Womo ! Ooooohhh… Oui... Oui... Oui... Haaa… Haaa… Haaa… Haaa… Haaa… Haaa… Haaa… Haaa…


Je cognais plus fort. Et Irène criait à cet effet. Je continuais en tirant sa tête en arrière par les chevaux.


Irène : Aïeee… Aïeee… Haaa… Haaa… Ouuuhhh ! Mama hééé ! Haaa… Haaa… Haaa… Haaa… Hmmmm !


Je me retire d'Irène et lui donne une claque aux fesses. Elle veut se couchée sur le ventre mais je luis ordonne de rester à quatre pattes. Ce qu’elle fait, tout en haletant. Je recule un peu et je me penche avant vers son derrière. Je colle mon visage face à son postérieur tout collant ma bouche sur sa fente par derrière. J'envoie ma langue dans sa fente. Je lèche délicatement les petites lèvres de la fente. Je suce, lèche jusqu’à faire des mouvements circulaires de avec ma langue dans son trou.


Sa mouille était abondante et dégoulinait de sa fente au fond rose. Mais j'avais faim de son minou que j’ai brouté avec appétit. J’entendais Irène ronronner à cet effet. Je descends ma bouche pour lécher  son clito avant de l’aspirer entre les lèvres de ma bouche. Je le suce délicatement. Puis, je le mords légèrement en le tirant. Irène se tord en poussant un gémissement de douleur. 


Irène : Aïeee… bébé, non ! Hmmm ! Aïeee… Mama hééé ! Le gars ci… Hmmm… 


Elle gémissait de douleur mais supportait le traitement de son petit bouton. Je continuais tranquillement de sucer et mordiller légèrement son clito. J’ignorais ses plaintes et autres mots… 


Irène : Bébé ooh ! Haaa ! Tu vas me tuer ooh ! Je meurs ! Haaa… Je meurs… Haaaaaaa !


Irène se tord le corps en criant fort. Je comprends qu'elle a jouit ou qu’elle a eu orgasme. Je patiente un peu pour laisser se remettre de ses émotions. Elle s’était penchée en avant jusqu’à coller sa tête et sa poitrine sur le lit, tout gardant sa croupe en relevée et donc ses fesses en l’air. Je l’entendais respirer bruyamment et profondément. Je sentais qu’elle était fatiguée. Je la laisse alors un peu de répit. Je reprendre assez vite le léchage de sa fente jusqu’à la pénétrer Irène avec la langue. Je tourne ma langue à l'intérieur de sa fente Sa mouille à bon goût quand j’en récoltais sur ma langue lors du léchage. Je poursuivais en faisant à nouveau un broute-minou et des va-et-vient de ma langue en elle.  


Je retourne Irène pour la prendre en missionnaire. Elle écarte ses jambes et me regarde quand je présente le bout de ma queue à l’entrée de mon trou. Je pénètre et m’insinue en elle en une poussée.


Irène (en me recevant en elle) : Hmmm... Vas-y doucement... Aaassshhh !


Je l'avais pénétré d’un trait jusqu’à la garde. J’ai commencé des va-et-vient lentement.


Irène (en me regardant faire) : C'est bon bb… c'est trop bon... Hmmm ! Aïe... Aïeee…


Elle grimaçait de douleur car j'allais désormais plus vite. La pénétration était profonde et fluide. Mes va-et-vient s’enchainaient sans arrêt. Mon bangala était bien tendu. Irène n’arrêtait de gémir et souffler tout en soutenant son regard face au mien. On se regardait ainsi, pendant que je la besognais. J'écarte encore légèrement ses jambes en les relevant. Puis, je vais plus vite en la pilonnant cette fois.

Irène me regarde faire puis comment mon sexe rentre dans le sien. Je continuais ainsi de suite. Mes va-et-vient étaient plus rapides et vifs.


Irène : Oui... Ouiiiiii... Haaa... Aïeee… bébé doucement...Haaa... Aaassshhh.... Aaassshhh... Aaassshhh... Ooooooohhhh… Aïeee… Aïeee… Aïeee… Haaa ! Aïeee…Haaannn ! Haaannn ! Hmmmm…


Après quelques coups de reins, j'éjacule et me vide en elle en poussant un grognement.

 

Irène me repousse doucement. Je me reitre d’elle et me couche près d’elle. Je l’embrasse et elle répond à mon baiser. Je descends du lit et me débarrasse du préso. Je remonte sur le lit pour l’élancer. 


Irène (en me fixant) : Mince ! Tu voulais seulement me tuer, quoi ?!

Moi (en souriant) : LOL ! Tu aimes nor ??

Irène : Un peu ! Mais là tu y es allé trop fort.

Moi : J’ai fait comme la première fois. 

Irène : Toi tu ne connais pas la douceur, hein !

Moi : LOL ! Désolé d’avoir été brutal.

Irène : Ça va ! Juste que j’ai un peu mal au bas ventre.

Moi (en la serrant contre moi) : Je suis désolé ! 

Irène : Humm !

Moi : J’espère au moins avoir été à la hauteur de tes attentes.

Irène : Tu as été à hauteur. 

Moi : Irène tu es bonne. C’est ça qui m’inspire et me motive pour te satisfaire.

Irène (me tournant le dos) : Ouais, c’est ça !

Moi : Tu me fais beaucoup d'effets que ça me rend. Je n’arrive plus à me contrôler.

Elle (en me tournant le dos) : Hummm !


Je me rapproche d'Irène qui me tourne le dos, en se couchant de profil sur le côté gauche du corps. Je me colle contre son corps, en l’élançant par derrière. Je lui fais un bisou sur son épaule droite et sur son cou. Elle ne réagit pas. Je me mets à caresser son ventre en remontant sur sa hanche droite. Je dépose des petites bises sur son cou. Je l'embrasse dessus en léchant un peu son cou.


Moi (en l’embrassant dans le cou) : Hummm ! Irène tu es bonne !


Irène disait rien et ne bougeait pas d’un poil. J'attrape son sein avec ma main qui caressait son corps. Je caresse son sein droit à ma portée de main. Tout en faisant des bisous sur son, j'appuie son seins. Quand je pince doucement le téton, j’entends Irène émettre un léger soupir. Je descends ma main pour caresser son bas-ventre. Mes doigts se baladaient sur son pubis couvert d’une légère couche de poils qui repoussent. Lorsque je veux toucher sa fente par devant, Irène serre les cuisses. Je continue mes caresses sur sa fente fermée par les cuisses serrées d’Irène. Mon bangala reprend de la vigueur doucement contre les fesses d’Irène. Je recule le bassin et ma queue se tend en dressant. J’attrape ma queue et la dirige pour positionner mon gland sous les fesses d'Irène. Je pousse le gland pour essayer pénétrer dans sa fente par derrière. Je n’arrive pas car Irène serre ses cuisses.


Moi : Humm ! Irène...


Je l’appelle mais elle ne répond pas. J'écarte légèrement ses fesses, ce qui ouvre un peu sa fente en contrebas. Je réussi introduire mon gland forçant l’entrée de sa fente. La pénétration s’est faite avec un peu d'effort et de passage en force. Moi derrière elle et collé à son dos, je pousse mon gland pour aller plus loin. Irène resserre les cuisses et soupire en me recevant en elle. A moitié en elle, je commence des va-et-vient doucement dans sa fente au passage serré. J’introduis un peu plus en elle chaque fois que je pousse mon bassin vers ses fesses. Je veux la faire ouvrir les jambes, mais elle resserre fortement ses cuisses. Je continue alors mes va-et-vient, de manière moins rapide.


Moi (en bougeant en elle) : Irène tu es bonne.... Humm...


Irène ne disait rien. Mais je l’entendais respirer. Je pose ma main droite libre sur son sein droit que j’appuis fort en cognant mon bas ventre sur son postérieur. Je poursuis en allant de plus en plus vite dans son tunnel. Irène soupire d’elle. Elle se cambre et pousse ses fesses en arrière.

 

Moi (le limant) : Irène demande moi d'arrêter. Et j'arrête !

Irène : Arrête !

Moi (en la limant plus fort) : Pardon ? Je n’ai pas bien saisit.  

Irène : Hmmmm… Arrête ! Hmmm… Hmmmm… Hmmmm…

Moi (en continuant plus fort) : Redit-le !

Irène : Arrête ! Hmmmm… Haaa !


Je la besogne en défonçant son tunnel à grand renfort de coups de reins. Irène gémit doucement. Je sens sa pression de ses cuisses serrées. Je m’arrête et j’en profite qu’elle se laissait aller en desserrant ses cuisses pour écarter sa cuisse droite en soulevant brusquement sa jambe droite concernée. Une fois la jambe soulevée et la cuisse écartée en même temps, je ne lâche rien. Irène ne peut fermer ainsi ses cuisses. Je recommence des mouvements va-et-vient en le limant de manière plus rapide en écartant sa jambe que je tiens fermement. C’est ainsi la baise fort, en plongeant à chaque coup de rein ma queue dans sa chatte jusqu’à la garde.


Moi (en la baisant fort) : Dit-moi d’arrêter ! Dit-le ! 

Irène : Haaa… JK… Arrête... Haaa… Haaa…  

Moi (en la baisant plus fort) : Redit-le !

Irène : Aïeee ! Haaa… arrêêêtte... JK... 


Je la ralentis et me retire lentement.


Irène : Noonn... Prend-moi ! Fait de moi ce que tu veux ! Haaannnn... Ooouuuchhhh !!!


Je venais le pénétrer brusquement jusqu’à la garde, l’arrachant un cri. Je la pilonne, en la baisant le plus rapidement possible. Puis, je m’arrête et me retire d’elle sans jouir. Soudain Irène se retourne vers moi. Elle se lève d'un bond et m’enjambe en montant sur moi. Elle s’agenouille et attrape mon sexe qu’elle dirige sur l’entrée de sa chatte. Je suis bluffé par la vitesse avec laquelle elle s’empale sur ma queue jusqu’à la garde. Je la regarde avec étonnement, et un sourire en coin.


Moi (en la regardant) : Oh tu as dit d’arrêter, nor ??

Irène (en me fixant) : Tu m'as demandé de te dire d'arrêter. Je l'ai fait. 

Irène (en ajoutant) : Mais tu as continué à ma prendre donc maintenant allons y jusqu’au bout.

Moi : LOL ! Arrêtons ! 

Irène : Non !

Moi : Je ne suis pas d’accord !

Irène : Tu n’es pas en position de décider. 

Moi : Humm ! Ah bon ??

Irène : Je vais te chevaucher.


Bien placée assise face moi, à califourchon sur moi, Irène se penche pour m'embrasser. Je réponds à son baiser avec joie. Elle m’embrassait en commençant à tourner son bassin. Elle ondule et se redresse en posant ses mains sur mon torse. J’envoie mes mains sur ses hanches en mouvement de danse charnelle. Petit à petit, elle me chevauche de manière tantôt lente, tantôt rapide mais brève. Elle poursuivait ses va-et-vient sur moi rapide, puis tourne ces reins, et recommence lentement tout en me fixant en souriant. Je souriais en la regardant dans les yeux. 


Moi : Vas-y… Chevauche bien !


Je ne lui donne une claque aux fesses pour la presser d’agir. Paf !! Paf !!! Irène pose ces mains sur mes épaules. Elle prend appui dessus et entame des mouvements du bassin plus rapidement, en se cambrant lorsqu’elle pousse et recule en soulevant légèrement les fesses avant d’avancer le bassin en collant son pubis contre le mien. Irène continue en bougeant son bassin ainsi de suite et de plus belle, tout me regardant droit dans les yeux. Elle se déhanche et se déchaine sur moi, en laissant échapper un soupir bruyant entre deux coups de reins. Ouchhhh!!! Le goût de ça.


Irène ralentit et prend ma tête entre ses mains. Elle plaque ses seins sur mon visage. J’en profite pour téter sucer attraper ses seins par les contours. Je les suce un à un, pendant qu’Irène me chevauchait à sa guise, tantôt lentement, tantôt rapidement. Puis elle s'arrête un peu pour souffler. Mais elle bougeait toujours en ondulant le bassin doucement. Elle se penche en avant et se tient à quatre pattes au-dessus de moi pour m’embrasser. Je prends l’initiative en lui donnant des coups de butoir rapides.


Irène (à quatre pattes au-dessus de moi) : Ooooohhhh ! Yes... Continue... Hmmmm ! 

 

Pendant que je la prends en étant en-dessous d’elle, Irène s’empale sur moi en sautillant. 

 

Irène (en s’empalant et gémissant) : Aïeee... Aaassshhh... haaannn... Haaa !


Je la fixais dans les yeux, tout continuant à besogner. Je mets à limer sa fente en vitesse.


Irène : Ooooohhhh... Ouiiiiii... Ouiiiiii... Ouiiiiii... Vas-yyyyyyyyyy…. Hmmmm…


Elle aussi me chevauche plus vite. On se baise mutuellement. Puis au même moment, elle arrête ses mouvements d’emboitements. Elle bascule la tête en arrière en laissant échapper un gémissement. Elle baisse la tête vers la mienne et place son visage au-dessus du mien. Elle me chevauche en me regardant dans les yeux, tout en respirant par sa bouche entrouverte. Je lève ma tête et colle mes lèvres sur les siennes. Je j'embrasse Irène, nos langues se mêlent dans une danse langoureuse. Alors qu’Irène, je sens l'éjaculation venir et monté en flèche le long de ma queue. 


Moi (en gémissant faiblement) : Oooohhhhh ! Hmmmm !


Mon corps se crispe. Je ferme mes doigts en les enfonçant dans la peau d’Irène tandis que je la tenais les hanches pendant qu’elle me chevauchait. J’éjacule en tendant les jambes et en fermant mes orteils tellement la jouissance qui me submerge est intense. J’étais submergé par une sensation agréable qui qui parcouru mon corps en me faisant frémir. Ça remontait jusqu'au cerveau pendant j'éjaculais et me vide sans pouvoir me retenir. Et mon bangala crachait toute ma semence dans la chatte d’Irène. Au même moment Irène se redresse. Elle attrape ses seins qu’elle appuie en se tortillant. Elle ferme les yeux et bascule la tête en arrière en bougeant sur moi, tout en criant de plaisir.


Irène (en criant en pétrissant ses seins) : Haaa ! Ouiiiiiiiiiii... Haaaaaaaaa !!!


Après son cri, elle se penche en avant. Elle se laisse tomber et se couche à plat ventre sur moi. Puis, elle bascule sur le côté gauche pour se coucher sur le lit. Mon bangala sorti seul de sa chatte en même temps. Elle resta ainsi tout en haletant et sans plus bouger. On n’entendait que le bruit de notre respiration bruyante et profonde. Je sentais Irène épuisée. Je passe ma main sur son corps, en lui caressant doucement le dos, les fesses et l’arrière des cuisses. Je remonte sur son dos que je caresse lentement en suivant la ligne creusant son dos. Irène tourne sa tête vers moi. Je la regarde en souriant.


Moi (en la regardant en caressant son dos) : Ça va ??

Irène (en me regardant en souriant) : Oui !

Moi (en la regardant en caressant son dos) : Tu as été super bonne !

Irène (en me regardant en souriant) : Merci !


On ne se dit rien durant quelques minutes. On se regardait simplement.


Moi (en brisant le silence) : Tu passes la nuit ici??

Irène : Non !

Moi (en la suppliant du regard) : STP !

Irène : Pardon ! Je ne peux pas !!

Moi (déçu) : Pourquoi ???

Irène : Je vis chez m grande sœur. Je peux sortir quand je veux et faire tout ce que je veux en journée. Mais je ne dors pas dehors.

Moi : Humm !

Irène : Je dors dehors que lors des occasions rares comme le soir de notre rencontre.

Moi (en faisant une tête de chien abattu) : Ok !

Irène (en caressant ma joue) : Chéri si l'occasion se présente, je viendrai dormir ici. 

Moi : Ok !! Vient me voir quand tu veux.

Irène : Tu n'as pas besoin de me le dire.


On reste bavardé un peu. Puis elle va prendre son bain et revient pour se rhabiller pour rentrer.


Moi (en la regardant s’habiller) : Tu me manques déjà.

Moi (en ajoutant en pointant du doigt ma queue) : Et lui aussi !

Irène (en se tournant vers moi en souriant) : Je sais !


Elle me sourit et regarde ma queue dressée. Je bandais et j’avais encore envie de mbinda. Je m’habille et sors de la maison en compagnie d’Irène. Il ne faisait pas nuit. Il devait être déjà 17h. Nous marchons coté à cote. Je lui tiens la main en la raccompagnant jusqu’en route. Irène prendre un benskineur (moto taxi) pour BP-cité, quartier où elle vit avec sa grande sœur. Elle est partie en promettant de venir me voir. Je retourne chez moi un peu triste. Je prends mon phone et me couche sur le canapé au salon. Je compose le Numéro d'Ashley. Ça fait des jours qu’on ne s’est pas parler. Son phone sonne longuement avant qu’elle ne décroche.


Ashley : Allô !

Moi : Bonsoir !

Ashley : Bonsoir JK ! C'est comment???

Moi : Ça va bien merci. Je veux juste avoir de tes nouvelles.

Ashley : Moi ça va ! Je vais bien. T'inquiète pas !

Moi : Ça me rassure. 

Ashley : Ok !

Moi : Tu me manques beaucoup

Ashley : Aka !! Tu me verras demain soir pour notre sortie ensemble.

Moi : Ok ! J'ai hâte.

Ashley : Voilà !

Moi : Je te laisse ! Prend soin de toi ! Bonne nuit !

Ashley : Merci ! A demain !

Moi : Bisou !

Ashley : Tsuuiips !


Je ris tout bas et raccroche. Je profite pour manger un peu. Faire l'amour avec Irène m'a fatigué et vidé de mes forces. Après mangé, j’appelle Yasmine. Ça sonne mais elle ne décroche pas. Je rappelle, elle ne décroche pas. Je rappelle, rien. Je lui envoie un message SMS. Je me couche le long du canapé. Je regarde le plafond en réfléchissant à mon programme du weekend. Je vais aller jouer au foot tôt demain avec des amis qui se rassemblent souvent tôt le matin pour jouer. Ça me fait passer du temps ! 


Je m'en dors sans m’en rendre compte. Peu après, je suis tiré de mon sommeil par un bruit étrange. J’ouvre les yeux et je pointe l’oreille pour écouter attentivement. Je regarde l'heure 23h. Mince !! J’ai beaucoup dormi. J’entends encore le bruit qui m’a réveillé. D’après le bruit que j’entends, je comprends quelqu’un essaie de crocheter ma serrure pour ouvrir ma porte. Je fronce les sourcils. Je descends du canapé sans faire de bruit. Je marche rapidement sur la pointe des pieds pendant qu'on touche à ma porte. Je pense qu’il s’agit d’un voleur. Chose que je prends très au sérieux. 


Je vais alors vite dans la cuisine prendre un pilon de mortier. J’éteins la lumière du salon et me mets dans un coin de manière à être derrière la porte lorsqu’on va l’ouvrir. Lorsque la porte s'ouvre la personne entre. Je ne vois pas bien la personne dans la pénombre. J’approche silencieusement de la personne. Je m’apprêtais à lui frapper le pilon lorsque la personne se tourne en sentant certainement ma présence. J'entends la voix d’une femme crier de peur : « Oooh ! JK ?? C’est toi ?! ». Je m’arrête en reconnaissant la voix. J'allume vite l'ampoule du salon et je la vois.


Moi (étonné) : Yasmine !!

Elle (en posant la main sur sa poitrine) : Ouf !


Elle ferme les yeux en soufflant de soulagement. Je pose mon pilon et m’approche d’elle.


Moi (inquiet en la regardant) : Je t’ai pris pour un voleur. C’est comment ?? Ça va ??

Elle : Oui oui !


Je la regarde en voyant qu’elle semble très fatiguée. Elle portait une t-shirt étroit et une petite jupe courte moulante qui laisse voir les deux-tierces de ses cuisses au teint clair. Elle est bonnement sexy. On dirait une go (fille) sortie de chez elle pour aller à un rancard (rdv) avec un pointeur (dragueur) qui l’invite pour s’amuser dehors et passer du bon temps. Bref, je ne sais pas trop. Je suis confus et ému en la voyant devant moi à cette heure de la nuit. Elle ne m’a pas prévenu qu’elle venait me voir.


Moi (en la regardant) : Tu viens d’où comme ça ?? 

Elle : J’étais allée vendre au Marché puis prendre ma nouvelle marchandise.

Moi : Ah ok !

Elle : Voit comme je suis sale !

Moi : Je vois ! Mais depuis hier j’ai essayé de te joindre.

Elle : J’ai vu.

Moi (en fronçant les sourcils) : Pourquoi tu ne prends pas mes appels??


Je suis emporté en lui posant cette question. Elle me regarde et pousse un soupir de dépit.


Elle : Appelle- moi maintenant !

Moi (surpris) : Pourquoi ??

Elle : Appelle ! Tu vas tout comprendre.


Je prends mon téléphone et lance l’appel sur son numéro. Elle sort son téléphone qui sonne. Yasmine regarde son téléphone qui sonnait. Elle le tend vers moi à mon grand étonnement.


Moi : Pourquoi tu me donnes ton téléphone???

Elle : Prend-le ! Et tu décroches !


Je prends son téléphone. Je n’arrive pas à décrocher. Je me rends compte que l’é tactile est abîmé. Ça sonne mais impossible de décrocher. Mince !


Moi : Humm ! 

Elle : Tu comprends maintenant ??


Je coupe l’appel et lui rend son téléphone. Elle le prend en me dévisageant.

Elle : Bon, je vois que j'ai mal fait de venir ici. Je rentre chez moi.


Sur ce, elle marche vers moi pour me dépasser pour sortir mais je la stoppe vite.


Moi : Non ! Reste !

Elle (en me fronçant les sourcils) : Hummm !


Je constate qu’elle est fâchée contre moi. Je réalise que j’ai merdé.


Moi : Stp ne fais pas ça. Pardon ! 

Elle : Tu me grondais déjà parce que je ne décrochais pas. Or c’est mon phone déconne. 

Moi : Désolé ! J’étais juste que j'étais trop inquiet car tu ne décrochais pas.

Elle : JK je sors de loin. Et j’ai laissé ma marchandise dehors.

Moi : J'imagine! Tu as laissé ta marchandise où ??

Elle : Au magasin de la gare à Ndokoti. Je vais récupérer ça dimanche.

Moi : Ok ! Désolé chérie. Aujourd’hui tu vas vendre ??

Elle : Non ! Je suis épuisée et fatigué !

Moi : Je comprends. Tu vas prendre une douche et te reposer dans ma chambre.

Elle : Il y a un sac à provision dehors. Apporte ça ici stp !

Moi : Ok


Yasmine tourne les talons et marche nonchalamment. Je vois par sa démarche qu'elle est hyper fatiguée. Elle se dirige aux toilettes. Je ferme la porte et vais dans la chambre. Je sors de la maison et je vois directement un gros sac dans la cour. Près du gros sac visiblement chargé de provision, il y a un petit sac à main. Je prends ce dernier et l’ouvre pour regarder. Il y avait de l'argent à l'intérieur et la carte d’identité de Yasmine. Je porte les deux sacs mais le gros est franchement lourd. Mama na ngai !! Le sac-ci pèse trop. Mamamia !! 


Je comprends pourquoi Yasmine est fatiguée. C’est avec difficulté que je soulève du sol le sac de provision pour le porter. J’entre avec et le dépose près de la porte que je ferme ensuite. J’ai mal aux bras tellement le gros sac ça pesait. Je me nettoie les mains et vais dans la chambre. Je ne trouve pas Yasmine. Je suppose qu’elle est encore aux toilettes. Je lui cherche un grand T-shirt léger qui puisse être à taille. Je pose le Je me dirige sur le lit après avoir vite changé le drap sur le matelas. 


Je prends une serviette propre. Je sors de la chambre avec la serviette pour aller l’apporter à Yasmine. Je pense qu’elle en aura besoin si elle est train de prendre une douche. Je l’appelle en me plaçant devant la porte de la douche-WC. Elle ne répond pas. J'ouvre la porte et trouve Yasmine assise sur le bidet. Elle était assise et tout habillée. En plus, elle était en train de dormir. Je la secoue doucement pour la réveiller. Elle ouvre lentement les yeux et me regarde avant de se mettre à pleurer à ma grande surprise. La fille-ci a quoi ?? C’est la première fois que je la vois dans cet état. Je wanda même.


Moi (inquiet) : Bébé pourquoi tu pleures???

Elle (en larmes) : J'ai eu une journée vraiment difficile, très difficile.

Moi : Je ne peux pas savoir par quoi tu es passé. Mais tu es là et vivante c'est l'essentiel.


Je me lève et la tire pour la forcer à se lever. Je l'aide à se lever en voyant qu’elle peine à le faire à cause de la fatigue. Je lui retire sa jupe et son string. Je l’aide aussi à enlever son ti-shirt et son soutien-gorge. Je la guide du côté de la douche où je me mets à la laver. Yasmine me regarde en train de verser de l'eau sur elle abondamment. Je prends un gang que je mouille et l’enduis de savon. Je frotte sur Yasmine. Je lave Yasmine de la tête au pied, en passant partout. C’est un plaisir de laver cette fille avec corps faites de jolies courbes. Quand je finis de laver Yasmine, je prends la serviette que je lui ai apportée. J’essuie son corps ruisselant de gouttes d'eau. Je l'enfile la serviette et je l'amène dans la chambre. Je prends le T-shirt que j’ai sorti pour elle et le lui donne. Elle l’enfile et ça lui va comme une petite robe et lui arrive jusqu’aux cuisses.


Moi : Je vais me laver. Couche-toi ! Essaie de dormir !

Elle : Merci !

Moi : Donne-moi le numéro de ta petite sœur si tu l'a en tête. 

Elle : Pourquoi faire ?

Moi : Je vais appeler le matin pour lui dire où tu as dormi. Ça évitera qu’elle te cherche.

Elle : Les enfants sont avec ma copine. Je lui ai prévenu que je dormais chez toi.

Moi : Ok ! Dors chérie !


Yasmine monte sur le lit et se couche. 


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A suivre !

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